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Découverte de cellules spécifiques dans les cas de cancer du col de l’utérus

Des scientifiques ont identifié des cellules distinctives dans une zone spécifique du col de l’utérus. Ces cellules particulières seraient responsables de la majorité sinon de tous les cancers utérins qui sont causés par le virus du papillome humain (VPH).
 
Selon l’étude publiée dans les Annales de l’Académie nationale américaine des sciences, le VPH est un important facteur de risque du cancer du col de l’utérus.
 
La découverte de ces cellules permettra donc de distinguer les cellules bénignes de celles qui sont potentiellement dangereuses dans les lésions précancéreuses du col de l’utérus.
 
Ce type de cancer emporte chaque année 240 000 femmes dans le monde, dont 380 sont canadiennes.
 
De plus, les chercheurs ont aussi découvert que ces cellules spécifiques ne se régénèrent pas lorsqu’elles sont retirées du col de l’utérus. Cela pourrait ouvrir une nouvelle voie de prévention en la matière.
 
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Le poivre noir pour bloquer les graisses

Le Journal of Agricultural and Food Chemistry rapporte que des chercheurs coréens ont découvert que la pipérine, le composant qui donne le goût piquant au poivre noir, aurait la faculté de bloquer la formation de cellules graisseuses nommées les adipocytes.
 
Selon les tests en laboratoire et le modèle informatique, les chercheurs ont pu démontrer que la pipérine interférait avec l’activité des gènes à l’origine des cellules graisseuses.
 
Cette découverte pourrait donc être une avancée vers la lutte à l’obésité.
 
La médecine orientale utilise le poivre noir depuis des décennies pour soulager les maladies gastro-intestinales, les douleurs et les inflammations.
 
Déjà, contre l’obésité, nous savons que le piment rouge peut agir comme un coupe-faim, alors que le curcuma, la cannelle et le paprika, tout comme le poivre, peuvent bloquer les effets négatifs des repas gras.
 
Attention, il ne s’agit pas de remèdes miracles non plus.
 
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L’aspirine active des enzymes

Les études sur les effets de l’aspirine se poursuivent, et encore une fois, on y voit une nouvelle utilité.
 
En fait, des chercheurs ont découvert que l’aspirine pouvait activer des enzymes qui ont un effet sur le métabolisme des cellules, les réserves d’énergie et la croissance cellulaire.
 
La revue Science rapporte que les travaux de l’Université McMaster, en Ontario, confirment des résultats voulant que l’aspirine soit bien plus qu’un médicament analgésique.
 
Nous savions déjà qu’elle avait des effets contre le cancer, et la découverte de ce mécanisme pourrait expliquer, en partie, pourquoi.
 
À faible dose, on mentionnait que l’aspirine pouvait réduire de 25 % les risques de cancer chez la femme et de 23 % chez l’homme.
 
Par contre, il faut demeurer prudent, car il y a des effets secondaires graves avec l’usage de l’aspirine, notamment des saignements à l’estomac. Il vaut mieux consulter son médecin avant de prendre ce médicament.
 
Des recherches plus approfondies seront faites sur cette nouvelle découverte.
 
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La vitamine D pourrait freiner le cancer du sein chez les femmes noires

C’est ce que démontrent de nouvelles études du Roswell Park Cancer Institute parues dans le journal Breast Cancer Research.

« Nos résultats montrent que ces variations génétiques, qui contribuent au travail de la vitamine D, sont fortement associées au cancer du sein ER-négatif et peuvent contribuer aux plus agressives caractéristiques du cancer du sein chez les femmes afro-américaines », explique l’un des auteurs de la recherche, Song Yao.

Les scientifiques ont découvert que les Afro-Américaines avec le plus haut niveau de vitamine D avaient des variations génétiques spéciales. Ce sont ces variations qui réduiraient de 50 % leurs risques d’avoir le cancer du sein par rapport aux femmes ne les ayant pas.

De plus, les femmes de race noire ont des risques démesurément plus élevés de souffrir d’un cancer du sein ER-négatif que les femmes blanches. Ce type de cancer est particulièrement difficile à traiter puisqu’il a la particularité d’être insensible aux hormones.

