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Des casques moins chers et tout aussi efficaces

La santé et la sécurité dans le sport constituent une donnée fort importante, et elle prend de plus en plus de place dans notre conscience collective et dans les médias.

Les commotions cérébrales, notamment, constituent le sujet le plus chaud depuis plusieurs mois, après qu’un nombre considérable de sportifs soient tombés au combat à la suite de cette blessure, que ce soit des joueurs professionnels ou des athlètes amateurs.

C’est vrai au hockey, mais aussi au football, un sport de plus en plus populaire au Québec. Il est donc tentant de se procurer des articles de sport plus chers afin d’assurer sa sécurité. Toutefois, ce n’est pas ce que suggère nécessairement une équipe de chercheurs du Wisconsin qui s’est penchée sur la question.

The National Library of Medicine rapporte en effet les conclusions de l’étude en question, selon lesquelles plusieurs casques moins chers et moins récents sont tous aussi efficaces et sécuritaires.

« La technologie des casques est aussi avancée qu’elle peut l’être. Ils ont fait un travail formidable. Nous n’avons plus de fracture du crâne au football », explique notamment l’auteur en chef de l’étude, Timothy McGuine.

On suggère donc de bien s’informer avant l’achat, mais de ne pas se ruiner sans raison.

anté et la sécurité dans le sport constituent une donnée fort importante, et elle prend de plus en plus de place dans notre conscience collective et dans les médias.

Les commotions cérébrales, notamment, constituent le sujet le plus chaud depuis plusieurs mois, après qu’un nombre considérable de sportifs soient tombés au combat à la suite de cette blessure, que ce soit des joueurs professionnels ou des athlètes amateurs.

C’est vrai au hockey, mais aussi au football, un sport de plus en plus populaire au Québec. Il est donc tentant de se procurer des articles de sport plus chers afin d’assurer sa sécurité. Toutefois, ce n’est pas ce que suggère nécessairement une équipe de chercheurs du Wisconsin qui s’est penchée sur la question.

The National Library of Medicine rapporte en effet les conclusions de l’étude en question, selon lesquelles plusieurs casques moins chers et moins récents sont tous aussi efficaces et sécuritaires.

« La technologie des casques est aussi avancée qu’elle peut l’être. Ils ont fait un travail formidable. Nous n’avons plus de fracture du crâne au football », explique notamment l’auteur en chef de l’étude, Timothy McGuine.

On suggère donc de bien s’informer avant l’achat, mais de ne pas se ruiner sans raison.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La stimulation cérébrale profonde : solution aux désordres obsessifs compulsifs?

The National Library of Medicine rapporte les conclusions obtenues à la suite des recherches sur les désordres obsessifs compulsifs et de la réaction des patients à des traitements par stimulation cérébrale profonde.

On parlait déjà beaucoup de cette façon de faire pour enrayer, ou à tout le moins prévenir, des troubles cognitifs ou dégénératifs, mais c’est la première fois que des spécialistes tentent vraiment le coup en ce qui a trait aux désordres obsessifs compulsifs.

Publiées dans l’édition du 24 février du journal Nature Neuroscience, ces recherches confirmeraient l’idée que ces désordres sont l’œuvre d’un dérèglement cérébral, et qu’ils sont donc réversibles.

À tout le moins de moitié, puisque les chercheurs hollandais en tête de l’étude révèlent avoir réglé 50 % du problème chez certains patients, grâce à la stimulation cérébrale profonde.

On définit un désordre obsessif compulsif par un comportement répété de la part d’un individu, qui ne peut y mettre un terme volontairement. On parle bien sûr notamment de certaines dépendances, mais ce trouble peut aussi se traduire par des gestes simples, comme placer les choses dans un ordre précis ou encore constamment s’inquiéter d’un geste que l’on a pourtant bien accompli, comme verrouiller une porte.

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La stimulation cérébrale aussi utile au stade précoce du Parkinson

De nouvelles recherches sur la stimulation cérébrale concluent que celle-ci est bénéfique pour les patients qui en sont aux premières étapes de la maladie de Parkinson, selon The National Library of Medicine.

