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Nouvelle avancée concernant le cancer du sein

Une étude américaine mentionne que la présence de cellules tumorales circulant dans le sang est mauvais signe pour les patientes atteintes du cancer du sein.
 
La présence de ces cellules dans le sang était déjà un mauvais présage pour un pronostic du cancer du sein métastatique.
 
Seulement, cette fois, on constate que pour les patientes avec un cancer à un stade précoce et non métastatique, cela peut prédire la récidive et la propagation à d’autres organes, rapporte The Lancet Oncology.
 
L’étude a été faite auprès de 302 patientes avec un cancer à un stade précoce, n’ayant pas eu de chimiothérapie et ayant été suivies pendant cinq ans.
 
24 % des cas avaient une ou plusieurs cellules tumorales circulant dans le sang. Dans 15 % de ces cas, les femmes ont eu une récidive, et dans 10 %, on a noté un décès durant l’étude.
 
Cette découverte pourrait mener à un test sanguin permettant donc fournir de précieuses informations pour les patientes et ainsi tenter de mieux les soigner pour augmenter leurs chances de survie.
 
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Percée importante dans le domaine des cellules tumorales

Des chercheurs américains sont parvenus à maintenir en vie des cellules tumorales des poumons, du sein, de la prostate et du côlon pendant deux ans, une première dans le monde médical.
 
L’American Journal of Pathology indique que cette nouvelle percée permettrait aux médecins de continuer à faire leurs tests sur des cellules de patients particuliers et de mieux personnaliser les traitements.
 
Jusqu’à présent, après le diagnostic, on effectuait le suivi à l’aide de morceaux de tissus prélevés chez les malades puis réfrigérés, en plus de tenter de ne pas les altérer.
 
« Ce serait vraiment le nec plus ultra de la médecine personnalisée. Nous sommes vraiment enthousiastes quant aux possibilités de tests qui s’offrent ainsi à nous », explique le professeur Richard Schlegel.
 
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Une nouvelle technique de dépistage du cancer du poumon

Le Journal of Clinical Oncology rapporte que des chercheurs sont parvenus à créer une nouvelle technique pour dépister et traiter le cancer du poumon.
 
Il s’agit de calculer le nombre de cellules tumorales dans un échantillon de sang prélevé avant et après un cycle de chimiothérapie chez le patient.
 
En fait, cela représente une nouvelle façon de traiter la maladie, car de cette manière, les médecins pourraient savoir comment le patient réagira aux traitements et ainsi en prescrire de plus adaptés et plus personnels à sa condition.
 
Cette technique pourrait également servir éventuellement pour diagnostiquer la maladie de façon moins invasive. La méthode utilisée aujourd’hui est la bronchoscopie, qui consiste en un prélèvement d’un échantillon de tissus des voies respiratoires à l’aide d’une aiguille.
 
Les travaux se poursuivent donc pour parvenir à faire de premiers tests chez l’homme bientôt.