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Le cannabis augmente-t-il les chances de faire une attaque cérébrale?

Une nouvelle étude controversée sur le cannabis risque de faire jaser. Selon ce que l’on apprend via Santé Log, l’étude révèle des risques d’attaques cérébrales potentiellement à la hausse chez les fumeurs de cannabis.

La marijuana, pourtant prisée par plusieurs et même prescrite par certains médecins, comprendrait un dangereux revers de médaille pour ces chercheurs australiens en tête de l’étude.

Présentées lors de l’American Stroke Association International Stroke Conference 2013, ces recherches sont parmi les premières sérieuses à tenter de démontrer un risque accru d’AVC chez les consommateurs de la drogue douce.

Une drogue pas si douce, pensent les chercheurs, qui croient fermement à leur théorie. On parle du double, voire du triple, des chances d’AVC chez cette partie de la population, en comparaison aux non-fumeurs.

Cependant, plusieurs facteurs pourraient venir brouiller ces résultats. Notamment, l’usage de la cigarette chez les sujets observés, ainsi que leurs caractéristiques distinctes comme l’âge et leur état de santé préalable.

On s’attend à voir d’autres études sur le sujet être effectuées dans un avenir rapproché.

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Des capacités cérébrales améliorées grâce à la bonne humeur

On cherche de plus en plus de moyens pour contrer les effets du vieillissement sur le cerveau, et une solution partielle pourrait s’avérer aussi simple qu’efficace.

En effet, The National Library of Medicine propose une étude sur le sujet, initialement publiée dans la plus récente édition du magazine Cognition and Emotion.

Cette étude parle des bienfaits de la bonne humeur ou d’émotions positives sur le cerveau des gens plus âgés, et de comment cet état esprit peut influencer la qualité de prise de décisions et de la mémoire chez les aînés.

Ainsi, selon les chercheurs de l’Université de l’Ohio, tous les petits bonheurs sont bons! Un sac de friandises, une visite inopinée, un nouveau passe-temps, bref, tout ce qui peut améliorer l’humeur d’une personne âgée peut s’avérer hautement bénéfique.

Encore une fois, on constate les effets et conséquences des différentes émotions ressenties par l’être humain sur la santé.

« Il y a eu plusieurs études qui ont démontré que les jeunes adultes sont plus créatifs et ont de meilleures performances cognitives lorsqu’ils sont de bonne humeur. Mais à cause du déclin observé pour le cerveau des personnes plus âgées, nous n’étions pas certains si le même phénomène s’appliquait. Les résultats sont donc une bonne nouvelle », conclut Elle Peters, professeure en psychologie.

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Le sulfure d’hydrogène pour vieillir en santé

On apprend, par l’entremise de Santé Log, que des chercheurs sont à explorer de nouvelles façons de faire en ce qui concerne le vieillissement et la santé.

On cherche de plus en plus à trouver de nouvelles techniques et de nouveaux éléments qui permettraient, sinon de vivre plus vieux, de vieillir mieux et en meilleure santé.

Des chercheurs chinois pourraient bien avoir fait une découverte intéressante concernant le sulfure d’hydrogène, ou l’hydrogène sulfuré si vous préférez.

Ces spécialistes de l’Université de Chine du Sud croient que les théories qui prêtent des vertus thérapeutiques et préventives au sulfure d’hydrogène sur le système nerveux et le système cardiovasculaire pourraient s’avérer tout à fait exactes.

En vous épargnant de tous les détails scientifiques complexes, disons simplement que si les chercheurs arrivent à mettre en pratique ces conclusions, on pourrait voir apparaitre d’importantes avancées concernant les problèmes inflammatoires, musculaires, vasculaires et même neurologiques qui surviennent avec l’âge.

« Les données disponibles à ce jour suggèrent fortement que H2S peut devenir le prochain agent majeur pour la prévention et l’amélioration des symptômes du vieillissement et des maladies liées à l’âge », résument les auteurs de cette étude fort prometteuse.

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Création de la première carte de l’intelligence émotionnelle humaine

Il s’agit d’une première : des chercheurs ont finalisé ce qui s’avère être une carte détaillée de l’intelligence émotionnelle chez l’humain, annonce The National Library of Medicine.

C’est en fait une carte des régions du cerveau qui abrite et provoque les réactions liées à cette intelligence, l’intelligence émotionnelle, et les chercheurs se sont basés sur des analyses effectuées sur des vétérans de la guerre pour y parvenir.

