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Bientôt de meilleurs traitements contre les commotions cérébrales?

www.nlm.nih.gov rapporte que des chercheurs ont fait une découverte qui pourrait bien améliorer la qualité des soins offerts aux patients souffrant de commotion cérébrale.

En effet, des spécialistes affirment qu’ils ont décelé des changements au niveau du cerveau, observables dans les cas de commotion cérébrale, et qui pourraient faire progresser la façon de faire dans des cas de complications postcommotion, notamment.

L’étude, qui compile ces résultats, a été publiée dans le journal Radiology et fait état de tests effectués sur 23 patients aux prises avec une commotion cérébrale (ou en complication postcommotion), et sur 18 patients en parfaite santé.

Il appert qu’une commotion cérébrale influencerait des zones-clés du cerveau, celles-là mêmes qui place l’organisme en état de repos. Lors d’une commotion, les mêmes zones seraient influencées, plaçant le corps dans ce que l’on appelle « l’état de base réseau » (default-mode network). Ce dernier définit l’état d’une personne en repos, ou lorsqu’elle « part dans la lune ».

On constate que les conséquences d’une commotion sont vérifiables dans ces mêmes zones cérébrales, altérant le système réseau mentionné ci-haut. On constaterait le même genre d’altération chez les gens souffrant de la maladie d’Alzheimer.

Les chercheurs croient qu’une amélioration des traitements est envisageable à la suite de cette découverte.

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Le speed-dating stimulerait des zones clés du cerveau

Au royaume des études, en voici une qui sort de l’ordinaire et du cadre général de la santé mentale, mais qui touche un sujet si important aux yeux de tous (ou presque) : l’amour et la séduction.

Plus précisément, l’étude dont il est question est en lien avec le speed-dating, cette méthode moderne de rencontre qui place plusieurs candidats en face de vous, les uns après les autres, dans un très court laps de temps.

Or, il semble que ce phénomène permette de mieux comprendre de quelle manière les gens se font une idée d’autrui, souvent basée sur le physique et sur la première impression. C’est du moins ce qu’ont voulu observer les chercheurs de l’étude, rapporte www.nlm.nih.gov.

Et ils ont réussi à distinguer deux zones clés du cerveau qui s’affairent lorsqu’on est en processus de décision et de jugement, en l’occurrence ici stimulées par deux facteurs : l’apparence physique et la compatibilité.

Le Dr John O’Doherty, coauteur de l’étude, est très heureux de ces percées en matière d’analyse du cerveau.

« Les psychologues savent depuis un bon moment que les gens forment souvent des jugements rapidement, avec très peu de détails ou d’informations. Malgré tout, très peu de choses sont connues à propos de la façon dont ce processus fonctionne physiquement et concrètement, et surtout de quels impacts ce genre de comportement peut avoir sur nos interactions sociales et ses conséquences », conclut O’Doherty.

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L’horloge biologique aussi présente chez les cellules de graisse

Le phénomène d’horloge biologique serait aussi vérifiable dans les cellules de graisse, adipeuses, ce qui pourrait expliquer et corroborer l’importance des moments où vous prenez vos repas, selon santelog.com.

C’est ce qu’avance une nouvelle étude, qui vient rejoindre plusieurs autres précédentes sur le sujet, alors que des chercheurs ont réussi à enlever le « gène de l’horloge » des cellules adipeuses de souris.

Ce faisant, les messages envoyés par les cellules graisseuses au cerveau par l’entremise de l’hormone leptine pour annoncer les taux d’énergie en surplus ne se rendent plus.

Les souris commencent alors à grossir, voire devenir obèses, sans pour autant absorber plus de calories.

Il s’agit d’une découverte remarquable, qui pourrait prouver l’importance de manger à des heures régulières, ainsi que d’éviter de manger lorsque le corps s’attend à une période de repos. Cette dernière constatation viendrait d’ailleurs contredire certains articles publiés récemment sur le sujet.

On peut donc conclure que certaines personnes pourraient souffrir d’un syndrome que nous pourrions appeler celui de « l’horloge cassée », alors que les renseignements des cellules adipeuses ne se rendent plus, ou mal, au cerveau, et que la connexion avec le système nerveux central est déficiente.

Manger des repas à des heures aléatoires et pendant la nuit deviendrait alors catastrophique.

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Le soccer peut-il causer des dommages au cerveau?

Le soccer peut-il causer des dommages au cerveau? C’est une question que se sont posée des chercheurs allemands récemment, et qui a mené à une toute nouvelle étude sur le sujet.

C’est www.nlm.nih.gov qui rapporte les conclusions de ces recherches étonnantes, mais importantes, concernant un sport de plus en plus populaire à travers le monde, notamment en Amérique du Nord.