On savait déjà que le processus pouvait aider les patients qui en sont à des stades plus avancés, mais c’est la première fois qu’on réussit à établir ses effets en début de traitement.

Le traitement par stimulation cérébrale, qui peut donner froid dans le dos, consiste à placer de petites électrodes sur certaines zones précises du cerveau.

« Jusqu’à maintenant, toutes les études faisaient état des résultats obtenus sur des patients en stade avancé. Le groupe-test actuel est bien loin de ce spectre. Ils font plutôt partie de ceux qui n’étaient traités qu’exclusivement par médication », explique le Dr Gunther Deuschl, du Centre médical Schleswig-Holstein de Kiel, en Allemagne.

Le problème avec le traitement par médication, apprend-on, c’est qu’il développerait un « effet yo-yo » chez les patients, à long terme.

On tente maintenant de trouver de nouvelles pistes de traitement afin de retarder la maladie et d’améliorer la qualité de vie de ceux qui en souffrent.

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Bientôt de meilleurs traitements contre les commotions cérébrales?

www.nlm.nih.gov rapporte que des chercheurs ont fait une découverte qui pourrait bien améliorer la qualité des soins offerts aux patients souffrant de commotion cérébrale.

En effet, des spécialistes affirment qu’ils ont décelé des changements au niveau du cerveau, observables dans les cas de commotion cérébrale, et qui pourraient faire progresser la façon de faire dans des cas de complications postcommotion, notamment.

L’étude, qui compile ces résultats, a été publiée dans le journal Radiology et fait état de tests effectués sur 23 patients aux prises avec une commotion cérébrale (ou en complication postcommotion), et sur 18 patients en parfaite santé.

Il appert qu’une commotion cérébrale influencerait des zones-clés du cerveau, celles-là mêmes qui place l’organisme en état de repos. Lors d’une commotion, les mêmes zones seraient influencées, plaçant le corps dans ce que l’on appelle « l’état de base réseau » (default-mode network). Ce dernier définit l’état d’une personne en repos, ou lorsqu’elle « part dans la lune ».

On constate que les conséquences d’une commotion sont vérifiables dans ces mêmes zones cérébrales, altérant le système réseau mentionné ci-haut. On constaterait le même genre d’altération chez les gens souffrant de la maladie d’Alzheimer.

Les chercheurs croient qu’une amélioration des traitements est envisageable à la suite de cette découverte.

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Comment reconnaître une commotion cérébrale

En fait, les experts estiment que de 1,6 à 3 millions de commotions reliées au sport arrivent chaque année à des enfants et des adultes.

Toutefois, les parents des petits sportifs qui en souffrent ne savent pas toujours distinguer les signes de la blessure. Selon les experts, tous les parents devraient en connaître les symptômes.

De plus, la cause la plus courante de blessure au cerveau chez les enfants de moins de dix ans est une chute. Il est donc important de surveiller l’état de santé de vos enfants après qu’ils soient tombés, et ce, lors de la pratique d’un sport ou dans la vie quotidienne.

Les symptômes à surveiller sont les maux de tête, la fatigue, les problèmes d’équilibre, les vomissements, les problèmes de concentration et de mémoire, l’irritabilité, le sommeil agité ainsi que la somnolence.

Si vous remarquez ces symptômes, allez rapidement consulter un médecin.

Rappelons que les enfants qui subissent des lésions cérébrales traumatiques légères sont plus susceptibles d’afficher des problèmes de santé par la suite.

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Aspirine et hémorragies cérébrales

Une étude publiée dans le site Web d’Archives of Neurology nous apprend que l’aspirine pourrait être à l’origine de micro-hémorragies cérébrales.

Des examens d’imagerie par résonance magnétique cérébrale, menés sur 1 062 sujets, ont permis de conclure que l’incidence d’hémorragies cérébrales augmente de 70 % lorsque les participants consommaient de l’aspirine régulièrement, comparativement à ceux qui prenaient des médicaments anticoagulants.

Soulignons que la consommation d’aspirine est souvent recommandée par les médecins afin de réduire le risque de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral. L’aspirine réduit la formation de caillots en agissant sur les plaquettes qui forment les caillots.