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Même s’ils semblent oublier, les bébés se souviennent

Il y a 15 ans, des manuels sur le développement du corps humain racontaient que les bébés qui avaient 6 mois ou moins ne détenaient aucun sens de la « permanence de l’objet » (faculté qui permet de faire croire au bébé qu’un objet existe toujours même lorsqu’il est hors de sa vue). En d’autres termes, on déclarait à l’époque que si les parents n’étaient plus dans la chambre avec bébé, ils n’existaient plus pour le nourrisson.

Une nouvelle étude publiée dans le journal Psychological Science révèle le contraire. Un système de pointeurs dans le cerveau des bébés aiderait ceux-ci à se souvenir de l’existence d’un objet ou d’une personne même lorsqu’il est hors de sa vue. Même si les bébés n’arrivent pas à se souvenir des formes ou des détails d’objets cachés, ils sont surpris quand ces derniers disparaissent complètement.

C’est en cachant un triangle et un disque derrière des écrans que les spécialistes ont constaté que dans la situation où les objets étaient échangés, les bébés ne semblaient guère remarquer une différence. Dans leur esprit, un triangle et un disque sont pratiquement interchangeables.

Toutefois, lorsque l’un des objets disparaissait derrière l’écran, les bébés étaient surpris et regardaient davantage vers l’espace vide, ce qui indique qu’ils s’attendaient à retrouver un triangle ou un disque, ou du moins à retrouver un quelconque objet.

Pour les chercheurs de cette étude, cette découverte les éclaire sur les mécanismes du cerveau et sur la mémoire de soutien dans la petite enfance. Un calendrier plus précis des étapes mentales de l’enfance pourra être ainsi conçu, selon eux.

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Le stress diminue le développement cérébral

Un enfant qui a vécu du stress de manière précoce en subirait des lacunes dans son développement cérébral, apprend-on dans Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.

Précisément, des chercheurs de plusieurs universités américaines ont relevé que des traitements découlant d’une éducation déficiente et un stress précoce entraînaient des changements à la matière grise du cerveau.

En examinant des jeunes qui avaient vécu de la maltraitance à un jeune âge, on a remarqué des lacunes physiques dans leur matière grise, et ce, qu’ils présentent ou non les signes d’un trouble psychiatrique.

La maltraitance des enfants a été évaluée par questionnaire, et elle touchait la négligence comme la violence physique, psychologique et émotionnelle, ainsi que la présence ou non de sévices sexuels.

Ces observations ont bien entendu été faites grâce à l’imagerie par résonance magnétique. Le stress précoce aurait donc un impact sur le développement morphologique de certaines structures cérébrales.

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Le cerveau des enfants maltraités

Des soldats qui ont été exposés à des situations de combat présentent les mêmes tendances d’activité dans deux zones du cerveau que des enfants maltraités.

Ce constat troublant démontre que la violence familiale aurait des effets semblables à la guerre. L’activité cérébrale de l’insula intérieure et de l’amygdale se déclenchait, chez les enfants, lorsqu’ils regardaient la photo d’un visage en colère.

Une explication possible, pour comprendre comment ces deux groupes ciblés ont la même activité cérébrale, serait qu’ils s’adaptent pour devenir « hyper conscients » de leur environnement.

On lit aussi sur Medical News Today que ces deux parties du cerveau sont reliées aux troubles anxieux. Il semble donc que l’adaptation neuronale des enfants maltraités pourrait les exposer à de plus grands risques de problèmes d’anxiété.

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La fatigue musculaire proviendrait de la tête

Des chercheurs de l’Université de Zurich ont étudié des sportifs de haut niveau pour comprendre leur expérience d’entraînement.

Il en résulte que la tête jouerait un rôle clé sur les niveaux de performances, et surtout au niveau de l’endurance.

En effet, les scientifiques ont découvert un mécanisme qui permet au cerveau de réduire les performances musculaires du corps durant de rigoureux exercices. Ce mécanisme agirait comme un système de défense afin que le corps ne dépasse pas ses limites.

C’est la première fois qu’une étude scientifique parvient à démontrer l’interaction entre la structure cérébrale neurologique et la fatigue musculaire.

L’étude publiée dans l’European Journal of Neuroscience permet ainsi pour la première fois de découvrir comment fonctionne ce processus neurologique qui est responsable de la diminution de l’activité musculaire lors d’un exercice difficile.

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La fatigue musculaire proviendrait de la tête

Des chercheurs de l’Université de Zurich ont étudié des sportifs de haut niveau pour comprendre leur expérience d’entraînement.

Il en résulte que la tête jouerait un rôle clé sur les niveaux de performances, et surtout au niveau de l’endurance.

En effet, les scientifiques ont découvert un mécanisme qui permet au cerveau de réduire les performances musculaires du corps durant de rigoureux exercices. Ce mécanisme agirait comme un système de défense afin que le corps ne dépasse pas ses limites.

C’est la première fois qu’une étude scientifique parvient à démontrer l’interaction entre la structure cérébrale neurologique et la fatigue musculaire.

L’étude publiée dans l’European Journal of Neuroscience permet ainsi pour la première fois de découvrir comment fonctionne ce processus neurologique qui est responsable de la diminution de l’activité musculaire lors d’un exercice difficile.

