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Un plan de plusieurs milliards pour étudier le cerveau humain

Les Américains sont de retour en force sur plusieurs tableaux depuis quelque temps, et ils risquent de marquer un grand coup en dévoilant les conclusions d’une super-étude organisée en secret par l’administration Obama.

Il s’agit de recherches visant à étudier le cerveau humain en profondeur, rapporte The National Library of Medicine.

Des travaux qui auraient nécessité plusieurs milliards de dollars et près d’une dizaine d’années de dur labeur de la part de plusieurs scientifiques.

Les résultats de cette super-étude pourraient donc être dévoilés aussi tôt que le mois prochain, selon ce que l’on comprend.

Le but de cette initiative était de réussir à créer un « mappage » du cerveau humain, et d’en comprendre le plus possible sur l’énigmatique organe. Les spécialistes et chercheurs de partout s’en réjouissent.

« L’initiative a le potentiel de révolutionner notre compréhension des circuits neuronaux, et d’offrir le savoir fondamental critique au développement de traitements contre plusieurs maladies. », déclare avec enthousiasme le Dr David Fitzpatrick, de la Max Planck Florida Institute for Neuroscience.

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Êtes-vous un petit ou un grand rêveur?

L’INSERM était chargé d’analyser l’activité cérébrale chez les dormeurs en tout genre, et l’institut y va de quelques révélations intéressantes, rapportées par Top Santé.

Notamment cette distinction entre « petit » et « grand » rêveur, qui se définit entre autres par la capacité à dormir paisiblement et à se souvenir de ses rêves.

Alors que les petits rêveurs seraient plus susceptibles de dormir paisiblement, on apprend que les grands rêveurs peuvent être victimes de nuits plus agitées et se réveiller plus souvent au cours de la nuit, mais ont aussi la faculté de se souvenir plus aisément de leurs rêves.

Baptiste Eichenlaub et Perrine Ruby, chercheurs de l’INSERM, qualifient ces phases de rêves de « micro-réveil », période au cours de laquelle les dormeurs seraient plus sensibles aux perturbations extérieures ainsi qu’aux distractions environnantes.

On parle donc d’une phase qui frôle le réveil, au sens où les grands rêveurs sont conscients de l’environnement tout en dormant.

Les petits rêveurs enregistrent aussi ces phases de micro-réveil, expliquent les deux chercheurs, elles sont simplement plus courtes. On parle de cinq minutes de ce phénomène par nuit pour les petits rêveurs, et de 15 minutes pour les grands.

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Le cannabis augmente-t-il les chances de faire une attaque cérébrale?

Une nouvelle étude controversée sur le cannabis risque de faire jaser. Selon ce que l’on apprend via Santé Log, l’étude révèle des risques d’attaques cérébrales potentiellement à la hausse chez les fumeurs de cannabis.

La marijuana, pourtant prisée par plusieurs et même prescrite par certains médecins, comprendrait un dangereux revers de médaille pour ces chercheurs australiens en tête de l’étude.

Présentées lors de l’American Stroke Association International Stroke Conference 2013, ces recherches sont parmi les premières sérieuses à tenter de démontrer un risque accru d’AVC chez les consommateurs de la drogue douce.

Une drogue pas si douce, pensent les chercheurs, qui croient fermement à leur théorie. On parle du double, voire du triple, des chances d’AVC chez cette partie de la population, en comparaison aux non-fumeurs.

Cependant, plusieurs facteurs pourraient venir brouiller ces résultats. Notamment, l’usage de la cigarette chez les sujets observés, ainsi que leurs caractéristiques distinctes comme l’âge et leur état de santé préalable.

On s’attend à voir d’autres études sur le sujet être effectuées dans un avenir rapproché.

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Des capacités cérébrales améliorées grâce à la bonne humeur

On cherche de plus en plus de moyens pour contrer les effets du vieillissement sur le cerveau, et une solution partielle pourrait s’avérer aussi simple qu’efficace.

En effet, The National Library of Medicine propose une étude sur le sujet, initialement publiée dans la plus récente édition du magazine Cognition and Emotion.