Rappelons que dans le passé, des chercheurs avaient découvert que la vitamine D jouait un rôle déterminant dans le contrôle de la croissance des cellules des seins et pouvait même empêcher le cancer du sein de se propager.

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Maladie infantile : un moyen de prévenir l’ataxie télangiectasie?

L’ataxie télangiectasie, aussi nommée syndrome de Louis-Bar, est une maladie destructrice qui mène les enfants à perdre progressivement l’usage de leurs jambes, les confiant à un fauteuil roulant avant l’adolescence, et à développer des troubles de l’élocution graves. L’espérance de vie dépasse dorénavant le cap des 25 ans. Un bébé sur 40 000 environ peut en être atteint.

Publiés en ligne dans la revue Nature Medicine, les résultats d’une étude effectuée sur des souris par des chercheurs de l’Université Rutgers démontrent qu’il y aurait sûrement un moyen de prévenir et éventuellement inverser les symptômes les plus débilitants de cette maladie.

De nouvelles informations sur la façon dont cette maladie génétique attaque le cervelet, la coordination, l’équilibre et le tonus musculaire sont ressorties.

Il semblerait qu’une protéine connue sous le nom HDAC4 était au mauvais endroit chez les jeunes adultes décédés de la maladie. Cette protéine, connue pour réguler le développement musculaire, s’est retrouvée dans le noyau de la cellule nerveuse au lieu d’être dans le cytoplasme auquel elle devrait appartenir.

Pour les chercheurs, bien qu’il soit impossible de remplacer les cellules qui sont perdues dans le cerveau, l’étude permettrait de « prendre les cellules qui restent dans le cerveau de ces enfants et les faire mieux fonctionner. Cela pourrait améliorer énormément la qualité de vie de ces enfants », ont-ils affirmé.

Ils ajoutent que si leurs résultats s’avèrent entièrement prometteurs, leur étude pourrait également éclaircir les mécanismes d’autres maladies neurodégénératives, comme l’Alzheimer.

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Pourquoi les enfants autistes ont-ils un plus gros cerveau?

Ces anomalies découvertes par les chercheurs de l’USCD, dont l’étude préliminaire a été publiée dans PLoS Genetics, peuvent aider à expliquer le mécanisme sous-jacent faisant en sorte que le cerveau adopte un mode de prolifération (multiplication rapide de cellules) chez les enfants autistes.

Cette récente étude confirme les analyses antérieures qui démontraient que le cortex préfrontal, qui est la clé des pensées complexes et des comportements, y compris la langue, le comportement social et la prise de décisions, est une région du cerveau plus grosse chez l’enfant autiste.

En fait, cette anomalie de croissance contribue probablement de façon significative à la qualité de vie sociale, à la communication et aux déficits émotionnels communs chez les personnes atteintes d’autisme, pensent les chercheurs.

Il a été prouvé qu’une quantité excessive de neurones pourrait expliquer la prolifération. Alors que les enfants qui se développent normalement ont environ 0,88 milliard de neurones dans le cortex préfrontal, les enfants autistes en ont environ 1,57 milliard.

En plus des différences d’ADN connues, des différences dans l’ARN entre les cerveaux autistes et non autistes ont été observées.

L’ARN joue un rôle crucial dans les cellules, servant d’intermédiaire entre l’ADN, les plans pour l’information génétique et la production de protéines qui effectuent une vaste gamme d’activités vitales dans les cellules.

Dans le cas des personnes autistes, l’ARN anormal semble être impliqué avec des gènes qui codent des protéines pour réguler la croissance cellulaire.

Des études supplémentaires sur un plus grand échantillon seront nécessaires pour démontrer la cause à effet.

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Prédire les crises cardiaques par le sang

Les crises cardiaques pourraient être prédites avec un simple test sanguin.

Selon des chercheurs du Scripps Translational Science Institute (STSI), les personnes qui ont fait une crise cardiaque ont des cellules endothéliales (qui recouvrent la paroi intérieure du cœur et des vaisseaux) anormalement grosses. De plus, elles présentent souvent des malformations.
 
Ceci permettrait de prédire le risque d’attaque cardiaque. « La capacité de diagnostiquer l’imminence d’une attaque cardiaque est depuis longtemps considérée comme le Graal de la médecine cardiovasculaire », explique le principal auteur des recherches, Eric Topol.
 
