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Nouvelles données concernant les effets de l’alcool sur le cerveau

Depuis bien longtemps, on prône les bienfaits d’une consommation modérée d’alcool sur la santé cardiaque.
 
Depuis, on a également trouvé des effets bénéfiques sur le déclin cognitif et la démence, mais cette association demeure encore floue.
 
Selon les chercheurs, il serait encore prématuré de recommander de consommer de l’alcool modérément et régulièrement afin de prévenir les troubles de démence.
 
Selon le Psychiatry Investigation, l’étude confirme qu’une consommation légère d’alcool peut réduire de 35 à 45 % le déclin cognitif et la démence chez les personnes âgées.
 
Seulement, pour une consommation modérée, les choses demeurent à être éclaircies.
 
Pour les bienfaits cardiaques, tout est plus défini, mais pour le cerveau, les données sont encore trop récentes, rappellent les experts.
 
Bien que la tendance semble prometteuse, il importe de demeurer prudent. Quoi qu’il en soit, une grande consommation d’alcool sera toujours néfaste pour la santé.
 
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Les acides gras sont aussi mauvais pour le cerveau

Depuis longtemps connus comme étant mauvais pour la santé cardiaque, les acides gras, comme les gras saturés et les gras trans, sont maintenant liés a une perte de mémoire et un déclin des fonctions cognitives globales.
 
L’étude, publiée dans les Annals of Neurology, a été effectuée auprès de 6000 femmes. Elles devaient passer trois tests de fonctions cognitives tous les deux ans pendant quatre ans, en plus de répondre à un questionnaire sur leurs habitudes alimentaires.
 
« Lorsque l’on regarde les évolutions de la fonction cognitive, nous constatons que le montant total de l’apport en graisses n’a pas vraiment d’importance, mais le type de matières grasses en a », mentionne la Dre Olivia Okereke.
 
Les femmes qui consommaient plus de graisses saturées avaient de moins bons résultats aux trois tests cognitifs.
 
Cela prouve qu’un simple changement dans notre alimentation pourrait nous aider à lutter contre plusieurs problèmes, dont la démence.
 
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L’apnée du sommeil et ses conséquences sur les enfants

L’ablation des végétations et des amygdales, suivie d’un traitement par pulvérisation nasale, a permis d’améliorer la qualité de vie de jeunes souffrant du syndrome d’apnée obstructive du sommeil (SAOS).

L’efficacité de ce genre de traitement a été démontrée en comparant des résultats par IRM à des tests neuropsychologiques qu’ont effectués des petits souffrant du SAOS, avant et six mois après le traitement.

« Lorsque le SAOS est pris en charge de manière précoce, cela peut inverser les lésions cérébrales aux neurones et apporter une amélioration plus rapide dans l’hippocampe, la station de relais pour les fonctions exécutives, l’apprentissage et la mémoire », a déclaré le Dr Halbower, auteur de l’étude et professeur agréé au Centre du sommeil des enfants de l’Hôpital du Colorado, qui avance que son étude est la première à faire un tel constat.

Le spécialiste mentionne l’importance de diagnostiquer et de traiter tôt un problème d’apnée du sommeil chez l’enfant pour éviter que les fonctions d’exécution et les capacités cognitives du cerveau des petits soient touchées.

Les conclusions du Dr Halbower ont été présentées lors de la Conférence internationale de l’American Thoracic Society à San Francisco, rapporte SantéLog.

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L’acide folique peut réduire les risques de cancers pédiatriques

Depuis quelques années, l’acide folique était connu pour réduire le risque d’anomalies du tube neural chez les nouveau-nés.
 
Voilà que des chercheurs des universités de Washington et du Minnesota viennent enrichir les bienfaits de l’acide folique en période prénatale, en démontrant son incidence sur le cancer du rein (tumeur de Wilms) et les tumeurs cérébrales (tumeurs primitives neuro-ectodermiques PNET) chez l’enfant.
 
Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont remarqué qu’après 1992, moment où l’apport de 400 microgrammes d’acide folique par jour pour la future mère a été recommandé par la FDA, les taux d’incidence des tumeurs de Wilms et PNET avaient diminué.
 
Les effets bénéfiques d’un apport de vitamine B9 dans l’alimentation ou en suppléments ont surtout été constatés pour les enfants nés à partir de la fin des années 90, révèle l’étude parue dans la revue Pediatrics qui s’est basée sur les données de 8829 bambins enregistrées au National Cancer Institute entre 1986 et 2008.
 
Un surplus d’acide folique chez la femme en âge de procréer n’a pas permis de prouver la réduction des risques de cancers pédiatriques autres que ceux du rein et du cerveau.
 
Les chercheurs précisent toutefois que la bonne nouvelle est que si l’acide folique ne diminue pas les risques d’autres cancers, il ne les augmente pas non plus.
 
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Le sucre affecte négativement le fonctionnement du cerveau

Les gens qui consomment beaucoup de sucre voient leurs fonctions cérébrales et leur mémoire être affectées.
 
Selon une étude américaine parue dans le Journal of Physilogy, des travaux effectués sur des rats démontrent qu’une grande consommation de fructose, notamment dans le sirop de maïs, ralentit les fonctions du cerveau.
 
Déjà auparavant, des études avaient démontré que le fructose avait des effets dévastateurs pour l’organisme et faisait augmenter les risques de diabète, d’obésité et d’accumulation de graisses dans le foie. Cette fois, on constate les dommages au cerveau.
 
Le sirop de maïs est très sucré et souvent utilisé dans les sodas, les aliments industriels et les condiments de nourriture pour bébé.
 
« Avoir un régime alimentaire riche en fructose peut à long terme altérer vos capacités à apprendre et à mémoriser, mais la consommation régulière d’acides gras oméga-3, dont sont riches certains poissons ou par exemple les graines de lin, peut aider à minimiser les dommages provoqués par ce genre de sucres », déclare le Dr Fernando Gomez-Pinilla.
 
Détrompez-vous, le fructose naturel des fruits, par contre, est bon pour la santé et contient de nombreux antioxydants.
 
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Parler de soi est une grande source de plaisir

Certaines personnes aiment beaucoup parler d’elles-mêmes et ce n’est pas surprenant, c’est neurologique.
 
Selon des neuroscientifiques de Harvard, parler de soi est une véritable source de plaisir, au même titre que le sexe, la nourriture et la musique.
 
Selon l’activité cérébrale observée sur certaines personnes, parler de soi active les mêmes zones du cerveau liées à la récompense.
 
Même en offrant de l’argent afin que les participants parlent d’autres personnes, on remarque qu’elles donnent des informations personnelles, n’ayant même aucun lien avec le sujet.
 
L’étude, parue dans le Harvard Crimson, démontre que nous passons de 30 à 40 % de notre expression orale à informer les autres sur nos propres expériences subjectives.
 
En bref, la moitié de notre temps de parole sert à parler de nous-mêmes, souvent pour éviter de parler des autres et garder l’attention de la conversation sur nous.
 
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Un bébé prématuré ne doit pas être confronté au stress

Si l’entourage et les parents de bébés prématurés se sentent angoissés, ce n’est rien de comparable à ce que vit le nouveau-né lorsqu’il arrive dans le monde, un environnement souvent « inadapté » pour lui.

Selon Olivier Baud, chef de service de réanimation et pédiatrie néonatales de l’hôpital Robert-Debré : « Si l’enfant prématuré est trop stressé, les connexions neuronales de son cerveau en sont altérées ». Une situation qui peut grandement affecter le développement de l’enfant à moyen terme.

Voilà pourquoi il est important de minimiser les stimulations auditives, olfactives, visuelles et tactiles environnantes au bébé, comme le bruit des machines, la lumière, les gens qui parlent.

