Catégories
Uncategorized

Les fous rires aident à réduire la douleur

Des chercheurs ont découvert que rire à gorge déployée permettrait de réduire la douleur ressentie.
 
Selon leur étude rapportée par le Proceedings of the Royal Society B, les fous rires permettent aux molécules opiacées d’inonder le cerveau.
 
Des tests ont été réalisés auprès de volontaires pour mesurer leur réaction à la douleur, alors qu’ils regardaient des extraits d’émissions humoristiques comme Mr. Bean ou Friends.
 
Chaque personne était soumise à des douleurs provoquées par le froid d’un manchon ou par un garrot serré jusqu’à la limite de la tolérance.
 
15 minutes de rires francs suffisaient pour augmenter la tolérance à la douleur de 10 %.
 
Seul un rire à gorge déployée était efficace contre la douleur. Il libère des endorphines au cerveau, tout comme le fait l’exercice physique, ce qui provoque une sensation de bien-être.
 
De plus, de tels rires provoquent des exercices musculaires involontaires. L’épuisement que l’on ressent après produit également de l’endorphine.
 
Catégories
Uncategorized

L’anesthésie générale est-elle dangereuse?

Une recherche menée par l’University of Virginia fait naître plusieurs questionnements quant à la sécurité de l’anesthésie pour les jeunes enfants. Comme nous le lisons dans Current Opinion in Anesthesiology, des expérimentations faites sur des animaux pourraient présager des problèmes chez l’humain.

Il a été démontré que l’anesthésie générale cause une baisse de l’activité neurale chez le cerveau animal en développement, ce qui cause des troubles cognitifs à long terme.

On ne saurait dire si cet effet est le même chez l’enfant, mais pour l’instant, aucune preuve ne peut réfuter cette hypothèse.

Des études récentes ont par ailleurs démontré que la kétamine, un anesthésiant couramment utilisé, avait engendré des dommages clairs et persistants chez des singes, lorsqu’elle avait été administrée durant une période clé du développement.

La recherche se poursuit, car une meilleure compréhension des seuils critiques de développement du cerveau humain permettra de mieux définir ce qui peut le mettre en danger.

Catégories
Uncategorized

Quand bébé ressent-il la douleur?

Un changement dans l’activité neurale du cerveau permet aux bébés de reconnaître ce qu’est la douleur dès la 35e semaine de grossesse. Cette activité passe en fait à un stade presque adulte à ce moment du développement.

Des chercheurs ont présenté les résultats d’une recherche sur ce sujet dans Current Biology. Pour tirer cette conclusion, ils ont examiné l’activité cérébrale de 46 bébés. Parmi eux, 21 étaient nés de façon prématurée.

Une comparaison entre les différents stades de l’activité du cerveau humain a donc pu être faite, soit de la 28e semaine de développement à sa complétion, à 37 semaines. L’analyse a été faite par électroencéphalogramme.

La réponse cérébrale chez les bébés de 35 à 37 semaines s’était localisée dans des zones précises du cerveau, ce qui suppose qu’ils sont dès ce moment capable de différencier un stimulus de douleur d’un toucher normal.

Cette période est donc cruciale quant à d’importantes connexions de neurones dans différentes parties du cerveau.

Catégories
Uncategorized

L’infertilité a une cause cérébrale

On prévoit que l’infertilité touchera un plus en plus grand nombre de personnes dans le monde au cours de la prochaine décennie. Une récente découverte transformera notre approche de ce problème majeur.

Un chercheur de l’Inserm, Vincent Prévot, soutenu par ses collaborateurs, vient de présenter ses résultats dans PNAS quant à une cause cérébrale de l’infertilité.

En résumé, une hormone serait au cœur du problème, la prostaglandine E2. Cette dernière est libérée par les cellules gliales – lesquelles assurent la nutrition et le soutien des neurones – et elle s’avère indispensable au déclenchement des fonctions reproductives. Celles-ci sont déclenchées par une suite d’événements se situant dans le cerveau.

La libération de la prostaglandine E2 est nécessaire à l’activité électrique des neurones à GnRH, lesquelles sont inévitables pour que le processus de puberté et de fertilité soit enclenché.

Une déficience à ce niveau engendrerait un retard pubertaire ou une faible fertilité. On envisage déjà de futurs traitements des problèmes de fertilité d’origine centrale.

Il s’agit d’une découverte majeure, car comme l’explique Vincent Prévot : « L’identification de cette hormone […] ouvre de nouvelles pistes thérapeutiques pour le traitement des troubles de la fertilité. »

Catégories
Uncategorized

Le cerveau des personnes âgées apprend plus par essais-erreurs

Les personnes âgées apprennent mieux avec des essais-erreurs plutôt qu’avec de bonnes réponses à mémoriser.
 
Ces résultats parus dans le Psychology and Aging surprennent les experts, qui croyaient qu’il était préférable d’utiliser la méthode douce, mais le cerveau des aînés profite plus de la méthode dure, soit avec essais et erreurs.
 
« La littérature scientifique a traditionnellement prôné l’apprentissage sans erreur pour les adultes âgés. Cependant, notre étude a montré que lorsqu’ils étudient une matière très conceptuelle, où ils peuvent établir une relation significative entre leurs erreurs et l’information correcte qu’ils sont censés retenir, les erreurs peuvent jouer un rôle tout à fait positif dans le processus d’apprentissage », mentionne l’auteure principale de l’étude, Andrée-Ann Cyr.
 
Selon l’Institut de recherche Rotman du Centre Baycrest, lié à l’Université de Toronto, c’est la première fois que l’on démontre ce type de fonctionnement chez le cerveau des personnes âgées.
 
