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Le régime méditerranéen conserve le cerveau en santé

Une nouvelle étude mentionne que le régime méditerranéen est excellent pour maintenir le cerveau en bonne santé et prévenir les troubles cognitifs liés à l’âge, y compris la maladie d’Alzheimer.
 
Selon les Archives of Neurology, 1000 personnes ayant une moyenne d’âge de 72 ans ont participé à cette recherche.
 
On constate qu’une alimentation riche en végétaux, poissons, huile d’olive et faible en viandes rouges et en produits laitiers diminue les risques de développer des lésions cérébrales liées aux troubles cognitifs.
 
Le régime méditerranéen est aussi reconnu pour ses bienfaits sur la santé cardiovasculaire et le fait qu’il diminue les risques de développer un cancer.
 
On croit que cette alimentation maintient les cellules grises en bonne santé en diminuant l’inflammation, et que les antioxydants protègent le cerveau.
 
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Les bébés éveillent des sentiments insoupçonnés chez les hommes

Pour les hommes, l’amour donne l’envie d’avoir un enfant. Des chercheurs de l’Université Bar-Ilan, en Israël, ont publié dans la revue Biological Psychiatry des résultats surprenants au sujet de la réaction de certaines régions du cerveau lorsqu’il est question de parentalité.
 
Il semblerait qu’à la vue d’un bébé, certaines zones soient davantage activées chez les hommes récemment amoureux plutôt que chez les célibataires et les femmes.
 
On a compté 65 personnes qui ont participé aux tests. Parmi eux, des couples de jeunes parents, des amoureux et des célibataires ont été soumis à l’électroencéphalographie (une technique permettant de mesurer l’activité électrique du cerveau) pendant qu’on leur montrait des photos d’enfants. Les bébés des couples de parents y figuraient également, décrit le site Futura-sciences.
 
Les chercheurs ont noté que les amoureux et les couples ont réagi davantage que les célibataires à la vue des nourrissons inconnus, puisque les électroencéphalogrammes montraient que les régions du cerveau impliquées dans la parentalité (noyau accumbens, cortex cingulaire antérieur ou amygdale) avaient une activité électrique plus intense.
 
Sans l’ombre d’un doute, cette activité s’accentuait plus encore lorsque les parents étaient devant une photo de leur nouveau-né.
Une étude plus globale exécutée sur un plus grand nombre de personnes permettrait de confirmer ou d’infirmer ces données.
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Il est possible de réduire la douleur sans médicament

Le Psychological Science rapporte une nouvelle étude qui confirme qu’il est possible de réduire la douleur sans médicament.
 
Il a déjà été démontré que l’effet placebo était efficace. Cela consiste à remettre un médicament sans effet aux personnes en leur faisant croire qu’elles reçoivent un véritable remède. De plus, s’occuper l’esprit réduit aussi la douleur.
 
Les chercheurs voulaient donc savoir si les deux méthodes utilisaient les mêmes circuits cérébraux, car dans les deux cas, on a noté qu’une zone du cortex préfrontal était impliquée.
 
33 personnes ont participé à la recherche. Dans un premier temps, on a soumis leur peau à de la chaleur. Dans un deuxième temps, certaines personnes ont reçu une crème présentée comme un puissant analgésique, et d’autres ont eu une crème dite hydratante.
 
Certaines de ces personnes devaient également se soumettre à une tâche de mémorisation complexe. Ensuite, on a inversé les crèmes dans les groupes.
 
On constate qu’il y a réellement eu une diminution de la douleur avec l’effet placebo autant qu’avec une tâche intellectuelle, mais on confirme que les deux n’utilisent pas les mêmes circuits cérébraux, car ensemble, leurs effets s’additionnent et la douleur devient encore moins importante.
 
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Découverte pour stimuler la mémoire

Des neurologues américains viennent de démontrer qu’il est possible de stimuler une zone du cerveau afin d’accroître la mémoire.
 
Selon le New England Journal of Medicine, l’équipe de chercheurs s’est concentrée sur le cortex entorhinal, qui est la région clé de la mémoire et le principal passage avant l’hippocampe qui traite les signaux et la mémorisation.
 