D’ailleurs, de plus en plus d’infirmières sont formées pour procurer au bébé le confort dont ils ont besoin et éviter les sources de stress. Elles sont davantage portées à travailler dans le silence, à limiter les prises de sang et à poser des gestes lents et doux, car la douleur presque constante que ressent un bébé prématuré est très perturbante pour lui.

Parmi les autres facteurs qui peuvent provoquer du stress au nouveau venu, les professionnels parlent de la séparation physiologique très déroutante du placenta et des maladies souffrantes induites par la prématurité elle-même.

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La motivation dépend du niveau de dopamine dans le cerveau

Le Journal of Neuroscience révèle que la motivation et le découragement dépendraient du niveau de dopamine dans certaines zones du cerveau lors de l’accomplissement d’une tâche.
 
Cette découverte expliquerait pourquoi certaines personnes sont capables de travailler plus durement que d’autres.
 
À l’Université Vanderbilt, on a demandé à des personnes d’appuyer rapidement sur un bouton pour gagner de l’argent. Chacune d’elles devait démontrer jusqu’à quel point elle était prête à fournir des efforts pour gagner. Certaines ont même relevé des défis extrêmes.
 
Grâce à l’imagerie de leur cerveau, on a pu mesurer l’activité de celui-ci. On remarque ainsi que les personnes qui sont prêtes à fournir des efforts ont une réaction plus forte de la dopamine dans le cerveau, comparativement à celles qui n’osent même pas essayer de relever le défi, en raison des efforts supplémentaires que cela leur demande.
 
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Des pesticides qui nuisent au développement neurologique des enfants

Alors qu’il n’est plus autorisé pour usage domestique aux États-Unis, le chorpyriphos-éthyl est encore très répandu dans les parcs, sur les fruits et légumes, en agriculture, sur les terrains de golf, etc.

Même à des niveaux modérés, le pesticide peut avoir un effet néfaste sur le fœtus et faire en sorte que l’enfant développe des « anomalies importantes », a révélé une étude parue dans les Proccedings of the National Academy of Sciences.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs de la Mailman School of Public Health ont comparé, par imagerie à résonnance magnétique (IRM), le comportement de 20 enfants âgés de 5 à 11 ans dont les mères avaient été surexposées au chlorpyriphos-éthyl durant la grossesse à celui de 20 enfants dont les mères avaient été aussi exposées à ce pesticide, mais à des niveaux moindres, explique l’Agence France Presse.

Il a été démontré qu’une exposition de la mère durant la grossesse à des niveaux modérés de ce pesticide pouvait avoir des effets irréversibles sur le développement du cerveau du bambin et causer des retards.

Il a également été prouvé que les mères qui avaient été fortement exposées à la substance avaient davantage d’enfants dont certaines zones du cerveau étaient plus développées qu’habituellement et dont le QI était déficitaire.

Des études supplémentaires seront toutefois nécessaires pour confirmer cette dernière donnée et ses effets à long terme sur la vie de l’enfant.

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Tromper le cerveau pour manger moins

Des chercheurs japonais de l’Université de Tokyo ont trouvé un moyen technologique pour tromper le cerceau et ainsi aider les gens à maigrir.
 
Le tout est relativement simple, il suffit de faire croire au cerveau que la quantité de nourriture consommée est plus importante qu’elle ne l’est en réalité.
 
Les chercheurs ont créé une lunette spéciale dotée d’une caméra connectée à un ordinateur qui trafique l’image.
 
Cette lunette agrandit le morceau de nourriture consommée, mais sans grossir la main qui le manipule. Ainsi, le cerveau croit que la portion est plus grande, et le sentiment de satiété arrive plus rapidement.
 
Lors des tests, lorsque l’image était agrandie de 50 %, les gens consommaient 10 % moins de nourriture. Par contre, si l’on réduisait l’image de 33 %, il y avait une consommation d’aliments plus grande de 15 %.
 
Mentionnons toutefois que la commercialisation de cette lunette n’est pas pour bientôt.