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Du sang neuf pour contrer la maladie d’Alzheimer

Du sang de jeunes souris transfusé sur des souris plus âgées aurait permis d’inverser certains effets du vieillissement, ce qui donne de l’espoir concernant les traitements de la maladie d’Alzheimer, rapporte une étude.

C’est que nous apprend Santelog.com, alors que des chercheurs croient de plus en plus que le processus pourrait s’appliquer chez l’homme. C’est le cas du Dr Saul Villeda, de Stanford, qui dirige l’étude.

Il explique : « Je pense que de donner du sang neuf pourrait avoir un effet sur l’homme. Je n’y croyais pas, il y a seulement trois ans. C’est une technique qui pourrait bien contribuer à préserver les humains des pires effets du vieillissement, dont l’Alzheimer ».

Voilà des propos plus qu’optimistes, qui donnent de l’espoir à la communauté scientifique ainsi qu’aux patients.

Le Dr Villeda a donc connecté les systèmes circulatoires de deux souris, l’une âgée et l’autre jeune, afin de mélanger le sang. Après seulement quelques jours, le processus de vieillissement cérébral avait ralenti. Le nombre de cellules souches du cerveau avait même augmenté, ce qui est extraordinaire.

Cette étude complète des travaux effectués sur le même sujet par l’Université Stanford depuis 2011 et vient démontrer que le sang jeune pourrait bien sauver les gens plus âgés de terribles maux, un jour.

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Les traumatismes de l’enfance modifient à jamais le cerveau

Une toute nouvelle étude dévoile que les sévices, physiques ou psychologiques, pendant l’enfance, ainsi que la pauvreté ou le manque d’éducation des parents sont tous des facteurs qui modèlent le cerveau de l’enfant. Ils touchent les circuits nerveux et donnent lieu à des désordres émotifs et psychologiques.

Cette découverte a été présentée lors du Neuroscience 2012, la rencontre annuelle mondiale la plus élaborée quant à la science et la santé du cerveau.

Les conséquences, donc, vont des maladies mentales aux troubles cardiaques, en passant par la mémoire et les fonctions cognitives associées au stress.

Lors d’une conférence de presse, le Dr Bruce McEwen, spécialiste du stress et de ses effets sur le cerveau à la Rockefeller University, a déclaré : « […] cette étude révèle les régions spécifiques affectées par les traumatismes vécus durant l’enfance. »

Le Dr McEwen affirme ainsi que de nouveaux traitements, mieux adaptés, pourront être développés pour les gens atteints de ces maladies mentales, à la suite de cette découverte.

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Les effets de ne pas déjeuner sur le cerveau

Lorsqu’une personne est aux prises avec des problèmes de poids, il est facile pour elle de décider de ne plus manger du tout, ce qui est une très mauvaise idée.

C’est particulièrement vrai en ce qui a trait au petit déjeuner, selon ce qu’affirme une étude rapportée par Santelog.com.

Sauter le déjeuner aurait un impact puissant sur le bon fonctionnement du cerveau, expliquent les chercheurs qui dirigent l’étude.

Cette dernière, effectuée à l’Imperial College London et présentée devant la Society for Neuroscience lors de l’événement Neuroscience 2012, suggère que de ne pas déjeuner peut mener à de sérieux dérèglements de l’organisme.

De plus, on serait plus enclins à craquer pour de mauvais aliments, les gras surtout, plus tard dans la journée.

L’étude a été effectuée sur 22 personnes, 17 hommes et 5 femmes d’environ 24 ans. On numérisait les réponses cérébrales lors de différentes situations, soit avec un petit déjeuner ou sans. L’exercice a été répété à plusieurs reprises.

Les chercheurs concluent qu’une personne qui ne déjeune pas va consommer en moyenne 20 % de calories de trop quotidiennement, en plus de choisir les mauvais aliments.

Il serait donc plus facile, pour les gens qui se soucient de leur poids, de surveiller leur silhouette en déjeunant simplement.

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L’influence de l’environnement familial sur le développement cérébral de l’enfant

En résumé, ce que la recherche démontre, c’est que les enfants qui gravitent dans un environnement stimulant et enrichissant, notamment en relation avec les livres à leur disposition, ont un cortex cérébral plus mince en vieillissant.

D’autre part, tel que le rapporte myhelthnewsdaily.com, un cortex cérébral plus mince (couche externe du cerveau) est associé à une plus grande intelligence lors de tests afférents.

