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Percée étonnante dans le traitement des troubles alimentaires

Plusieurs troubles alimentaires pourraient être mieux traités dans un avenir rapproché, si les récentes découvertes d’un groupe de chercheurs de l’Université d’East Anglia s’avéraient fondées.

Selon Nutrition News, ces spécialistes auraient réussi à cerner le processus qui régit le contrôle de l’appétit, en plus de déterminer que notre relation avec notre estomac serait tracée dès la naissance.

Certaines personnes seraient appelées à manger plus que d’autres « naturellement », la différence s’établissant dès la formation du cerveau chez le bambin.

Toutefois, les chercheurs en tête de ces recherches croient qu’il est possible de « recâbler » le cerveau d’une telle façon que l’on permettrait à ces gens de retrouver des sentiments de faim et un appétit dans la moyenne.

Exit alors les problèmes d’obésité, et on croit même que ce procédé permettrait des percées intéressantes dans le traitement d’autres troubles de la santé, comme l’anorexie.

Dans la plus récente édition du Journal of Neuroscience, les chercheurs font état d’un groupe de cellules souches qui permettraient la régénération des neurones capables de réguler efficacement l’appétit, une découverte fascinante!

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Une nouvelle méthode efficace pour stimuler la mémoire et l’attention

Top Santé rapporte une découverte fort intéressante, effectuée par des chercheurs allemands dans le cadre d’études sur le sommeil.

Ces spécialistes de l’Université Tubingen ont tracé un lien entre l’écoute de sons durant le sommeil, la nuit, et une amélioration des capacités de la mémoire et de l’attention, notamment.

On le sait, le cerveau travaille même lorsqu’on dort, et les chercheurs croient pouvoir rentabiliser cet état de fait.

11 sujets ont été retenus pour cette étude nocturne, et on leur demandait de mémoriser une série de mots divers avant d’aller au lit. Puis, on a testé différentes séquences de sons, que l’on faisait écouter aux sujets de l’étude durant leur sommeil.

La séquence qui se voyait synchronisée avec le rythme du cerveau a permis aux sujets de ce groupe de se souvenir bien plus aisément de la liste de mots que les autres.

Les chercheurs concluent donc, notamment en publiant dans la revue Neutron, qu’il est possible de « jouer » avec le cerveau humain durant le sommeil, et ainsi stimuler la mémoire et l’attention.

On pourrait s’attendre à voir ce genre de techniques faire l’objet d’essais cliniques plus poussés, surtout si celles-ci peuvent venir en aide à des gens souffrant de pertes de mémoire ou de déficit d’attention.

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Les petits fruits favoriseraient l’autonettoyage cellulaire du cerveau

Les fraises et les bleuets contiennent des taux élevés de polyphénols. Cette substance favoriserait l’autophagie (l’autonettoyage cellulaire), qui permet de recycler les protéines toxiques accumulées dans le cerveau.

Les chercheurs américains de la Tufts University  et de l’Université du Maryland ont observé les effets de ces fruits sur des rats.

Les rongeurs en ont été nourris pendant deux mois avant de subir des radiations (processus de vieillissement accéléré du cerveau), puis ont été divisés en deux groupes. L’un des groupes a été évalué après 36 heures de radiations, et l’autre groupe, qui a continué son régime aux petits fruits, a été évalué trente jours après.

« Après trente jours de ce régime, les rats démontraient une résistance aux radiations plus importante que celle du groupe témoin », explique le Dr Shibu Poulose. « Nous avons observé les bienfaits réels de ces deux fruits [fraises et bleuets]. Selon nous, cela est lié aux phytonutriments qu’ils contiennent. »

« Dans la plupart des maladies du cerveau, Alzheimer ou Parkinson par exemple, on observe une accumulation de protéines toxiques », explique Poulose. « Les petits fruits favorisent l’autophagie, le mécanisme naturel de nettoyage du cerveau qui permet de réduire cette accumulation toxique. »

Des recherches antérieures, menées auprès de 16 000 femmes américaines entre 1976 et 2001, ont montré que le déclin cognitif dû au vieillissement était plus tardif (de 2,5 ans) chez les femmes qui consommaient beaucoup de bleuets et de fraises, riches en flavonoïdes. Ces résultats ont été publiés l’an dernier dans la revue Annals of Neurology.

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La différence entre le cerveau des hommes et des femmes illustrée

Bien des blagues à caractère sexiste, que ce soit envers les hommes ou les femmes, trouvent leurs origines dans cette notion évidente qui veut que les deux sexes ne soient pas véritablement construits de la même façon.