« Le cortex entorhinal est la porte d’accès à l’unité centrale de la mémoire. Toute expérience sensorielle ou visuelle que nous gardons en mémoire passe par cette porte pour accéder à l’hippocampe. Nos cellules cérébrales doivent envoyer des messages par ce passage pour que la mémoire se forme et puisse être consciemment retrouvée », précise le Dr Itzhak Fried.
 
Pour cette étude, on a suivi sept patients épileptiques qui avaient déjà des électrodes implantées dans le cerveau afin de mieux comprendre leurs convulsions. Ces mêmes électrodes ont donc été utilisées pour mesurer l’activité cérébrale lorsque la mémoire se formait.
 
Les personnes ont dû jouer à un jeu vidéo où elles étaient des chauffeurs de taxi qui prenaient des passagers et sillonnaient la ville.
 
« Quand nous stimulions électriquement les fibres nerveuses du cortex entorhinal au moment où les sujets apprenaient à reconnaître les différents routes et lieux, ils parvenaient à se repérer plus facilement dans la ville. Ils ont même appris à prendre des raccourcis, montrant une amélioration de la mémoire spatiale. C’est la stimulation du passage d’accès à l’hippocampe qui a été efficace pour stimuler la mémorisation, pas l’hippocampe lui-même », mentionne le Dr Fried.
 
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Découverte sur le fonctionnement du cerveau lors d’un risque de collision

Une équipe de l’Université McGill à Montréal, en collaboration avec une équipe américaine, a découvert les calculs mathématiques que les neurones doivent faire lors d’un risque de collision. Ceci pour évaluer la distance qui nous sépare de quelque chose, la vitesse 3D d’un objet et la distance sur une surface par rapport à nous.

Étonnamment, ces résultats étaient inconnus jusqu’ici, malgré leur relative simplicité. En fait, les neurones situés dans l’aire MST du cortex visuel du cerveau réagissent aux mouvements, comme l’expansion, la rotation et la déformation. Ils traitent les informations acheminées par d’autres neurones.
 
« Un des aspects intéressants des calculs est qu’ils semblent être de même nature que ceux constatés chez les mouches et les coléoptères, ce qui porte à croire que l’évolution a déjà résolu ce problème, il y a au moins quelques centaines de millions d’années », ajoute le neuroscientifique Christopher Pack.
 
Cette découverte permet de mieux comprendre le sens de la vue, mais approfondit également les connaissances sur le cerveau.
 
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Le café décaféiné est aussi bon pour la mémoire

Une étude parue dans le Nutritional Neuroscience démontre que même le café décaféiné a des effets bénéfiques pour le cerveau.
 
Que ce soit le diabète de type 2, la maladie d’Alzheimer ou d’autres maladies neurodégénératives, elles sont toutes liées au métabolisme du glucose dans le cerveau. Celui-ci décline, accélérant donc le déclin cognitif et l’apparition de la démence.
 
Des chercheurs de la Mount Sinai School of Medicine ont découvert que le café décaféiné peut améliorer ce métabolisme énergétique sur le cerveau des souris, ce qui laisse croire que les mêmes résultats pourraient être obtenus chez les hommes.
 
Ceci prouve donc que d’autres composants que la caféine peuvent améliorer la mémoire. Heureusement, car la consommation de caféine n’est pas toujours recommandée en raison des risques cardio-vasculaires.
 
« Cette étude montre les bénéfices du café décaféiné à la fois pour prévenir et traiter le déclin cognitif provoqué par le diabète de type 2, par le vieillissement ou par les maladies neurodégénératives », explique le Dr Giulio Maria Pasinetti.
 
Cette découverte ouvre la voie à la création de nouvelles thérapies.
 
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La maladie d’Alzheimer se propage d’une zone à l’autre du cerveau

Les nouvelles hypothèses se confirment, la maladie d’Alzheimer se développerait à partir d’une seule zone du cerveau et se propagerait ensuite à d’autres.
Selon la revue PLoS ONE, la maladie agit comme une infection. Seulement, c’est la protéine tau qui se propage en étouffant et en détruisant les cellules nerveuses et les neurones. Elle se répand en utilisant les liens entre les cellules cérébrales.
 