Brian Avants, professeur adjoint en radiologie à l’University of Pennsylvania, explique : « Le temps que nous passons en compagnie de nos parents, avant l’âge scolaire, influence directement le reste de notre vie ».

Pendant le processus de recherche, 64 personnes ont été suivies pendant plus de 20 ans. Leur environnement, pendant la petite enfance, avait été évalué, puis au fil des ans, des imageries par résonnance magnétique ont été produites à différents stades.

Avants explique la signification de l’amincissement du cortex : « En vieillissant, les parties les plus utilisées du cerveau éliminent un plus grand nombre de cellules, afin de conserver celles qui se spécialisent. Plus la zone est mince, plus elle est spécialisée dans certaines tâches ».

Ainsi, les enfants ayant été les plus stimulés dans la jeune enfance présentaient un cortex cérébral beaucoup plus mince vers l’âge de 18 à 20 ans.

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Des poumons en santé seraient bénéfiques pour le cerveau

Outre les raisons et bénéfices connus de s’occuper de sa santé pulmonaire, il appert que des poumons sains seraient aussi bénéfiques pour le cerveau, selon une étude.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui reprend des propos contenus dans une étude produite par des chercheurs suédois. Ceux-ci auraient réussi à tracer un lien entre la santé pulmonaire et la capacité du cerveau à résoudre des problèmes.

Si cela s’avère exact, on peut donc penser qu’il serait possible pour la population de prévenir les problèmes cognitifs et le « ralentissement » du cerveau dû à l’âge.

Les chercheurs suédois ont analysé les cas de 832 patients âgés de 50 à 85 ans, suivis depuis plusieurs années. Les résultats ont été publiés dans le journal Psychology Science.

Voici un extrait des commentaires exprimés par l’équipe, professeur Charles Emery en tête : « La conclusion logique de nos recherches et qu’il est assurément bénéfique pour les performances cognitives et cérébrales de maintenir une bonne santé pulmonaire ».

Il ajoute que, bien sûr, cesser de fumer et faire de l’exercice physique sont les deux premières clés.

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Des secrets de l’hypnose révélés

Des tests de résonnance magnétique effectués sur des patients sous hypnose révèlent certains secrets de cet art, rapporte www.nlm.nih.gov.

Il appert que le cerveau des gens qui sont sensibles à l’hypnose est différent de celui de ceux qui ne sont pas « hypnotisables », affirme cette étude récente.

Les chercheurs ont utilisé des tests de résonnance magnétique (MRI) afin d’examiner l’activité de trois zones du cerveau sur 12 adultes réceptifs à l’hypnose, et sur 12 qui ne le sont pas.

Les trois zones, ou réseaux, du cerveau analysées étaient le mode « pause », le mode « exécutif », utilisé lors d’une prise de décision, et le mode « saillie », utilisé lorsque l’on veut choisir entre deux options.

Ainsi, on a constaté que les deux groupes avaient le même système cérébral de « pause », mais que ceux qui s’avéraient de meilleurs sujets d’hypnose avaient des systèmes « exécutif » et de « saillie » plus coopératifs.

L’hypnose permet d’aider les gens aux prises avec des problèmes de douleur, d’angoisse, de stress et phobiques.

Le Dr David Spiegel conclut : « Jamais une signature cérébrale d’hypnose n’a été obtenue, et nous sommes sur le point d’y arriver ».

Un tel accomplissement pourrait jeter beaucoup de lumière sur l’obscur processus de l’hypnose sur le cerveau humain.

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Un phénomène rare lié à l’obésité, la dépression et les troubles d’attention

Des chercheurs ont découvert une mutation génétique qui serait liée à plusieurs problèmes de santé et maladies mentales modernes, comme l’obésité et la dépression, selon www.nlm.nih.gov.

De fait, il semble que certaines personnes procèdent, sans le vouloir, à un « effacement » de ce qu’on appelle le facteur neurotrophique du cerveau, ou BDNF en anglais.

Ce comportement est une mutation et pourrait entraîner certains dérèglements biologiques liés aux problèmes d’obésité, de dépression, d’anxiété et de trouble de l’attention.

Le facteur neurotrophique du cerveau joue un rôle important dans le développement du cerveau et de ses capacités.

Ces résultats sont le fruit d’une étude qui ciblait 65 000 personnes à travers le Canada, les États-Unis et l’Europe. Les patients visés montraient des problèmes de poids, d’humeur, de retard intellectuel ou de trouble de l’attention.

