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20 minutes de yoga pour un cerveau optimal

Top Santé rapporte de nouvelles données concernant l’impact du yoga sur l’organisme, plus particulièrement sur l’activité cérébrale.

Ces données proviennent d’une récente étude sur le sujet publiée par des chercheurs de l’Université de l’Illinois. Elle fait état des bienfaits notables du yoga sur le cerveau.

« Le yoga est une science indienne ancienne et un mode de vie à part entière qui incluent non seulement les mouvements et postures, mais aussi une technique de respiration et de méditation. Sa pratique implique d’être en pleine conscience », résume Neha Gothe, professeure et spécialiste en médecine sportive.

C’est en se basant sur ces caractéristiques propres à cette discipline que les chercheurs ont évalué les impacts de celle-ci sur les activités cérébrales et la santé mentale de 30 étudiantes.

On a ensuite comparé les résultats observables lors de tests subséquents à ceux obtenus à la suite d’exercices de cardio (comme le tapis roulant).

Résultat? Les étudiantes ont démontré une plus grande rapidité d’exécution cognitive et cérébrale, en plus d’un temps de réponse accru, après avoir effectué 20 minutes de yoga qu’après un exercice cardiovasculaire.

Une mémoire améliorée, une meilleure humeur et une baisse significative de stress ont également été observées!

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Des souvenirs préfabriqués par le cerveau en réaction au stress

Vous avez un souvenir bien précis d’un événement passé et vous pensez avoir conservé une image vive de celui-ci? Pensez encore.

Selon Top Santé, le cerveau humain serait capable de créer des souvenirs fabriqués de toutes pièces ou préfabriqués afin de composer avec différentes situations, dont celles de stress et d’anxiété.

Les chercheurs en provenance des Pays-Bas en tête de cette étude donnent l’exemple des soldats qui ont vu la guerre de près, et qui voient parfois leurs souvenirs se transformer ou encore s’effacer.

Même chose pour nos souvenirs d’enfance, surtout pour ceux qui ont vécu des traumatismes, des sévices ou encore des périodes d’anxiété chronique.

Les tests, dont les résultats ont été publiés dans l’édition de mai de l’European Journal of Psychotraumatology, ont été effectués sur 250 soldats de retour de la guerre (Afghanistan).

Après plusieurs tests et questionnaires, près du tiers des soldats se souvenaient d’événements qui ne s’étaient jamais produits, confirmant en partie la théorie initiale des chercheurs.

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Le cerveau peut bel et bien se transformer au rythme des expériences

La Presse rapporte de nouvelles recherches sur le cerveau humain qui en surprendront plus d’un, à commencer par certains experts qui prétendaient que le cerveau humain ne pouvait se transformer ou évoluer physiquement.

Or, selon les conclusions de plusieurs éminents spécialistes, à commencer par les psychiatres Kandel et Daniel Siegel, le cerveau peut littéralement se métamorphoser au gré de nos émotions, des épreuves et de nos expériences.

On cite l’exemple du musicien qui permet des changements cérébraux en apprivoisant un instrument de musique, ainsi que l’étudiant qui travaille fort pour réussir un bac, par exemple.

Nos relations, nos efforts, nos désirs, nos liens avec nos proches, nos peines, nos joies, bref, à peu près tout ce que nous vivons influence physiologiquement le fonctionnement et l’évolution de notre cerveau.

Les neurones envoient des messages et prennent des virages selon nos décisions et nos émotions, comme l’indique Daniel Siegel : « Les connexions humaines forment les connexions des neurones ».

Il y a fort à parier que ces révélations ne sont que la pointe de l’iceberg, dans un domaine qui semble n’en être qu’à ses débuts et pour lequel plusieurs mystères demeurent encore entiers.

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Un QI élevé permettrait une perception différente

Des chercheurs basés à Rochester, aux États-Unis, ont évalué la perception des gens face à leur environnement ou à des objets en mouvement, selon les quotients intellectuels de chacun.

Ils sont arrivés à des conclusions étonnantes, révèle le Daily Mail (UK), à commencer par la variation de la perception sensorielle.

Ainsi, les sujets au QI plus élevé ont démontré plus de facilité à faire abstraction d’un environnement afin de se concentrer sur un petit objet en mouvement. Cependant, contre toute attente, ces mêmes sujets ont été plus lents que les autres à détecter un objet plus large qui se trouvait directement en face d’eux!