50 patients ont participé à l’étude. Depuis des années, les scientifiques cherchent un moyen de pouvoir mieux prédire les crises de troubles cardiaques, car les facteurs comme l’obésité, le tabagisme ou un cholestérol élevé ne sont pas suffisants.
 
« Avec des validations supplémentaires, l’espoir est de développer ce test pour un usage commercial d’ici à une ou deux années. Ce serait un test idéal pour déterminer si un patient est au bord d’une attaque cardiaque ou pourrait en avoir une dans les semaines à venir. Pour l’instant, nous ne pouvons que déterminer si le patient est en train d’avoir ou a récemment subi une attaque cardiaque », dit le chercheur Raghava Gollapudi.
 
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Nouvel espoir dans le traitement du diabète de type 1

Une nouvelle approche permettrait aux patients qui souffrent de diabète de type 1 de fabriquer leurs propres cellules productrices d’insuline.
 
Depuis des années déjà, les scientifiques tentent de trouver un moyen de remplacer les cellules productrices d’insuline perdues dans le diabète de type 1. Ils y seraient peut-être parvenus.
 
Jusqu’ici, la seule technique qui semblait idéale était avec des cellules souches embryonnaires. Les chercheurs avaient réussi à en créer des productrices d’insuline en laboratoire, mais elles n’étaient pas adaptées à une transplantation, car elles ne libéraient pas d’insuline selon les niveaux de glucose.
 
Selon le Naure Genetics, une équipe de l’Université de Columbia aurait réussi l’exploit avec des cellules progénitrices dans l’intestin de souris, qui ont pu fabriquer des cellules productrices d’insuline.
 
« Ces différentes observations nous permettent de penser qu’inciter l’intestin d’un patient à fabriquer des cellules productrices d’insuline serait une meilleure façon de traiter le diabète que les thérapies basées sur les greffes de cellules souches embryonnaires », dit le Dr Domenico Accili.
 
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Les foetus avortés utilisés comme ingrédient culinaire?

Aussi spécial que cela puisse paraître, il semblerait, selon cet élu républicain, que des cellules souches embryonnaires ou de fœtus soient utilisées pour rehausser la saveur et le goût de certains aliments.

Provenant de fœtus avortés, ces cellules joueraient un rôle d’édulcorant naturel.

Outré, Ralph Shortey a partagé ses intentions et son opinion lors de diverses entrevues. Il vient de déposer un projet de loi et demande à ce que les fœtus avortés ne soient plus utilisés à cette fin.

Le peuple américain semble être méfiant et avoir une opinion mitigée quant aux affirmations du politicien, qui semble chercher des poux où il n’y en a pas depuis quelques années.

Rappelons qu’en 2008, Ralph Shortey avait réclamé que les candidats à la Maison Blanche prouvent leur citoyenneté américaine, visant ainsi directement Barack Obama, accusé de ne pas être né sur le sol américain.

Depuis un an, Shortey affirme enquêter sur l’utilisation des fœtus humains dans l’alimentation, après avoir découvert que des groupes anti-avortement avaient soi-disant appris que le géant Pepsi avait recours à ce genre de pratique peu éthique.

L’entreprise Pepsico a immédiatement démenti de fait par voix de communiqué, et la FDA n’a fait aucun commentaire.

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Nouvel espoir pour la maladie d’Alzheimer

Pour la toute première fois, des scientifiques sont parvenus à créer en laboratoire des cellules endommagées par la maladie d’Alzheimer.
 
Cette première pourra maintenant aider les chercheurs à mieux comprendre comment la maladie affecte le système nerveux et ainsi trouver des traitements plus efficaces.
 
Jusqu’à présent, les recherches ne pouvaient se faire qu’avec des cellules non neurales ou sur un modèle animal.
 
Une équipe de l’Université de la Californie a donc trouvé le moyen de développer un mode de culture de cellules humaines.
 
L’Alzheimer est caractérisée par une perte de neurones et de synapses, ce qui entraîne une perte progressive de la mémoire et des difficultés avec la langue et les émotions.
 
Il n’existe aucun remède pour soigner cette maladie. Le seul traitement offert aux patients est la prise de médicaments qui peuvent ralentir la progression de la maladie.