Des chercheurs de l’Université de Montréal on démontré qu’une partie du cerveau d’enfants nés d’une mère dépressive, l’amygdale, était plus grosse.
Le stress augmente l’appétit
Des chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université Calgary viennent d’établir un lien entre le stress et l’appétit chez des rongeurs. Toutefois, le chercheur de l’Institut du cerveau, Quentin Pittman, affirme que ce processus est le même pour l’humain.
Bien que des études supplémentaires doivent confirmer plus clairement les effets du stress sur l’appétit, on a remarqué que les rongeurs soumis à un stress consommaient plus de nourriture.
Le tout se passe dans l’hypothalamus (structure du système nerveux) qui envoie des signaux d’appétit plus intenses lorsque nous serions sous l’effet du stress.
Le stress modifie donc l’action des neurotransmetteurs endocannabinoïdes qui régulent la sensation de faim.
Selon le site Neuron, c’est sans doute pour cette raison qu’il est si difficile pour plusieurs personnes de suivre un régime à la lettre, car celui-ci peut provoquer un stress, ce qui envoie donc des signaux de faim au cerveau.
Le stress augmente l’appétit
Des chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université Calgary viennent d’établir un lien entre le stress et l’appétit chez des rongeurs. Toutefois, le chercheur de l’Institut du cerveau, Quentin Pittman, affirme que ce processus est le même pour l’humain.
Bien que des études supplémentaires doivent confirmer plus clairement les effets du stress sur l’appétit, on a remarqué que les rongeurs soumis à un stress consommaient plus de nourriture.
Le tout se passe dans l’hypothalamus (structure du système nerveux) qui envoie des signaux d’appétit plus intenses lorsque nous serions sous l’effet du stress.
Le stress modifie donc l’action des neurotransmetteurs endocannabinoïdes qui régulent la sensation de faim.
Selon le site Neuron, c’est sans doute pour cette raison qu’il est si difficile pour plusieurs personnes de suivre un régime à la lettre, car celui-ci peut provoquer un stress, ce qui envoie donc des signaux de faim au cerveau.
Manque d’oxygène et mémoire
Des chercheurs ont tenté de définir les répercussions d’un manque d’oxygène à la naissance. Précisément, ils ont voulu comprendre ce qu’il advient lorsque l’hippocampe subit des dommages majeurs en début de vie.
Rappelons que l’hippocampe est l’une des deux parties du cerveau. Chacune est placée dans la face médiane du lobe temporal.
La mémoire épisodique, qui consiste à se souvenir d’événements précis (par exemple, ce que vous avez fait hier), est connue pour être sensible aux dommages de l’hippocampe.
Il semble, selon ces chercheurs, que la mémoire d’un enfant pourra se développer normalement, même si ce dernier manque d’oxygène à la naissance et durant ses premiers jours de vie. L’information est valable même s’il présente des dommages à la partie du cerveau dont il est ici question.
Cette découverte soutient la théorie selon laquelle la mémoire se construit à partir de différentes aires cérébrales. Les résultats complets sont présentés dans Cortex.
Manque d’oxygène et mémoire
Des chercheurs ont tenté de définir les répercussions d’un manque d’oxygène à la naissance. Précisément, ils ont voulu comprendre ce qu’il advient lorsque l’hippocampe subit des dommages majeurs en début de vie.
Rappelons que l’hippocampe est l’une des deux parties du cerveau. Chacune est placée dans la face médiane du lobe temporal.
La mémoire épisodique, qui consiste à se souvenir d’événements précis (par exemple, ce que vous avez fait hier), est connue pour être sensible aux dommages de l’hippocampe.
Il semble, selon ces chercheurs, que la mémoire d’un enfant pourra se développer normalement, même si ce dernier manque d’oxygène à la naissance et durant ses premiers jours de vie. L’information est valable même s’il présente des dommages à la partie du cerveau dont il est ici question.
Cette découverte soutient la théorie selon laquelle la mémoire se construit à partir de différentes aires cérébrales. Les résultats complets sont présentés dans Cortex.
Malgré les nombreux avertissements d’un risque accru de cancer de la peau, des millions de personnes dans le monde continuent de fréquenter les salons de bronzage et les chercheurs viennent de découvrir pourquoi.
Des chercheurs britanniques et allemands ont découvert que notre cerveau était capable de contrer les effets des médicaments antidouleur, même les plus puissants.