Ce serait notamment vrai en ce qui concerne le cerveau, non seulement au sens propre, mais aussi au sens psychologique. Voici une nouvelle étude sur le sujet qui tente d’illustrer cet état de fait, et qui confirme par la même occasion qu’il existe bel et bien des différences notables entre les deux genres sur le plan cérébral.

D’abord, rapporte Daily Mail (UK), on constate que les femmes sont plus susceptibles de développer des troubles de démence et de dépression, alors que les hommes seraient plus souvent frappés par des troubles comme la maladie de Parkinson, par exemple.

Ensuite, l’étude confirme que les hommes possèdent un plus gros cerveau que leurs camarades féminines, mais que celui de ces dernières serait plus efficace en gestion de crise et en résolution de problèmes, notamment grâce à une meilleure performance du lobe frontal (aussi plus gros, en moyenne).

On note aussi une capacité accrue à « sentir le danger » chez l’homme, alors que la femme obtient quant à elle une sensibilité et une réponse au toucher accrues.

On avance également que le cerveau de la femme « n’est jamais au repos », alors que celui de l’homme « se repose souvent »… Des munitions pour la gent féminine lors des débats animés entre gens de sexes opposés!

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Une nouvelle méthode pour arrêter de fumer à l’essai

Arrêter de fumer est, de l’avis de nombreux spécialistes, l’une des choses les plus difficiles à réaliser. Malgré la volonté de plusieurs, il faut souvent des outils aux fumeurs pour parvenir au but ultime : l’arrêt du tabagisme.

Malgré plusieurs produits déjà offerts sur le marché pour aider le tout, des chercheurs travaillent encore sans relâche pour venir en aide à cette partie de la population.

Santé Log rapporte une percée qui pourrait s’avérer intéressante, bien qu’elle risque de faire peur à bien des gens.

Il s’agit d’une technique qui utilise la stimulation magnétique transcrânienne, aussi appelée SMT, qui agit sur le cortex préfrontal du cerveau.

Jusqu’ici, les chercheurs qui travaillent sur ces essais observent des résultats prometteurs, alors que les sujets semblent éprouver des envies de fumer beaucoup moins violentes.

Le procédé cible le fameux « système de récompense » du cerveau, qui produit de la dopamine lorsqu’une personne allume une cigarette. Le fait d’arrêter de fumer prive le sujet de cette dopamine, ce qui le poussera presque inéluctablement à la rechute.

Avec la SMT, on réussit à contrer le phénomène, en tout cas pour une certaine période de temps pour l’instant.

Si plusieurs tests restent à faire, le procédé non invasif est déjà approuvé par la FDA.

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L’attrait de la bière s’expliquerait par les hormones

Top Santé rapporte une étude qui avait pour but de démystifier l’attrait de la bière chez l’homme, un principe qui va beaucoup plus loin que le simple goût.

En fait, ce serait une véritable histoire d’amour hormonale qui se produit entre les gens et le houblon, notamment à cause de l’effet de la bière sur les récepteurs de dopamine.

Pour confirmer cette théorie, les chercheurs de l’Université d’Indiana en tête de l’étude ont regroupé 49 personnes et leur ont demandé de boire trois différentes boissons. D’abord de la bière, puis de l’eau plate et, enfin, une boisson destinée à désaltérer les sportifs, on devine de type Gatorade.

On a ensuite enregistré et analysé les réponses des sujets face à chacune de ces boissons, et on a remarqué immédiatement une vive réponse du cerveau pour la bière, qui libère immédiatement de la dopamine.

« C’est la première fois que les résultats d’une étude montrent que le goût d’une boisson alcoolisée sur l’être humain, sans l’effet de l’alcool sur le corps, peut déclencher la libération de dopamine dans les centres de récompense du cerveau », lance un certain Kareken, professeur et chercheur.

De plus, les scientifiques croient remarquer que certaines personnes produisent plus de dopamine que d’autres face à la bière, ce qui pourrait expliquer les variations de risque d’alcoolisme d’un individu à l’autre. Une percée fort intéressante.

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Le ménage du printemps cérébral

On apprend, par l’entremise de Top Santé, qu’il n’y a pas que nous qui avons l’habitude de faire un grand ménage du printemps… notre cerveau aussi!

C’est du moins ce que révèle une étude publiée dans la revue spécialisée Nature Neuroscience, qui dévoile un phénomène fascinant se déroulant au niveau cérébral à l’arrivée du printemps.

Ainsi, notre cerveau « effacerait » des cellules endommagées et préparerait les cellules souches capables de les remplacer à entrer en action. Le procédé est maintenant connu sous le terme d’autophagie.

