L’aspirine active des enzymes
C’est ce que démontrent de nouvelles études du Roswell Park Cancer Institute parues dans le journal Breast Cancer Research.
« Nos résultats montrent que ces variations génétiques, qui contribuent au travail de la vitamine D, sont fortement associées au cancer du sein ER-négatif et peuvent contribuer aux plus agressives caractéristiques du cancer du sein chez les femmes afro-américaines », explique l’un des auteurs de la recherche, Song Yao.
Les scientifiques ont découvert que les Afro-Américaines avec le plus haut niveau de vitamine D avaient des variations génétiques spéciales. Ce sont ces variations qui réduiraient de 50 % leurs risques d’avoir le cancer du sein par rapport aux femmes ne les ayant pas.
De plus, les femmes de race noire ont des risques démesurément plus élevés de souffrir d’un cancer du sein ER-négatif que les femmes blanches. Ce type de cancer est particulièrement difficile à traiter puisqu’il a la particularité d’être insensible aux hormones.
Rappelons que dans le passé, des chercheurs avaient découvert que la vitamine D jouait un rôle déterminant dans le contrôle de la croissance des cellules des seins et pouvait même empêcher le cancer du sein de se propager.
L’ataxie télangiectasie, aussi nommée syndrome de Louis-Bar, est une maladie destructrice qui mène les enfants à perdre progressivement l’usage de leurs jambes, les confiant à un fauteuil roulant avant l’adolescence, et à développer des troubles de l’élocution graves. L’espérance de vie dépasse dorénavant le cap des 25 ans. Un bébé sur 40 000 environ peut en être atteint.
Publiés en ligne dans la revue Nature Medicine, les résultats d’une étude effectuée sur des souris par des chercheurs de l’Université Rutgers démontrent qu’il y aurait sûrement un moyen de prévenir et éventuellement inverser les symptômes les plus débilitants de cette maladie.
De nouvelles informations sur la façon dont cette maladie génétique attaque le cervelet, la coordination, l’équilibre et le tonus musculaire sont ressorties.
Il semblerait qu’une protéine connue sous le nom HDAC4 était au mauvais endroit chez les jeunes adultes décédés de la maladie. Cette protéine, connue pour réguler le développement musculaire, s’est retrouvée dans le noyau de la cellule nerveuse au lieu d’être dans le cytoplasme auquel elle devrait appartenir.
Pour les chercheurs, bien qu’il soit impossible de remplacer les cellules qui sont perdues dans le cerveau, l’étude permettrait de « prendre les cellules qui restent dans le cerveau de ces enfants et les faire mieux fonctionner. Cela pourrait améliorer énormément la qualité de vie de ces enfants », ont-ils affirmé.
Ils ajoutent que si leurs résultats s’avèrent entièrement prometteurs, leur étude pourrait également éclaircir les mécanismes d’autres maladies neurodégénératives, comme l’Alzheimer.
Ces anomalies découvertes par les chercheurs de l’USCD, dont l’étude préliminaire a été publiée dans PLoS Genetics, peuvent aider à expliquer le mécanisme sous-jacent faisant en sorte que le cerveau adopte un mode de prolifération (multiplication rapide de cellules) chez les enfants autistes.
Cette récente étude confirme les analyses antérieures qui démontraient que le cortex préfrontal, qui est la clé des pensées complexes et des comportements, y compris la langue, le comportement social et la prise de décisions, est une région du cerveau plus grosse chez l’enfant autiste.
En fait, cette anomalie de croissance contribue probablement de façon significative à la qualité de vie sociale, à la communication et aux déficits émotionnels communs chez les personnes atteintes d’autisme, pensent les chercheurs.
Il a été prouvé qu’une quantité excessive de neurones pourrait expliquer la prolifération. Alors que les enfants qui se développent normalement ont environ 0,88 milliard de neurones dans le cortex préfrontal, les enfants autistes en ont environ 1,57 milliard.
En plus des différences d’ADN connues, des différences dans l’ARN entre les cerveaux autistes et non autistes ont été observées.
L’ARN joue un rôle crucial dans les cellules, servant d’intermédiaire entre l’ADN, les plans pour l’information génétique et la production de protéines qui effectuent une vaste gamme d’activités vitales dans les cellules.
Dans le cas des personnes autistes, l’ARN anormal semble être impliqué avec des gènes qui codent des protéines pour réguler la croissance cellulaire.
Des études supplémentaires sur un plus grand échantillon seront nécessaires pour démontrer la cause à effet.
Les crises cardiaques pourraient être prédites avec un simple test sanguin.
Aussi spécial que cela puisse paraître, il semblerait, selon cet élu républicain, que des cellules souches embryonnaires ou de fœtus soient utilisées pour rehausser la saveur et le goût de certains aliments.
Provenant de fœtus avortés, ces cellules joueraient un rôle d’édulcorant naturel.
Outré, Ralph Shortey a partagé ses intentions et son opinion lors de diverses entrevues. Il vient de déposer un projet de loi et demande à ce que les fœtus avortés ne soient plus utilisés à cette fin.
Le peuple américain semble être méfiant et avoir une opinion mitigée quant aux affirmations du politicien, qui semble chercher des poux où il n’y en a pas depuis quelques années.
Rappelons qu’en 2008, Ralph Shortey avait réclamé que les candidats à la Maison Blanche prouvent leur citoyenneté américaine, visant ainsi directement Barack Obama, accusé de ne pas être né sur le sol américain.
Depuis un an, Shortey affirme enquêter sur l’utilisation des fœtus humains dans l’alimentation, après avoir découvert que des groupes anti-avortement avaient soi-disant appris que le géant Pepsi avait recours à ce genre de pratique peu éthique.
L’entreprise Pepsico a immédiatement démenti de fait par voix de communiqué, et la FDA n’a fait aucun commentaire.