Cette étude parle des bienfaits de la bonne humeur ou d’émotions positives sur le cerveau des gens plus âgés, et de comment cet état esprit peut influencer la qualité de prise de décisions et de la mémoire chez les aînés.

Ainsi, selon les chercheurs de l’Université de l’Ohio, tous les petits bonheurs sont bons! Un sac de friandises, une visite inopinée, un nouveau passe-temps, bref, tout ce qui peut améliorer l’humeur d’une personne âgée peut s’avérer hautement bénéfique.

Encore une fois, on constate les effets et conséquences des différentes émotions ressenties par l’être humain sur la santé.

« Il y a eu plusieurs études qui ont démontré que les jeunes adultes sont plus créatifs et ont de meilleures performances cognitives lorsqu’ils sont de bonne humeur. Mais à cause du déclin observé pour le cerveau des personnes plus âgées, nous n’étions pas certains si le même phénomène s’appliquait. Les résultats sont donc une bonne nouvelle », conclut Elle Peters, professeure en psychologie.

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Création de la première carte de l’intelligence émotionnelle humaine

Il s’agit d’une première : des chercheurs ont finalisé ce qui s’avère être une carte détaillée de l’intelligence émotionnelle chez l’humain, annonce The National Library of Medicine.

C’est en fait une carte des régions du cerveau qui abrite et provoque les réactions liées à cette intelligence, l’intelligence émotionnelle, et les chercheurs se sont basés sur des analyses effectuées sur des vétérans de la guerre pour y parvenir.

Ainsi, 152 vétérans aux prises avec différents types de blessures à la tête et au cerveau ont été soumis à des tests afin de déterminer les différences entre certains types d’intelligence.

Les spécialistes en tête de l’étude ont constaté que l’intelligence « classique » et l’intelligence émotionnelle sont souvent intrinsèquement liées, et qu’elles se « croisent » parfois lors de leurs réactions.

L’auteur principal de l’étude, Aron Barbey, explique : « Historiquement, nous croyions que l’intelligence générale était distincte de l’intelligence émotionnelle. Nous savons maintenant que des régions spécifiques du cerveau servent aux deux types d’intelligence, et que certaines blessures peuvent affecter certains aspects spécifiques de l’une ou l’autre, ou des deux ».

« Ce groupe de patients était remarquable, car il nous a permis de déterminer le degré de dommages nécessaires pour brimer le travail de ces réactions (intelligence émotionnelle et générale). »

Le Dr Barbey croit que ces découvertes permettront de meilleurs traitements dans le domaine neurologique.

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Parler deux langues serait bénéfique pour le cerveau

Plusieurs sources, dont topsante.com, rapportent une étude qui trace un lien entre la maîtrise de plusieurs langues et les performances cérébrales.

On parle d’au moins une seconde langue, comme parler l’anglais pour un francophone, ou l’inverse. Selon les chercheurs de l’Université du Kentucky, qui parlent de « flexibilité cognitive », le fait d’être bilingue (ou trilingue, pourquoi pas) aurait un réel impact sur le lobe cérébral frontal.

Ces variations et optimisations cognitives seraient observables de façon croissante tout au fil de la vie d’un individu qui parle plus d’une langue, toujours selon l’étude publiée dans la plus récente édition du Journal of Neuroscience.

Pour prouver ces dires, les chercheurs américains ont étudié les cas de 110 personnes (de 60 à 88 ans) à qui l’on faisait passer une série de tests afin d’évaluer cette fameuse « flexibilité cognitive ».

Les chercheurs ont pu constater que les sujets bilingues passaient les tests avec plus de facilité, en plus de dépenser moins d’énergie en le faisant (évalué sur le cortex préfrontal).

Plus étonnant encore, cette étude s’ajoute à une récente publication qui prétendait que le bilinguisme serait excellent dans la prévention de certaines maladies comme l’Alzheimer et la démence.

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L’aspirine pourrait contrer les effets du vieillissement du cerveau

Les vertus de l’aspirine sont déjà bien connues des gens qui souffrent de maladies cardio-vasculaires, ou qui souhaitent simplement prévenir des problèmes cardiaques, comme un AVC.

