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Une étude établit un lien réel entre le téléphone et le risque de tumeur

Les téléphones intelligents et cellulaires sont soupçonnés depuis longtemps de hausser les risques de développer une tumeur, notamment au cerveau.

Une nouvelle recherche semble vouloir confirmer ces craintes, rapporte Top Santé, alors qu’une étude française propose des statistiques sur le sujet.

Selon la recherche menée par des chercheurs de l’Institut de santé publique d’épidémiologie et de développement (Isped) de l’Université de Bordeaux, les personnes qui utilisent constamment leur téléphone portable pour parler avec leurs proches ou pour affaires seraient effectivement plus à risque. On estime qu’un temps moyen minimum d’utilisation de trente minutes par jour peut constituer un risque bien réel de développer une tumeur cérébrale.

« Le risque de contracter un gliome est multiplié par deux pour les utilisateurs de longue durée d’un portable », estime la Dre Annie Sasco, Galement épidémiologiste.

On suggère donc l’utilisation d’oreillette ou d’un système comme le Bluetooth, d’éviter de téléphoner dans des zones de mauvaise réception ou encore de téléphoner lorsque s’on se déplace à grande vitesse, tous des facteurs qui pourraient contribuer au risque.

Les conclusions des chercheurs européens ont été publiées dans le magazine Occupational and Environmental Medicine.

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Le rire serait similaire à la méditation

Le processus du rire serait similaire à celui de la méditation au niveau du cerveau, et aurait par conséquent des impacts du même ordre, selon une nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine.

L’étude en question, proposée par des chercheurs californiens, estime que le rire et l’humour stimulent largement et de façon bénéfique le cerveau et ses ondes gamma, qui se retrouve dans toute la région cérébrale.

« Ce que cela signifie est que l’humour engage en fait tout le cerveau. C’est une expérience cérébrale complète, similaire à la méditation. On appelle ça “être dans la zone” », explique le directeur de la recherche, le professeur Lee Berk.

L’étude a été effectuée avec l’aide de 31 sujets volontaires, à qui l’on a demandé de visionner différents types de vidéos, dont certaines humoristiques, bien entendu. Les résultats démontrent des niveaux élevés d’activité des ondes gamma en situation de rire, les mêmes observables lors de périodes de méditation.

Comparant le rire à un « véritable entraînement du cerveau », M. Berk croit que l’humour cache des vertus insoupçonnées pour le cerveau et la santé psychologique.

Les résultats de l’étude seront présentés dans lors de la réunion annuelle Experimental Biology  qui se tient à San Diego.

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Les chiens réagissent de la même façon que nous à la voix humaine

Le chien est véritablement le meilleur ami de l’homme pour plusieurs fans et défenseurs des canidés, et une intéressante étude vient corroborer cette théorie.

Il s’agit d’une recherche effectuée par des chercheurs du MTA-ELTE Comparative Ethology Research Group, en Hongrie, qui se penchait sur les réactions cérébrales du chien face aux intonations de la voix humaine.

Après avoir « testé » les chiens, 11 en tout, en les plaçant de façon immobile devant des enregistrements de voix humaines, les chercheurs hongrois ont remarqué que ceux-ci réagissaient de façon similaire à l’homme devant la voix humaine.

On a pu observer, en comparant les résultats avec ceux obtenus sur les 22 sujets humains de l’étude, que c’est la même zone du cerveau qui réagit face à la voix chez le chien que chez l’humain.

« L’emplacement de cette activité dans le cerveau de chien est très similaire à l’endroit où nous l’avons trouvée dans le cerveau humain. Cette découverte est une vraie surprise. C’est la première fois que cette observation est constatée chez un non-primate. Nous pensons que les chiens et les humains ont un mécanisme très similaire pour traiter l’information émotionnelle », résume et explique Attilda Andics, auteur de l’étude.

Cette découverte expliquerait donc partiellement et de façon préliminaire l’un des aspects qui permettent cette si belle complicité entre les chiens et les humains.

Les résultats de ce test canin ont été publiés dans le magazine Current Biology.

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La vitamine C peut-elle prévenir des AVC?

Une nouvelle étude en provenance de la France dévoile un présumé risque accru d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) chez les personnes présentant une carence en vitamine C, rapporte The National Library of Medicine.

Mais alors, la vitamine C pourrait-elle prévenir des AVC? Bien que les chercheurs français en tête de l’étude soient loin de pouvoir confirmer une telle cause à effet, ils affirment cependant avoir observé une plus grande incidence d’AVC chez des personnes affichant des carences en vitamine C.

« L’étude suggère en effet qu’un faible niveau de vitamine C est un risque pour des hémorragies cérébrales spontanées », lance le Dr Stéphane Vannier, de l’Hôpital Universitaire de Rennes.

Les chercheurs de l’étude croient que ces statistiques seraient explicables par le rôle joué par la vitamine C dans le maintien et le contrôle de la pression sanguine et des vaisseaux sanguins.

On retrouve de la vitamine C dans les fruits et légumes, notamment les oranges, les fraises, les poivrons et le brocoli, pour ne nommer que ceux-là.

Par ailleurs, l’équipe française ne recommande pas la prise de suppléments de vitamine C pour abaisser les risques d’AVC. On suggère plutôt les apports par l’alimentation.

Les résultats de cette étude seront présentés lors de l’assemblée annuelle de l’American Academy of Neurology, qui se tiendra du côté de Philadelphie.

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Quand la sexualité rend plus « intelligent »

Une sexualité active pourrait bien augmenter certaines compétences du cerveau, selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), et par conséquent rendre plus « intelligent ».

On apprend en effet de l’étude rapportée par le quotidien que le sexe a une bonne influence sur les cellules cérébrales, et favoriserait leur progression. Les résultats de cette cause à effet pourraient varier entre de meilleures capacités cognitives, une baisse significative de stress et de plus grandes capacités de mémorisation.

On doit ces révélations, qui abondent dans le même sens que quelques autres recherches précédentes sur le sujet, à une équipe de l’Université du Maryland, qui proposait ses travaux lors d’une conférence de la Society for Neuroscience.

La notion de création de nouvelles cellules cérébrales peut aussi surprendre, et les chercheurs impliqués dans la recherche croient que le sexe, tout comme les exercices mentaux et physiques, peut contribuer à garder ces cellules plus longtemps en vie.

Comme le note si bien le Daily Mail (UK), les cours du soir n’auront jamais été aussi plaisants à la suite de cette étude.