C’est ce qu’ont constaté les chercheurs de l’Université du Michigan, aux États-Unis, qui sont en tête de cette étude étonnante. Ils ont même trouvé que le phénomène de ménage printanier cérébral observé serait dû à la protéine FIP200, qui permet de procéder à cette véritable mise à jour centrale.

On note par ailleurs que ce processus semble ralentir avec l’âge, ce qui expliquerait en partie pourquoi les gens plus âgés sont enclins à développer des problèmes cognitifs ou de démence.

« Grâce à l’autophagie, les cellules souches neurales peuvent réguler les niveaux des espèces réactives de l’oxygène (ROS) ou radicaux libres qui peuvent s’accumuler dans certaines régions du cerveau et dont des niveaux anormalement élevés peuvent déclencher leur différentiation », résume le professeur Jun-Lin Guan, de l’Université du Michigan.

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Les suppléments et les oméga-3 n’amélioreraient pas les performances cognitives

Le Daily Mail (UK) rapporte une nouvelle recherche sur les capacités cognitives, et qui attaque le mythe qui veut que la prise de suppléments alimentaires comme l’huile de poisson améliore les performances du cerveau.

Ces conclusions proviennent des recherches conduites à l’Hôpital St Michael de Toronto, et elles risquent de ne pas plaire aux amateurs de produits naturels et de compléments alimentaires, notamment ceux riches en oméga-3.

C’est qu’on associe depuis longtemps ces produits à une meilleure capacité cognitive, ce que réfutent les chercheurs canadiens.

Ces derniers suggèrent plutôt de se tourner vers des jeux qui stimulent le cerveau et l’esprit, comme de simples mots croisés ou encore le sudoku.

Plus efficaces, presque gratuits, et n’influençant aucunement votre régime alimentaire et vos apports nutritifs, ces jeux pourraient bien avoir un impact direct et vérifiable sur vos performances cognitives.

C’est après avoir analysé et compilé des données issues de 32 essais cliniques, qui touchaient par ailleurs près de 25 000 patients, que les chercheurs torontois sont arrivés à cette conclusion simple, mais importante.

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Un mauvais cholestérol augmenterait aussi les risques d’Alzheimer

Afficher des taux trop élevés de mauvais cholestérol n’aurait pas qu’une incidence sur les risques de développer une maladie cardiaque ou de faire un AVC, mais aussi sur les risques de développer la maladie d’Alzheimer.

C’est le Daily Mail qui rapporte cette constatation, publiée par des chercheurs américains qui s’étaient penchés sur la question.

Ceux-ci ont découvert, au fil de leurs recherches, que le mauvais cholestérol (aussi appelé LDL) provoque un phénomène qui divise incorrectement les cellules humaines, et même animales, qui à leur tour font défaut dans la duplication des cellules futures.

Tout cela mènerait à de fameuses plaques observables au cerveau, un symptôme de la maladie d’Alzheimer, à la suite d’une accumulation de cellules défectueuses combinée à un nombre incorrect de chromosomes.

Une explication un peu complexe, mais qui résume bien les conclusions tirées par les chercheurs du Linda Crnic Institute for Down Syndrome et de l’Université du Colorado.

L’étude, publiée dans le magazine PLoS One, ne fait que souligner l’importance de bien s’alimenter, surveiller ses taux de cholestérol et, par le fait même, consulter un médecin pour être bien certain de son état de santé.

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La saveur des aliments s’avère parfois une supercherie du cerveau

Voici une étude et des révélations surprenantes et fascinantes sur les réactions de l’humain face à ses plats favoris.

En effet, Science Daily rapporte des propos du chercheur et docteur Terry E. Acree, qui décrit le rôle du cerveau sur la façon dont on perçoit, sent et goûte les aliments.

Selon le spécialiste, le cerveau peut y aller d’une supercherie monstre lorsque vous êtes placé devant divers aliments, des réactions qui peuvent être influencées par vos propres appréhensions et expériences.

Ainsi, on pourrait « créer » des saveurs et des odeurs, en fonction de nos attentes.

« Il y a des années, le goût était constitué de deux facteurs : la saveur et l’odeur. Maintenant, on commence à comprendre que la saveur dépend des parties du cerveau qui impliquent le goût, l’odorat, le toucher et la vue. La somme de tous ces signaux, en plus de nos expériences passées et de nos émotions, peut faire varier la perception des saveurs, et déterminer si on va aimer ou détester un aliment », explique Acree, convaincu.

Il explique aussi que l’on peut donc « voir » les odeurs, et que notre perception de ce qu’un aliment ou un vin, par exemple, « devrait goûter » change carrément la façon de le percevoir ensuite.

Fascinant!