Mais voilà qu’une nouvelle étude suédoise propose l’idée que l’aspirine pourrait également être bénéfique pour soutenir le cerveau lors du vieillissement, contrant ainsi certains effets dommageables.

C’est en tout cas ce que rapporte le site nim.nih.gov, qui parle de ces bienfaits lors d’une prise quotidienne, toujours selon l’étude. Cette dernière a par ailleurs été effectuée sur 700 femmes de 70 à 92 ans, dont la plupart étaient déjà traitées pour des problèmes cardiaques divers.

Celles qui ont absorbé de petites doses d’aspirine de façon quotidienne auraient démontré un déclin mental moins important que celles qui n’en prenaient pas, sur une période totale de cinq ans.

Des tests de mémoire, de capacité verbale, et autres défis ont été utilisés pour en venir à ces conclusions. Les résultats sont clairs : les femmes utilisant l’aspirine ont démontré moins de perte de capacité cérébrale, certaines voyant même leurs scores (aux tests) augmenter!

Le Dr. Richard Isaacson, auteur en chef de l’étude, déclare : « Ce qui est bon pour le cœur est souvent bon pour le cerveau. »

Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net

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Reconnaître rapidement les signes d’un AVC

L’AVC, ou accident vasculaire cérébral, fait beaucoup de victimes chaque année partout dans le monde, mais le nombre de décès pourrait être réduit avec de la prévention, affirment des spécialistes, via topsante.com.

C’est que les premières secondes et minutes suivant un AVC sont capitales dans la suite des choses pour la victime. C’est une question de vie ou de mort. Plusieurs personnes survivent à un tel accident, mais conservent des séquelles légères ou importantes.

En reconnaissant les symptômes rapidement, on peut battre de vitesse le phénomène en se rendant à l’hôpital le plus vite possible. Mais quels sont-ils, ces signes précurseurs?

D’abord, un violent mal de tête, puis le visage qui se paralyse et la bouche qui dévie. Des troubles de la parole et des difficultés à exprimer son propos de façon cohérente sont aussi des symptômes qui permettent de conclure à un AVC.

Il faut alors composer illico le 9-1-1 afin d’être pris en charge. Les taux de mortalité causés par les AVC peuvent être réduits, assure le professeur Mathieu Zuber, chef d’un service de neurologie et de neurovasculaire, en France.

Il conclut : « Sur quatre personnes traitées dans les 90 minutes après l’apparition des premiers signes d’AVC, une d’entre elles s’en sortira sans séquelles. Et le nombre de personnes qui s’en sortent sans séquelles diminue à mesure que le temps de prise en charge augmente ».

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Des cerveaux donnés à la science

Selon ce que rapporte le New York Times, une douzaine d’athlètes vont faire don de leur cerveau à la science afin que des scientifiques de l’Université de Boston se penchent sur les effets à long terme des commotions cérébrales.

Comme les lésions au cerveau provoquées par ces traumatismes crâniens ne peuvent être observées qu’à l’autopsie, les chercheurs devront toutefois patienter un peu avant de commencer leurs observations.

Le défenseur Noah Welch, des Panthers de la Floride, fait partie de ceux qui ont accepté d’aider la science, tout comme Ted Johnson, ex-joueur des Patriots de la Nouvelle-Angleterre. Ce dernier a d’ailleurs été forcé de prendre sa retraite à l’âge de 32 ans parce qu’il souffre de problèmes dégénératifs de mémoire et de dépression.

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Le cerveau, responsable de l’obésité?

Une recherche effectuée sur des rats par des scientifiques de l’université Southern California pourrait aider à mieux comprendre le surplus de poids chez les humains.

Selon les chercheurs, les neurones du noyau arqué, un groupe de cellules de l’hypothalamus, présentaient des défauts, ce qui avait pour conséquence de dérégler la sensation d’appétit et d’augmenter les réserves de graisse chez les rongeurs.

Ce phénomène a été observé dès les premières semaines de vie des rats. Les prochaines études sur le sujet devront se concentrer sur les façons de contourner cette prédisposition cérébrale qui entraînerait l’obésité.

On pourra consulter les résultats complets de cette étude dans l’édition de février du Cell Metabolism.