En parvenant à bloquer ce processus, on freinerait cette maladie dégénérative.
 
« La meilleure façon de soigner l’Alzheimer pourrait être de l’identifier et de le traiter tout au début pour bloquer sa progression, car aux premiers stades, la maladie est plus sensible aux thérapies. Si nous trouvons le mécanisme par lequel tau se propage d’un neurone à l’autre, on pourra potentiellement empêcher cette protéine anormale de passer d’une cellule nerveuse à l’autre par les synapses en recourant peut-être à une forme d’immunothérapie », explique la Dre Karen Duff.
 
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Le comportement d’une mère influence le développement du cerveau de son enfant

Une étude prospective de l’Université Washington à St. Louis, publiée dans Proceedings of National Academy of Sciences, laisse entrevoir la possibilité que l’augmentation du volume de l’hippocampe soit due au comportement qu’aura une mère envers son petit durant l’enfance.

Les chercheurs ont remarqué que l’augmentation du volume hippocampique était significative seulement pour les enfants qui n’étaient pas déprimés; une découverte importante qui laisse croire aux chercheurs qu’une dépression précoce durant la jeunesse peut affecter le développement cérébral.

L’augmentation du volume de l’hippocampe peut se traduire par des changements épigénétiques dans la méthylation de l’ADN et par l’accroissement du développement neuronal et la ramification.

Les résultats de cette étude suggèrent que le soutien maternel en bas âge exerce une influence positive sur le développement de l’hippocampe chez les enfants sans dépression. Par contre, chez les enfants déprimés, leurs comportements ont des effets négatifs et entravent les avantages potentiels de l’aide maternelle, pensent les scientifiques.

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Du lait pour augmenter la puissance de votre cerveau

L’International Diary Journal rapporte que les personnes qui boivent du lait quotidiennement sont cinq fois plus susceptibles de mieux réussir les tests de mémoire et les tests cognitifs que celles qui ne consomment pas de lait.
 
Bien que des études supplémentaires soient nécessaires, il est recommandé de consommer du lait tous les jours, notamment en raison de ses nombreux bienfaits, entre autres, pour la santé des os, mais aussi pour son apport en protéine, calcium et vitamine C. Il est préférable toutefois de privilégier le lait faible en gras.
 
Les personnes qui disaient boire au moins un verre de lait tous les jours ont eu de meilleurs résultats aux tests cognitifs et de mémoire. Les meilleures notes ont été observées chez celles qui consommaient au moins deux verres de lait quotidiennement.
 
Durant cette étude, on a également remarqué que les buveurs de lait avaient, en général, une meilleure alimentation globale.
 
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Les bébés naissent avec une connaissance de la physique

Bien que les nourrissons puissent sembler des créatures sans défense qui ne font que manger, pleurer et dormir, une chercheuse de l’Université du Missouri affirme que les cerveaux infantiles sont équipés de la connaissance de « physique intuitive ».

C’est en mesurant le regard d’un enfant lorsqu’il est présenté à des scénarios différents que nous pouvons savoir que les bébés naissent avec des attentes sur les objets autour d’eux.

« L’enfant raffine et développe ses connaissances et capacités au fil du temps », a déclaré Kristy vanMarle, une professeure adjointe au Département des sciences psychologiques.

Les preuves de la physique intuitive surviennent chez les nourrissons dès l’âge de deux mois — le plus jeune âge auquel les tests peuvent se produire. À cet âge, les nourrissons comprennent que les objets non attachés peuvent tomber et que les objets que l’on cache existent toujours.

Dès cinq mois, ils assimilent que le sable ou l’eau ne sont pas solides, et dès 10 mois, les enfants choisissent toujours une plus grande quantité lorsque deux différentes quantités de substance alimentaire leur sont présentées.

Les chercheurs croient que la majorité des interactions quotidiennes d’un adulte avec le monde est automatique et que les nourrissons ont cette même capacité. Voilà l’importance pour les parents de jouer et parler avec les bébés et d’interagir avec eux grâce à des objets.