Ainsi, 152 vétérans aux prises avec différents types de blessures à la tête et au cerveau ont été soumis à des tests afin de déterminer les différences entre certains types d’intelligence.

Les spécialistes en tête de l’étude ont constaté que l’intelligence « classique » et l’intelligence émotionnelle sont souvent intrinsèquement liées, et qu’elles se « croisent » parfois lors de leurs réactions.

L’auteur principal de l’étude, Aron Barbey, explique : « Historiquement, nous croyions que l’intelligence générale était distincte de l’intelligence émotionnelle. Nous savons maintenant que des régions spécifiques du cerveau servent aux deux types d’intelligence, et que certaines blessures peuvent affecter certains aspects spécifiques de l’une ou l’autre, ou des deux ».

« Ce groupe de patients était remarquable, car il nous a permis de déterminer le degré de dommages nécessaires pour brimer le travail de ces réactions (intelligence émotionnelle et générale). »

Le Dr Barbey croit que ces découvertes permettront de meilleurs traitements dans le domaine neurologique.

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Nouvelle thérapie pour les victimes de crise cardiaque et d’anévrisme

Des chercheurs israéliens proposent une nouvelle façon de faire pour aider les victimes de crise cardiaque et d’anévrisme à se rétablir complètement, rapporte The National Library of Medicine.

Il s’agit d’une thérapie qui utilise l’oxygène pour accélérer le processus de rétablissement des patients à la suite d’un AVC ou d’une crise cardiaque. Ce n’est pas une nouvelle méthode en soi, puisque celle-ci est utilisée dans d’autres domaines et est connue sous le nom de thérapie hyperbare (utilisé notamment dans le sport professionnel).

Les chercheurs israéliens voulaient cette fois déterminer avec certitude les effets de la méthode hyperbare sur leurs patients, et ils ont réussi. Selon eux, tous les 59 patients observés lors de l’étude ont démontré des signes avancés de rétablissement précoce, à plus ou moins grande échelle.

Pour certains patients, les chercheurs parlent carrément d’une « amélioration radicale ».

La thérapie par oxygène cible particulièrement les lésions cérébrales causées par des accidents de type AVC, permettant de les soigner et de ramener le cerveau à son état fonctionnel antérieur.

On note particulièrement le cas d’une dame âgée de 62 ans qui a retrouvé la capacité de lire, parler, écrire, manger et marcher grâce à cette méthode.

Il s’agit d’un grand pas en avant pour des millions de patients à travers le monde, victimes de crise cardiaque et de rupture d’anévrisme.

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La structure cérébrale d’un bébé permet de déterminer son niveau de langage à un an

La revue médicale Brain and Language a publié une étude qui montre pour la première fois les liens entre certaines parties du cerveau et le développement du langage.

Dans le cadre de l’étude, 19 bébés de 7 mois, garçons et filles, ont subi un test de résonnance magnétique du cerveau.

Les chercheurs ont ensuite étudié la concentration de leur matière grise, qui consiste en une multitude de cellules nerveuses, et de matière blanche, qui forme les connexions dans le cerveau.

À l’âge de 12 mois, les bébés ont ensuite subi des tests évaluant leur babillage et leur compréhension du langage. Ceux qui avaient une plus grande concentration de matière grise et de matière blanche étaient plus avancés que les autres.

Cette conclusion a surpris les chercheurs, parce que ni l’hippocampe ni le cervelet n’étaient auparavant associés au développement du langage. Le premier est plutôt impliqué dans le processus de la mémoire, tandis que le second est associé au développement moteur, selon Science Daily.

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Autisme : une nouvelle découverte qui étonne

Des chercheurs affirment être très surpris des conclusions tirées de leur propre étude concernant l’autisme et ses effets sur la connexion de certains circuits cérébraux, dévoile The National Library of Medicine.

En effet, les chercheurs du Massachusetts tentaient de confirmer certaines théories voulant que la connectivité entre certaines parties du cerveau soit moins efficace chez les autistes que les autres, mais qu’elles agissaient tout de même en synchronisme. Plus encore, on croyait que ce que l’on appelle la « connectivité fonctionnelle » pouvait être plus active chez les autistes.

Or, on apprend que non seulement les parties du cerveau en cause ne sont pas en symbiose, mais aussi que la connectivité fonctionnelle fractionne chaque action de façon indépendante.

Les chercheurs tentent d’expliquer la signification de ces conclusions en y allant d’une métaphore musicale.