Les chercheurs du laboratoire de psychiatrie et neuro-image de la Harvard Medical School, Dre Inga Koerte en tête, expliquent : « Nous avons utilisé les systèmes d’imagerie par résonnance magnétique les plus sophistiqués pour enquêter sur la matière blanche du cerveau des joueurs de soccer professionnels qui n’avaient pas d’antécédents de blessure à la tête ou de commotion cérébrale ».

« Nous avons comparé les résultats à ceux de nageurs professionnels et avons constaté que oui, il y a des variations au niveau du cerveau. Ces changements ont aussi été observés chez d’autres sportifs qui pratiquent des sports de contact. Ils sont subtils, mais ils sont là. Il est difficile de dire quels seront les impacts de ces changements, mais ils sont observés dans des régions importantes pour la mémoire et l’attention, notamment. »

Ces résultats étaient publiés dans le Journal of the American Medical Association. D’autres études sont attendues sur le sujet.

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Du bleu pour éviter de tomber endormi au volant

Topsante.com rapporte que des tests ont été effectués sur des automobilistes, en conduite réelle, afin de tenter d’enrayer les accidents de voiture liés aux conducteurs endormis derrière le volant.

Et ils y seraient parvenus, toujours selon le site, par un moyen fort ingénieux. Figurez-vous que la simple diffusion d’une lumière bleue à l’intérieur d’un véhicule permettrait au conducteur de demeurer bien éveillé.

On lance même que cette technique serait tout aussi efficace que la caféine! Dur d’y croire, mais il semble pourtant que ce soit le cas, selon les chercheurs du laboratoire Sommeil, Attention et Neuropsychiatrie de l’Université Bordeaux Segalen.

Ces derniers expliquent que la diffusion continue d’une lumière bleue stimule des cellules nerveuses de la rétine qui sont reliées à des zones du cerveau qui régissent l’état de l’éveil.

Par conséquent et en parallèle, le taux de mélatonine qui sert à nous « endormir » la nuit ne serait pas augmenté, comme habituellement lorsqu’un conducteur devient fatigué.

Les spécialistes mettent par contre en garde les conducteurs qui voudraient tenter l’expérience qu’ils doivent s’assurer de ne pas s’aveugler eux-mêmes avec une lumière mal positionnée!

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Une forme héréditaire d’Alzheimer détectable rapidement

Santelog.com rapporte que des chercheurs croient pouvoir détecter la maladie d’Alzheimer, dans sa forme héréditaire, chez un patient dès l’âge de 18 ans!

Certains signaux seraient identifiables au cerveau, ceux-là mêmes qui sont à blâmer pour les pertes de mémoire éventuelles, et même la démence.

Ceci permettrait de détecter la maladie très tôt chez un patient, voire quelques décennies avant que les symptômes fassent leur apparition.

C’est en comparant les données relevées lors de tests sanguins et de numérisations du cerveau, entre de jeunes patients porteurs de la maladie et d’autres qui n’en étaient pas atteints, que les chercheurs sont arrivés à ces conclusions.

On a répertorié, chez les jeunes patients atteints, des niveaux plus élevés de l’amyloïde B1-42 dans le sang et dans le cerveau (liquide céphalo-rachidien) que chez les autres. Aussi, des zones différentes du cerveau des patients se sont activées lors de tests de mémoire.

D’autres observations ont été faites, ce qui confirmerait que des différences de structure sont observables chez des patients aussi jeunes que 18 ans. Ceci pourrait aider à prévenir la progression de la maladie, avec une détection précoce.

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Les « cellules T reprogrammées » prometteuses dans la lutte au cancer

Santelog.com rapporte une annonce du Human Gene Therapy, une revue spécialisée scientifique, sur des percées prometteuses qui ont été effectuées grâce aux « cellules T reprogrammées ».

Ces cellules, qui ciblent et détruisent les cellules tumorales, apparaissent comme de véritables sauveuses. Les plus grandes avancées se feraient dans les cas de cancer du cerveau.

C’est le Dr Richard Morgan qui mène cette vaste équipe internationale à la tête du projet, dont les membres font partie de l’Institut National du Cancer (NCI), du National Institute of Health (NIH) à Bethesda et de l’Université Duke.

Ceux-ci ont été en mesure de créer des cellules (Lymphocytes) T, qui cibleraient les antigènes retrouvés dans les cellules souches de gliomes, caractéristiques à plusieurs types de cancers agressifs au cerveau.

Souvent accompagnés d’un diagnostic mortel et d’une longévité maximale de deux ans, ces types de cancers pourraient bien être finalement contrés de façon efficace.

De son côté, Cellectis Therapeutics annonçait, au congrès de l’European Society of Gene & Cell Therapy, qu’elle venait de réussir à reprogrammer des cellules T qui enrayent et tuent les cellules cancéreuses.