Serait-ce la preuve que les gens brillants voient souvent beaucoup trop loin et s’avèrent parfois incapables de résoudre de petits problèmes de la vie quotidienne? Pas nécessairement, croit Duje Tadin, de l’Université de Rochester.

Il explique : « Il y a quelque chose chez les cerveaux au QI élevé qui les empêchent de voir rapidement un mouvement large, au contraire d’un plus petit. Cette habileté est toutefois très utile dans un monde rempli de distractions. Un cerveau efficace se doit d’être sélectif ».

Saviez-vous que la moyenne de QI général est de 100 et qu’elle augmente d’à peu près trois points par décennie chez plusieurs populations? C’est ce qu’on appelle « l’effet Flynn ».

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Moins de calories en prévention des maladies neuro-dégénératives

Des chercheurs du MIT et de l’Institut Howard Hugues publient une étude sur la restriction calorique et ses impacts sur la préservation des cellules et en prévention des maladies neurodégénératives comme l’Alzheimer, par exemple.

Les conclusions, rapportées par Santé Log et publiées dans l’édition du Journal of Neuroscience du mois de mai, font état de tests concluants effectués sur des animaux, qui confirment qu’un apport calorique moindre peut permettre une meilleure protection contre les changements dus au vieillissement.

On note particulièrement la production d’une enzyme, appelée SIRT1, lorsqu’un animal est placé en situation de restriction calorique. Un phénomène que l’on croit tout aussi vérifiable chez l’être humain.

Mais voilà, la découverte de cette enzyme et de ses effets sur la défense de l’organisme pourrait permettre aux chercheurs de créer un traitement permettant une simulation d’une baisse calorique, sans les effets néfastes liés à une alimentation trop faible.

Il s’agit d’une percée très intéressante, qui ouvre la porte à de nouvelles possibilités dans le domaine neurologique et en recherche de traitement des maladies neurodégénératives.

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La vitamine B peut-elle prévenir de la maladie d’Alzheimer?

Plusieurs témoignages et résultats d’essais cliniques faisant état d’un possible effet préventif de la vitamine B contre certaines maladies dégénératives et cognitives comme la maladie d’Alzheimer ont été rapportés depuis quelque temps.

Ces théories se voient maintenant confirmées dans une nouvelle étude, publiée par le réputé journal Proceedings of the National Academy of Sciences, qui en arrive au même constat après avoir mené plusieurs essais sur des groupes de patients.

Selon cette plus récente étude, rapporte le Daily Mail (UK), les sujets du groupe test ayant reçu des apports en vitamine B se seraient vus presque entièrement protégés des effets observables au cerveau lors du développement de la maladie d’Alzheimer.

Des résultats d’autant plus concrets lorsqu’on les compare aux sujets du groupe ayant reçu un simple placebo. Ceux-ci n’ont été nullement protégés des symptômes comme le rétrécissement du cerveau, un signe alarmant d’Alzheimer.

Ce phénomène serait même réduit jusqu’à 90 % chez les consommateurs de vitamine B, ce qui surprend certains spécialistes. C’est le cas de Paul Thompson, professeur de neurologie à UCLA, qui déclare : « Je n’ai jamais vu de résultats de numérisations au cerveau qui démontraient ce genre de niveau de protection ».

On peut donc considérer qu’il s’agit d’un grand pas dans la quête de traitement de l’Alzheimer, ou à tout le moins dans sa prévention. D’autres études sont à prévoir afin de confirmer les effets de la vitamine B, les chercheurs étant maintenant en attente de financement dans le but de poursuivre leurs travaux. 

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Les effets pervers de la malbouffe pourraient être contrés par l’huile de poisson

Après quelques études parues récemment qui invalidaient certains bienfaits précédemment reconnus des oméga-3 et des huiles de poisson, en voici une nouvelle qui pourrait convaincre certaines personnes de s’en procurer.

Surtout celles qui aiment bien consommer de la malbouffe, rapporte Science Daily, car cette nouvelle propriété en serait une protectrice contre les frites, les sodas et les hamburgers de ce monde.

Plusieurs recherches démontrent depuis longtemps que la consommation de malbouffe a des effets bien réels sur le cerveau. Les quantités alarmantes de sel et de sucre contenues dans plusieurs repas populaires ne joueraient donc pas seulement sur notre poids et notre corps, mais aussi sur les performances mentales.