Catégories
Uncategorized

Certains antidépresseurs peuvent combattre le cancer de l’intestin

Les chercheurs de l’Université Lincoln ont découvert que les médicaments tricycliques pour traiter la dépression réduiraient les risques de cancer de l’intestin de 21 %.
 
De plus, cela diminuerait également de 64 % les risques de développer une tumeur cancéreuse de type gliome dans le cerveau ou la colonne vertébrale.
 
Le British Journal of Cancer ajoute toutefois que les chercheurs n’ont noté aucun impact en ce qui concerne les cancers du poumon, du sein et de la prostate.
 
Ce type de médicament représente environ le tiers des médicaments prescrits pour les dépressions. Il peut cependant causer des effets secondaires comme la bouche sèche, la constipation et les pertes de mémoire. Dans certains cas, cela augmente même l’anxiété, les vomissements et provoque un rythme cardiaque irrégulier.

Catégories
Uncategorized

Certains antidépresseurs peuvent combattre le cancer de l’intestin

Les chercheurs de l’Université Lincoln ont découvert que les médicaments tricycliques pour traiter la dépression réduiraient les risques de cancer de l’intestin de 21 %.
 
De plus, cela diminuerait également de 64 % les risques de développer une tumeur cancéreuse de type gliome dans le cerveau ou la colonne vertébrale.
 
Le British Journal of Cancer ajoute toutefois que les chercheurs n’ont noté aucun impact en ce qui concerne les cancers du poumon, du sein et de la prostate.
 
Ce type de médicament représente environ le tiers des médicaments prescrits pour les dépressions. Il peut cependant causer des effets secondaires comme la bouche sèche, la constipation et les pertes de mémoire. Dans certains cas, cela augmente même l’anxiété, les vomissements et provoque un rythme cardiaque irrégulier.

Catégories
Uncategorized

Le sodium et le manque d’exercice affectent aussi le cerveau

Le Neurobiology of Aging mentionne que les personnes âgées qui mènent une vie sédentaire et ont une alimentation riche en sodium sont plus exposées à un déclin cognitif.
 
L’étude, menée en collaboration entre le Baycrest de Toronto, l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal et les universités de McGill et Sherbrooke, démontre que le sodium n’expose pas seulement à des problèmes cardiaques et de l’hypertension, mais peut aussi affecter le cerveau.
 
1 262 Québécois âgés de 67 à 84 ans ont été suivis pendant trois ans. Ceux qui consommaient moins de sodium souffraient moins d’hypertension et d’autres problèmes.
 
Toutefois, on a également constaté que les personnes sédentaires qui consommaient peu de sodium n’étaient pas exposées au déclin cognitif.
 
Donc, c’est vraiment une alimentation salée qui pose problème.
Catégories
Uncategorized

La dépendance est réellement une maladie

L’American Society for Dependance Medicine vient de définir la dépendance comme une maladie chronique du cerveau.

Cette nouvelle définition pourra peut-être inciter les médecins à mieux déceler les symptômes chez leurs patients, mais cela apporte également une nouvelle compréhension de la pathologie.

Que ce soit une dépendance à l’alcool, aux drogues, au jeu, ou encore des troubles alimentaires, il s’agit dans tous les cas d’une maladie.

Les patients passent par l’excitation, le manque, et parmi les symptômes, il y a tout ce qu’ils sont prêts à faire pour vivre cette excitation et éviter ce manque.

Comme toutes les maladies, la dépendance nécessite un long traitement, et les rechutes sont tout à fait possibles. Ce qui explique pourquoi certaines personnes, par exemple, ont besoin de plusieurs cures de désintoxication.

Aussi, tout le monde peut en souffrir à un moment ou à un autre de sa vie.</pquo;American Society for Dependance Medicine vient de définir la dépendance comme une maladie chronique du cerveau.

Cette nouvelle définition pourra peut-être inciter les médecins à mieux déceler les symptômes chez leurs patients, mais cela apporte également une nouvelle compréhension de la pathologie.

Que ce soit une dépendance à l’alcool, aux drogues, au jeu, ou encore des troubles alimentaires, il s’agit dans tous les cas d’une maladie.

Les patients passent par l’excitation, le manque, et parmi les symptômes, il y a tout ce qu’ils sont prêts à faire pour vivre cette excitation et éviter ce manque.

Comme toutes les maladies, la dépendance nécessite un long traitement, et les rechutes sont tout à fait possibles. Ce qui explique pourquoi certaines personnes, par exemple, ont besoin de plusieurs cures de désintoxication.

Aussi, tout le monde peut en souffrir à un moment ou à un autre de sa vie.

Crédit photo : smokedsalmon / FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

Travailler avec les odeurs des aliments pour réduire votre consommation de sel

Pour réduire votre consommation de sel, les chercheurs ont découvert qu’utiliser seulement certaines odeurs associées au goût salé peuvent déjouer le cerveau et donner l’impression que les aliments sont plus salés qu’ils ne le sont.

Il serait donc possible de réduire sa consommation de sel de 25 % simplement en intensifiant des odeurs comme celles associées aux sardines, fromage, bacon, jambon, arachides et anchois, par exemple, à l’aide d’arômes créés artificiellement.

Soulignons qu’une consommation élevée de sodium est liée à des risques accrus de maladies cardiaques, d’hypertension et d’accident vasculaire cérébral.

Selon le Telegraph, les scientifiques affirment qu’en réduisant de 6 g par jour notre consommation de sel, nous pourrions ainsi prévenir 20 000 décès prématurés par année.

Donc, usez de ruse pour déjouer votre cerveau et lui faire croire que vos plats sont plus salés qu’ils ne le sont, simplement en augmentant les effluves de vos repas avec l’ajout d’odeurs artificielles. Ce truc simple les rendra également plus attrayants.