On prévoit être en mesure éventuellement de produire ces cellules massivement, afin de soigner des patients atteints de cancer (cerveau, prostate, leucémie, poumon, etc.).

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L’aspirine pourrait contrer les effets du vieillissement du cerveau

Les vertus de l’aspirine sont déjà bien connues des gens qui souffrent de maladies cardio-vasculaires, ou qui souhaitent simplement prévenir des problèmes cardiaques, comme un AVC.

Mais voilà qu’une nouvelle étude suédoise propose l’idée que l’aspirine pourrait également être bénéfique pour soutenir le cerveau lors du vieillissement, contrant ainsi certains effets dommageables.

C’est en tout cas ce que rapporte le site nim.nih.gov, qui parle de ces bienfaits lors d’une prise quotidienne, toujours selon l’étude. Cette dernière a par ailleurs été effectuée sur 700 femmes de 70 à 92 ans, dont la plupart étaient déjà traitées pour des problèmes cardiaques divers.

Celles qui ont absorbé de petites doses d’aspirine de façon quotidienne auraient démontré un déclin mental moins important que celles qui n’en prenaient pas, sur une période totale de cinq ans.

Des tests de mémoire, de capacité verbale, et autres défis ont été utilisés pour en venir à ces conclusions. Les résultats sont clairs : les femmes utilisant l’aspirine ont démontré moins de perte de capacité cérébrale, certaines voyant même leurs scores (aux tests) augmenter!

Le Dr. Richard Isaacson, auteur en chef de l’étude, déclare : « Ce qui est bon pour le cœur est souvent bon pour le cerveau. »

Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net

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Des tests incroyables qui changent la perception

Cette nouvelle a de quoi surprendre et pour cause : elle semble tout droit sortie d’un film de science-fiction ou d’un épisode de Fringe.

C’est qu’un homme a vu ses perceptions être bousculées lors de tests effectués par des chercheurs de l’Université Stanford, rapporte www.nlm.nih.gov. Ces derniers ont utilisé une technique de stimulation cérébrale électrique (sans douleur) sur un patient, Ron Blackwell, un homme de 47 ans.

« Tu viens juste de te transformer en quelqu’un d’autre! Ton visage s’est métamorphosé. », a déclaré le sujet peu de temps après le test. En effet, sa perception des visages était soudainement altérée, n’arrivant plus identifier une personne qu’il avait pourtant sous les yeux depuis quelques minutes, voire des heures.

Voilà qui repousse les limites de notre compréhension de la « perception » et des réalités qui nous entourent. En stimulant des terminaisons nerveuses précises du cerveau à l’aide d’électrodes, les chercheurs ont pu dénaturer la réalité perçue par le patient, qui n’en croyait plus ses yeux.

« Tu ressembles presque à quelqu’un que j’ai déjà vu… mais quelqu’un de différent. Tu étais quelqu’un d’autre… comme si tes caractéristiques faciales s’étaient transformées. »

Une percée incroyable dans le monde encore inconnu du cerveau et de ses capacités. On suggère aussi qu’il pourrait s’agit d’une percée pour contrer certaines maladies rares, comme la prosopagnosie.

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L’exercice serait plus bénéfique que les activités sociales pour le cerveau

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui prétend que faire de l’exercice physique régulièrement serait encore plus efficace que les activités sociales ou les exercices mentaux pour contrer les effets du vieillissement sur le cerveau.

Pour cette étude, des chercheurs écossais ont examiné les dossiers de 638 patients nés en 1936 et ayant subi une numérisation du cerveau en 1973. Ces dates bien précises permettent un résultat plus précis que d’autres études effectuées sur le même sujet.

Déjà, bien sûr, les chercheurs faisaient un lien entre le vieillissement et les problèmes cérébraux, comme la perte de mémoire. Cependant, sur une période de trois ans, les spécialistes ont constaté, chez les patients qui suivaient un programme d’exercice physique régulier, un effet du vieillissement beaucoup moins présent et ravageur que chez ceux qui ne bougeaient pas.

Ainsi, on peut conclure que l’exercice peut bel et bien contrer les effets du vieillissement sur le cerveau.

L’auteur Alan Gow, de l’Université d’Édimbourg, explique : « Les gens de 70 ans et plus qui pratiquent des activités physiques, incluant la marche quotidienne, démontrent moins de signes de vieillissement ou d’affaiblissement du cerveau que les autres, inactifs. En contrepartie, nous avons constaté que les activités sociales et les exercices mentaux n’ont pas d’impact réel sur ce phénomène ».

La relation de cause à effet de l’exercice versus la conservation des facultés cérébrales demeure toutefois à prouver hors de tout doute.