Or, après avoir analysé les données compilées de pas moins de 180 recherches sur le sujet, des chercheurs de l’Université de Liverpool sont arrivés à la conclusion que ce problème peut être contré par la consommation d’huile de poisson.

L’huile serait capable, notamment, de freiner les effets néfastes de ces aliments en stabilisant les taux de sucre et de gras, ce qui permet une meilleure protection du cerveau.

D’autres recherches sur le sujet restent à venir, mais les chercheurs britanniques en tête de l’étude semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

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Nouvel espoir dans le traitement de l’épilepsie

L’épilepsie n’est pas qu’un moindre mal et change radicalement la vie de la plupart des gens qui en souffrent.

Le problème en ce moment, selon Santé Log, c’est que pas moins de 40 % des patients qui en souffrent ne répondent pas aux traitements et aux médicaments offerts.

Des patients attendent donc un miracle, qui pourrait bien arriver sous la forme d’injection de cellules cérébrales. C’est la nouvelle technique à l’essai du côté de l’Université de Californie, qui publie une étude sur le sujet.

Un traitement futuriste mais bien réel, assurent les spécialistes en place, qui seraient parvenus à réaliser l’exploit sur des souris.

Le bilan de ces premiers essais, publiés notamment dans la revue Nature Neuroscience, fait état d’un bon pourcentage de réussite sur les rongeurs, alors que la transplantation de cellules spécifiques au cerveau permet bel et bien l’inhibition de certains processus liés à l’épilepsie.

On parle d’un bel « espoir » du côté des chercheurs de la UCLA, un mot qui sonne comme de la musique aux oreilles des patients en attente d’une solution viable.

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Le narcissisme et la superficialité obsessive démystifiés?

Le narcissisme et la superficialité, ou encore le fait de constamment penser à son apparence, sont des comportements mis en lumière dans une nouvelle étude sur le sujet, qui révèle des faits étonnants.

D’abord, on apprend que les gens obsédés par leur apparence ne le sont pas toujours parce qu’ils s’adorent, au contraire, mais aussi parce qu’ils ne sont souvent pas satisfaits de ce qu’ils voient.

Selon cette récente étude en provenance de l’Université de Californie, rapportée par The National Library of Medicine, certains de ces phénomènes pourraient s’expliquer par des connexions déficientes ou « mal branchées » au cerveau, qui pousseraient ces gens à ne voir que leurs défauts et leurs imperfections.

Difficile de penser à autre chose quand votre tête ne vous renvoie que des images négatives de vous, et ce, de façon incessante!

« Nous avons trouvé une forte corrélation entre des connexions déficientes autour du cerveau et la sévérité des symptômes de ce désordre », résume Jamie Feusner, auteur de l’étude.

On ne parle pas des possibilités de traitement, mais comme pour tous les désordres de ce type, ce genre de découverte est souvent un premier grand pas vers des solutions efficaces. Un dossier à suivre.

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Un truc simple pour se rappeler plus facilement

Santé Log rapporte la suite d’une étude précédemment réalisée sur la mémoire, qui ajoute cette fois un détail qui vient boucler la boucle.

Une recherche avait établi que le fait de serrer le poing droit permettait de mieux mémoriser certains détails, en plus d’améliorer l’attention.

Cette fois, des chercheurs de la Montclair State University corroborent cette affirmation, mais ajoutent que pour se remémorer les données entrées dans le cerveau à la dure, il suffirait cette fois de serrer le poing gauche!

Publiées dans la revue PLoS ONE, ces révélations, qui semblent de prime abord futiles, pourraient bien aider plusieurs personnes aux prises avec des problèmes de mémoire à court et long terme.

C’est après avoir analysé les résultats de quatre groupes de sujets, qui devaient mémoriser une longue liste de mots divers, que les chercheurs ont pu confirmer cette théorie.

Après avoir demandé aux différents groupes de serrer les poings dans des ordres différents ou encore de ne rien faire du tout, les chercheurs concluent que la meilleure combinaison en est une « droite gauche », qui ferait appel à des zones spécifiques du cerveau et qui permet de mémoriser des données avant de les récupérer.

Un truc simple à essayer pour ceux qui oublient tout!