Catégories
Uncategorized

L’effet Sesame Street sur le cerveau des petits

Pour permettre de mieux comprendre le développement du cerveau, les chercheurs ont demandé à 27 enfants âgés de 4 à 11 ans de regarder un épisode de Sesame Street pendant 20 minutes, ainsi qu’à 20 adultes, aux fins de comparaison. Pendant ce temps, des appareils de résonnance magnétique ont été utilisés pour voir leur activité cérébrale.

Une numérisation a été produite toutes les 2 secondes, soit un total de 609 numérisations pour chaque participant. Les enfants ont ensuite fait des tests de QI standards axés sur les mathématiques et les habiletés verbales.

Les enfants dont le réseau de neurones ressemblait le plus à celui des adultes ont obtenu de meilleurs résultats dans les tests de QI, ce qui confirme que notre structure neuronale, comme d’autres parties de notre corps, se développe d’une manière prévisible à mesure que l’on vieillit.

Même si l’auteure de l’étude, Jessica Cantlon, ne favorise pas la télévision chez les enfants, elle affirme que « les modèles neuroniques pendant une activité de tous les jours sont reliés à la maturité intellectuelle d’une personne », selon Science Daily. « Ce n’est pas vrai que si vous placez un enfant devant une émission éducative, son cerveau décroche et qu’il ne se passe rien. »

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue médicale PLoS Biology.

Catégories
Uncategorized

Le fructose est-il le véritable coupable du surpoids?

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui porte encore une fois un blâme au fructose, un sucre retrouvé dans les fruits, qui se voit réutilisé mécaniquement dans une panoplie de produits retrouvés sur le marché, sous la forme notamment du sirop de maïs.

Cette fois, on suggère que le fructose pourrait bien être la cause principale de la hausse des cas d’obésité et des statistiques désastreuses concernant le poids moyen des Nord-Américains.

C’est qu’en plus d’être un sucre et de ne pas posséder de véritables vertus pour la santé, le fructose ne couperait pas non plus la faim. Ainsi, malgré de larges quantités ingérées, les gens seraient tout de même enclins à manger rapidement de nouveau pour aller finalement chercher ce sentiment de satiété.

Ce sont des chercheurs de l’Université Yale qui arrivent à ces conclusions, après avoir analysé les réponses cérébrales de 20 sujets types, des hommes adultes en santé, à la suite de la consommation de produits renfermant de fortes doses de fructose.

Les hormones associées à la satiété ne sont pas produites en grande quantité lorsque les sujets consomment du fructose. Pour les spécialistes, cela signifie que le cerveau envoie le message que le corps a encore faim, malgré des tonnes de calories déjà consommées.

Catégories
Uncategorized

Des tests au cerveau permettent d’identifier les risques de troubles bipolaires

Une nouvelle étude prétend qu’il est possible de détecter les personnes susceptibles de développer des troubles bipolaires à un très jeune âge.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs australiens ont utilisé des tests à résonnance magnétique au cerveau sur de jeunes sujets pour en arriver à ces conclusions.

« Nous avons trouvé, chez les gens qui ont un historique de bipolarité dans leur famille, une réponse cérébrale moins grande lors d’expressions faciales données, comme celles de la peur, que chez ceux qui n’ont pas (ou moins) de risques de développer ces troubles. Il s’agit d’une percée extrêmement prometteuse », explique l’auteur en chef de l’étude, Philip Mitchell, de l’Université New South Wales.

Le chercheur australien poursuit en expliquant que la zone cérébrale en question en est une qui doit justement réguler plusieurs réponses émotionnelles.

Cette étude permettrait de faire avancer la qualité des soins et traitements concernant les troubles bipolaires, en plus d’assurer une meilleure prévention, alors que d’autres recherches sont prévues à la suite de ce succès.

Catégories
Uncategorized

Des tests au cerveau permettent d’identifier les risques de troubles bipolaires

Une nouvelle étude prétend qu’il est possible de détecter les personnes susceptibles de développer des troubles bipolaires à un très jeune âge.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs australiens ont utilisé des tests à résonnance magnétique au cerveau sur de jeunes sujets pour en arriver à ces conclusions.

« Nous avons trouvé, chez les gens qui ont un historique de bipolarité dans leur famille, une réponse cérébrale moins grande lors d’expressions faciales données, comme celles de la peur, que chez ceux qui n’ont pas (ou moins) de risques de développer ces troubles. Il s’agit d’une percée extrêmement prometteuse », explique l’auteur en chef de l’étude, Philip Mitchell, de l’Université New South Wales.