« Imaginez le cerveau comme un orchestre. Quand les violons sont coordonnés avec les instruments à vent, l’orchestre joue en harmonie. C’est un exemple de connectivité. La connectivité locale, c’est comme de se concentrer sur les violons alors qu’ils jouent tous ensemble. On croyait que, chez les autistes, “l’orchestre” n’était pas bien coordonné entre les sections, mais que les instruments similaires jouaient ensemble. Mais on se rend compte que chaque instrument joue indépendamment des autres. »

Cette découverte permettra une meilleure analyse du phénomène et aide à comprendre ce que peuvent traverser les gens aux prises avec l’autisme.

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Les blessures à la tête n’augmenteraient pas les risques de démence

Si les risques de démence en vieillissant ne sont pas augmentés par une blessure à la tête au cours de votre vie, il en va autrement des risques de nouvelles blessures, selon une nouvelle étude sur le sujet.

C’est www.nlm.nih.gov qui rapporte ces recherches, alors que plusieurs personnes s’inquiètent de leur avenir à la suite d’une blessure sérieuse à la tête.

C’est notamment le cas des sportifs, qui subissent souvent ce genre de chocs.

« Il y a beaucoup de peur chez les gens qui ont eu une blessure à la tête ou au cerveau, peur de développer d’horribles problèmes à long terme en vieillissant. Ce n’est pas vrai. Par contre, nous avons constaté un risque de nouvelle blessure similaire », explique l’auteure Kristen Dams-O’Connor, de l’école de médecine du Mount Sinai Medical Center à New York.

Voilà qui rassurera les principaux intéressés, surtout que l’étude est exhaustive, rassemblant des données depuis plus de 16 ans et analysant les cas de plus de 4000 adultes ayant déjà subi ce genre de blessures à la tête.

Les résultats ont été publiés récemment dans le Journal of Neurology, Neurosurgery & Psychiatry.

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De nouvelles informations sur l’origine génétique de l’autisme

Depuis 9 ans, des chercheurs de l’Université George Washington, située dans la ville du même nom, travaillent sur la manière dont certains troubles du comportement comme l’autisme, l’hyperactivité et la schizophrénie apparaissent très tôt dans le développement du cerveau.

Leur étude a prouvé pour la première fois que des lésions génétiques associées à des désordres comportementaux interrompent les mécanismes normaux des cellules et des molécules qui sont responsables du développement cérébral.

Dans une étude en laboratoire, les chercheurs ont démontré que chez les individus affectés, un type précis de neurone du cortex cérébral n’est pas produit en nombre suffisant durant le développement.

De plus, ces chercheurs ont noté que les interneurones, même s’ils sont produits en quantité suffisante, n’arrivent pas à se déplacer correctement dans le cortex pour bien contrôler son activité.

« Ces données nous procurent deux nouveaux morceaux de casse-tête supplémentaires sur la génétique derrière ce trouble du développement », a indiqué l’auteur de l’étude, le Dr Anthony-Samuel LaMantia, selon EurekAlert!.

La prochaine étape de cette étude consiste à pousser ces découvertes plus loin et à tenter d’investiguer les mécanismes moléculaires qui causent ces perturbations.

Les données ont été publiées dans le Journal of the National Academy of Sciences.

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Gènes reliés à l’Alzheimer et la schizophrénie présents dès la naissance

Pour l’étude menée aux États-Unis, le cerveau de 272 nouveau-nés âgés d’à peine quelques heures a été numérisé en utilisant la résonnance magnétique.

Leur ADN a également été analysé, les chercheurs ciblant particulièrement 10 variations communes dans 7 gènes qui sont liés à la structure cérébrale chez les adultes. Ces gènes sont également associés à l’autisme, la maladie d’Alzheimer, la schizophrénie, le trouble bipolaire, l’anxiété et la dépression.

Certaines variations génétiques, en particulier une qui est directement reliée à l’Alzheimer, étaient très similaires dans le cerveau des nouveau-nés et celui des adultes. Certaines autres variantes différaient chez le nouveau-né et l’adulte, ce qui veut dire qu’elles se développent plus tard dans la vie, par exemple à la puberté.

« Nos résultats suggèrent que le développement prénatal du cerveau pourrait avoir une très grande influence sur le risque de troubles psychiatriques plus tard dans la vie d’une personne », a affirmé l’auteure de l’étude, Rebecca Knickmeyer, citée par ScienceDaily.

Celle-ci a remarqué que tout un nouveau champ d’études pourrait être développé afin d’éventuellement arriver à prévenir le déclenchement de ces conditions par une intervention très tôt dans la vie des enfants à risque.