Du lot, les chercheurs de l’Université McGill ont réussi à trouver cinq cas d’effacement du facteur neurotrophique du cerveau, ce qui vient confirmer leur théorie.

Bien entendu, vu le nombre de cas limités, on comprend qu’il s’agit d’un phénomène rare.

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Un geste simple pour ne pas crouler sous la pression

Une nouvelle étude démontre qu’un tout petit geste pourrait améliorer la résistance à la pression, selon nlm.nih.gov.

Le secret résiderait dans la main gauche!

En effet, il semble que de simplement presser une balle (les balles antistress, par exemple) de la main gauche aurait un effet bénéfique sur le cerveau.

Les mêmes effets seraient observables en pliant simplement la main gauche à quelques reprises.

Ainsi, les gens qui doivent performer sous pression pourraient voir diminuer leur chance de s’écrouler dans les moments importants. Les athlètes, par exemple, sont des exemples parfaits de personnes qui peuvent bénéficier de ce « traitement ».

Les chercheurs allemands de l’étude ont testé leur théorie sur des joueurs de soccer, de badminton et des judokas. Les tests ont été effectués durant des pratiques et des compétitions.

L’étude, publiée dans le Journal of Experimental Psychology: General, conclut que les droitiers qui pressent une balle dans leur main gauche avant une compétition ont une meilleure résistance à la pression que ceux qui font le même geste, mais de la main droite.

On peut donc déduire que la main gauche a bel et bien un effet sur le cerveau, activant l’hémisphère droit. Les données concernant les gauchers n’ont pas été compilées.

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Le gras modifie le cerveau

Des chercheurs britanniques auraient peut-être trouvé pourquoi certaines personnes ont du mal à se contrôler devant des aliments.
 
Selon l’équipe du Rowett Institute à l’Université d’Aberdeen au Royaume-Uni, une alimentation trop grasse modifie les zones du cerveau qui régulent l’appétit.
 
Les tests menés sur des souris soumises à un régime de 60 % de gras montrent des dommages cérébraux semblables à l’inflammation ou l’embolie cérébrale.
 
Il y a une modification génétique ainsi qu’une altération des protéines dans l’hypothalamus, la zone qui régule l’appétit et les dépenses énergétiques, ce qui expliquerait pourquoi certaines personnes ont du mal à se mettre au régime.
 
« Les produits trop gras et trop sucrés sont des aliments à forte densité énergétique et au goût savoureux dont on a vite fait de manger en grande quantité », déclare Lynda Williams, directrice de recherche. « Cela expliquerait pourquoi il est également difficile pour les personnes obèses qui ont suivi un régime de maintenir leur perte de poids. »
Ces résultats ont maintenant besoin d’être confirmés chez l’homme.
 
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L’alcool peut déformer certains neurones du cerveau

Déjà, on savait que l’alcoolisme avait un lien avec les troubles anxieux, mais le Nature Neuroscience pousse plus loin les observations.
 
L’alcoolisme peut augmenter les risques d’anxiété et réduire les capacités de récupération psychologique après une expérience traumatisante.
 
Un alcoolisme prolongé cause une déficience du contrôle cognitif sur l’émotionnel. Cela détruit un mécanisme essentiel pour la récupération des traumatismes, ce qui accroît le stress post-traumatique.
 
Des souris ont reçu une dose d’alcool équivalant au double de la limite chez l’homme, elles entendaient un son qui était suivi d’une petite décharge électrique. Même longtemps après avoir cessé de donner des décharges, les souris « alcooliques » demeuraient craintives en entendant le son, alors que celles qui n’avaient pas eu de consommation excessive d’alcool finissaient par avoir de moins en moins peur.
 
De plus, en comparant leur cerveau, on observe que sous une exposition chronique à l’alcool, les neurones du cortex préfrontal changent de forme et le récepteur clé NMDA est désactivé.
 
« La prochaine étape sera de tester si nos résultats précliniques se vérifient sur les patients avec abus d’alcool atteints du SSPT. Si c’est le cas, c’est le début du développement de médicaments pour traiter les patients souffrant de troubles anxieux qui ont aussi une histoire de consommation excessive d’alcool. Nous sommes aujourd’hui en mesure d’offrir un aperçu de la façon dont l’alcool peut perturber le fonctionnement de certains circuits cérébraux très spécifiques », explique le Pr Andrew Holmes, auteur principal de la recherche.