Le chercheur australien poursuit en expliquant que la zone cérébrale en question en est une qui doit justement réguler plusieurs réponses émotionnelles.

Cette étude permettrait de faire avancer la qualité des soins et traitements concernant les troubles bipolaires, en plus d’assurer une meilleure prévention, alors que d’autres recherches sont prévues à la suite de ce succès.

Catégories
Uncategorized

Le QI ne mesurerait pas l’intelligence avec précision

Le QI, pour quotient intellectuel, est cette unité de mesure qui sert à déterminer la force de votre intelligence, qu’elle soit faible, moyenne ou au-dessus de la masse.

Utilisée depuis longtemps, elle plait à ceux qui ont de bons scores, alors que ceux qui obtiennent de moins bons résultats sont enclins à critiquer la méthode, on le comprendra.

Ceux-ci peuvent toutefois se réjouir d’une nouvelle étude sur le sujet, rapportée par topsante.com, qui prétend que l’unité de mesure connue sous le nom de « quotient intellectuel » ne serait pas précise et ne permettrait pas de définir réellement l’intelligence globale d’une personne.

C’est que selon les chercheurs britanniques en tête de l’étude, il faudrait au minimum trois tests différents pour arriver à un résultat concret. Des facteurs comme la mémoire à court terme, le raisonnement et les compétences verbales, notamment, devraient aussi être pris en compte dans l’évaluation de l’intelligence.

De plus, des tests sur le cerveau effectués par l’équipe de chercheurs ont démontré l’existence de trois types d’intelligence qui s’appuient sur différentes zones cérébrales.

Pour eux, il faut revoir radicalement la façon dont on analyse l’intelligence humaine.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans le magazine Neuron.

Catégories
Uncategorized

Des bactéries qui influencent l’appétit et nos choix

« Avoir faim » est un processus beaucoup plus complexe qu’il n’y parait, et des études récentes démontraient, notamment, que le cerveau peut jouer un rôle important dans la notion d’appétit.

Cette fois, c’est santelog.com qui rapporte une autre étude sur le sujet, qui parle des bactéries gastro-intestinales et de leur influence sur la faim.

On apprend dans ces recherches, publiées dans une édition du Journal of Bacteriology, que ces bactéries jouent non seulement un rôle majeur dans l’organisme, mais qu’elles agissent et réagissent aussi en partenariat avec l’individu pour prendre des décisions comme quand et quoi manger.

En effet, il semble que ces bactéries (et la flore intestinale) ont un comportement de « boucle » avec le cerveau et l’organisme, et réagissent en fonction de ce que l’on mange et selon nos habitudes.

Ce que cela signifie, c’est que les bactéries gastro-intestinales réagissent presque émotionnellement et sont influençables. À l’origine de certains cancers, elles subiraient des changements selon les humeurs de l’individu et enverraient des messages au cerveau, qui lui « répondrait » à son tour.

« Les bactéries sont la reconnaissance et la synthèse des hormones neuroendocriniennes », conclut Victor Norris, de l’Université de Rouen.

Il s’agit d’une découverte qui pourrait changer la perception et l’analyse des spécialistes en matière d’alimentation, d’obésité et de certaines maladies graves.

Catégories
Uncategorized

Percée majeure dans le domaine des neuro-prothèses

Santelog.com rapporte une percée importante dans le domaine de la robotique, plus particulièrement celui des neuro-prothèses.

Ces dernières viennent en aide aux gens souffrant d’un handicap majeur comme la paralysie partielle ou totale, afin de les aider à recouvrer certains mouvements. Le principe est déjà connu et utilisé, mais une percée majeure viendrait d’être effectuée.

Ce sont des chercheurs de l’Université de Pittsburgh qui ont réussi à faire bouger un bras robotisé par une dame de 52 ans complètement paralysée.

Ces résultats ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Lancet et font état de la procédure.

Il semble que les chercheurs américains avaient franchi une première étape en installant des microélectrodes dans le cerveau de la patiente en février 2012. Ces électrodes comprennent des puces qui permettent de transformer les pensées en signaux numériques, acheminées vers un ordinateur.

Au final, ce processus permet donc d’activer et de faire bouger un membre artificiel… par la pensée.