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Traitement possible du TDAH

Des chercheurs de l’Hospital of Philadelphia auraient ciblé un traitement possible contre le trouble du déficit de l’Attention avec hyperactivité (TDAH).

Comme on nous l’explique dans Nature Genetics, on a remarqué des influences génétiques quant au TDAH. Des altérations à certains gènes qui jouent un rôle dans des voies du cerveau en feraient partie.

Les gènes qui entrent ici en jeu atteignent les neurotransmetteurs du cerveau qui sont en lien avec le trouble de l’inattention.

Selon les chercheurs américains, il serait donc possible que des médicaments ayant une influence sur cesdites voies cérébrales puissent représenter un nouveau traitement pour les enfants atteints d’un TDAH.

Dans la cohorte de leur recherche, au moins 10 % des enfants atteints présentaient les variations génétiques mentionnées. On détient donc une explication génétique, et ce lien s’applique déjà à un sous-ensemble de tous les enfants atteints d’un TDAH.

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Garder le cerveau actif retarde l’apparition de la démence

Une nouvelle étude confirme des théories précédentes disant qu’en gardant son cerveau actif, on éloigne l’apparition de la démence.
 
Selon le Daily Mail, seulement deux heures d’activités par jour sont aussi efficaces que les traitements médicaux.
 
98 personnes ont été suivies pour cette étude. Elles devaient réaliser différentes activités comme jardiner, faire des mots croisés, des casse-têtes et des sudokus, préparer des collations ou même chanter.
 
Toutes ces activités ont permis de retarder le déclin cognitif d’au moins un an.
 
Les chercheurs affirment que ces activités sont aussi bonnes, sinon meilleures, pour conserver la santé du cerveau que les médicaments qui peuvent être prescrits habituellement pour ralentir la maladie.
 
Chez les personnes qui ont effectué les petites activités, on remarque également une meilleure aptitude pour réaliser les tâches quotidiennes par la suite.
 
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Les jeux vidéo transforment le cerveau

Selon une étude de l’Indiana University School of Medicine, les jeux vidéo auraient un effet sur le fonctionnement du cerveau, apprend-on sur Medscape. On remet encore une fois en question cette activité si populaire auprès des enfants.

Des jeunes qui avaient joué à des jeux vidéo violents pour une durée de 10 heures étalées sur 1 semaine ont démontré une baisse de l’activité cérébrale impliquant l’attention, l’inhibition, la prise de décisions et certaines fonctions d’exécution.

Auparavant, on avait démontré que les jeux vidéo violents influençaient immédiatement la prise de décisions reliée aux émotions et la fonction cognitive, et ce, après une période de seulement 30 minutes.

On a donc reporté cette relation sur une durée de 10 heures par semaine. Les observations cérébrales ont été relevées à l’aide de l’imagerie par résonance magnétique.

Après cette semaine de test, le groupe de participants qui avait joué à des jeux vidéo violents durant la durée mentionnée présentait une activité plus faible dans le lobe frontal inférieur gauche ainsi que dans le cortex inférieur.

Il faudrait donc prendre bien au sérieux le temps passé à s’adonner à des jeux vidéo, violents qui plus est, par les enfants.

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Le cerveau des enfants avec un TDAH

En employant l’imagerie par résonance magnétique, des chercheurs ont remarqué une différence dans le cerveau des enfants vivant avec un trouble de l’inattention avec hyperactivité (TDAH).

Il semble que les voies cérébrales de ces enfants soient perturbées. Ces anomalies au cerveau pourraient même servir de marqueurs pour reconnaître un TDAH chez de futurs patients, annonce-t-on sur EurekAlert!.

En ce moment, il est encore très difficile de poser un diagnostic de TDAH. La très vaste gamme de symptômes comportementaux qu’il comprend le rend des plus délicats à poser. Il est certain qu’en reconnaissant un marqueur cérébral, on ferait une avancée majeure quant à ce trouble.

Précisément, les enfants atteints d’un TDAH utiliseraient des voies cérébrales légèrement différentes pour traiter une information, en comparaison aux autres enfants. Cela pourrait être dû à une anomalie de la matière blanche des voies cérébrales en question, atteignant ainsi le traitement des informations visuelles.

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Les électrochocs pour freiner la maladie d’Alzheimer

Le New Scientist nous apprend que les électrochocs pourraient être utilisés pour freiner la maladie d’Alzheimer.
 
Une petite étude effectuée sur six patients démontre que de petites impulsions régulières au cerveau freinent le rétrécissement de la partie liée à la mémoire.
 
Même si cette technique a été testée sur seulement six personnes pour le moment, les résultats sont étonnants.
 
On note non seulement que le rétrécissement s’arrête, mais que cette partie s’agrandit de 5 % dans un cas et de 8 % chez une autre personne.
 
Jusqu’à présent, certains médicaments peuvent ralentir la progression de la maladie, mais leurs effets s’estompent avec le temps, et l’Alzheimer reprend alors rapidement le dessus.
 
Ce sont des chercheurs canadiens qui ont implanté des électrodes profondément dans le cerveau des patients pour donner de minuscules impulsions 130 fois par seconde.
 
On utilise déjà ce genre de méthode pour soulager les symptômes de la maladie de Parkinson, comme les tremblements et les raideurs.
 
Bien entendu, des études plus vastes sont nécessaires avant de pouvoir recommander les électrochocs comme traitement de l’Alzheimer.