Andrew Schwartz, de l’équipe de chercheurs de Pittsburgh, résume : « C’est une avancée majeure dans la technologie d’interface cerveau-machine. La participante s’est montrée capable d’effectuer des mouvements des mains plus complexes avec son bras robotique. Le mouvement devient plus naturel et plus réaliste ».

Ces recherches sont cofinancées par la Defense Research Agency des États-Unis.

Catégories
Uncategorized

Les réactions face au stress seraient influencées par les neurones

www.nih.gov rapporte que des chercheurs ont réussi à identifier un processus cérébral qui pourrait expliquer pourquoi certaines personnes réagissent mieux que d’autres en situation de stress.

Il s’agit en fait d’un système précis de circuits cérébraux qui déclenchent une réaction de résilience ou de susceptibilité accrue face à des éléments stressants ou angoissants.

On croit que ce système est celui qui peut mener certaines personnes vers des états dépressifs lorsque confrontées à des événements ou des épreuves difficiles. On croit donc que certaines nouvelles méthodes pourraient être appliquées dans le traitement de la dépression ou de l’anxiété chronique, notamment.

Pour prouver ces dires, les chercheurs américains ont reproduit ce système sur des souris, en augmentant ou en inhibant le processus en question. Pour y parvenir, on a créé un système précis par luminosité, qui ne dure qu’une fraction de seconde.

Les rongeurs ont alors réagi exactement comme on le prédisait. Les souris plus « fortes » ont sombré dans des états dépressifs lorsque placées en situation de stress, alors que les souris plus anxieuses ont semblé plus résilientes, soudainement.

Le Dr Ming-Hu Han, de la Mount Sinai School of Medicine de New York, explique : « Pour la première fois, nous avons démontré qu’un contrôle spécifique de certains circuits du cerveau peut changer immédiatement les comportements dépressifs ou anxieux, notamment avec notre méthode, en utilisant une lampe DEL ».

Catégories
Uncategorized

Des greffes de cellules pour traiter le Parkinson dès 2013

Santelog.com nous apprend que pas moins de cinq greffes de cellules cérébrales sont au programme en 2013, afin de tenter d’aider des patients souffrant de la maladie de Parkinson.

C’est l’hôpital universitaire de Lund qui aura la tâche d’accomplir ces exploits, les traitements s’inscrivant dans le cadre d’une étude européenne. Ce sera la première tentative du genre depuis une décennie, et les résultats sont prometteurs.

Seule ombre au tableau, c’est bien entendu le fameux débat des cellules souches qui risque fort de revenir au premier plan de l’actualité. Plusieurs percées et traitements expérimentaux similaires à celui-ci seront mis à l’essai en 2013.

Dans ce cas-ci, on parle de remplacer les cellules cérébrales mourantes par des neuves, ce qui permettrait d’inverser (ou à tout le moins de combattre) le processus des maladies dégénératives comme le Parkinson, mais aussi la maladie d’Alzheimer.

Les thérapies cellulaires régénératives du genre ont rencontré plusieurs obstacles depuis la création du concept dans les années 80 et 90, mais les chercheurs ont bon espoir de réussir de petits miracles rapidement, entre autres grâce aux percées dans le domaine de la génétique et des nouvelles technologies.

Catégories
Uncategorized

Vieillir en bonne santé mentale grâce aux jeux, à la lecture et à l’écriture

www.nlm.nih.gov rapporte une étude publiée par des chercheurs qui affirment que les jeux et la lecture favorisent la bonne santé mentale en vieillissant.

L’écriture est aussi mentionnée dans la liste des activités qui permettraient au cerveau de conserver l’intégrité de sa structure et d’ainsi augmenter les chances de vieillir en bonne santé mentale.

Ainsi, selon les chercheurs du Rush University Medical Center and Illinois Institute of Technology, ces activités seraient beaucoup plus que de simples passe-temps pour les gens plus âgés.

Pour confirmer ces dires, ils ont étudié les effets de cette théorie sur les cerveaux de 152 personnes âgées en moyenne de 81 ans. On analysait les activités de la « matière blanche », qui transmet les informations reçues à travers le cerveau.

Ils ont facilement pu reconnaître les effets bénéfiques du jeu et de la lecture, notamment, sur la structure du cerveau.

Le chercheur Konstantinos Arfanakis conclut : « Lire le journal, écrire des lettres, aller dans une librairie, jouer à des jeux de société ou même aller au théâtre sont des activités qui contribuent à garder le cerveau en bonne santé ».