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La dépression atteint le cerveau de l’enfant

Des chercheurs de l’Université de Montréal on démontré qu’une partie du cerveau d’enfants nés d’une mère dépressive, l’amygdale, était plus grosse.

Rappelons que l’amygdale (complexe amygdalien) est un noyau situé dans le lobe temporal. Cette partie du cerveau est reliée à la réponse émotive.
 
Cela ferait donc en sorte que ces mêmes enfants ne répondraient pas de la même manière s’ils doivent affronter une situation nouvelle ou comportant un danger.
 
Selon les explications des chercheurs, lesquelles sont parues récemment dans Proceeding of the National Academy of Sciences, le cerveau de ces enfants est très sensible à la qualité des soins qui leur sont prodigués.
 
On parle ici en particulier du cerveau d’enfants de 10 ans dont la mère a présenté des symptômes de dépression tout au long de leur vie.
 
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Le stress augmente l’appétit

Des chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université Calgary viennent d’établir un lien entre le stress et l’appétit chez des rongeurs. Toutefois, le chercheur de l’Institut du cerveau, Quentin Pittman, affirme que ce processus est le même pour l’humain.

Bien que des études supplémentaires doivent confirmer plus clairement les effets du stress sur l’appétit, on a remarqué que les rongeurs soumis à un stress consommaient plus de nourriture.

Le tout se passe dans l’hypothalamus (structure du système nerveux) qui envoie des signaux d’appétit plus intenses lorsque nous serions sous l’effet du stress.

Le stress modifie donc l’action des neurotransmetteurs endocannabinoïdes qui régulent la sensation de faim.

Selon le site Neuron, c’est sans doute pour cette raison qu’il est si difficile pour plusieurs personnes de suivre un régime à la lettre, car celui-ci peut provoquer un stress, ce qui envoie donc des signaux de faim au cerveau.

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Le stress augmente l’appétit

Des chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université Calgary viennent d’établir un lien entre le stress et l’appétit chez des rongeurs. Toutefois, le chercheur de l’Institut du cerveau, Quentin Pittman, affirme que ce processus est le même pour l’humain.

Bien que des études supplémentaires doivent confirmer plus clairement les effets du stress sur l’appétit, on a remarqué que les rongeurs soumis à un stress consommaient plus de nourriture.

Le tout se passe dans l’hypothalamus (structure du système nerveux) qui envoie des signaux d’appétit plus intenses lorsque nous serions sous l’effet du stress.

Le stress modifie donc l’action des neurotransmetteurs endocannabinoïdes qui régulent la sensation de faim.

Selon le site Neuron, c’est sans doute pour cette raison qu’il est si difficile pour plusieurs personnes de suivre un régime à la lettre, car celui-ci peut provoquer un stress, ce qui envoie donc des signaux de faim au cerveau.

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Manque d’oxygène et mémoire

Des chercheurs ont tenté de définir les répercussions d’un manque d’oxygène à la naissance. Précisément, ils ont voulu comprendre ce qu’il advient lorsque l’hippocampe subit des dommages majeurs en début de vie.

Rappelons que l’hippocampe est l’une des deux parties du cerveau. Chacune est placée dans la face médiane du lobe temporal.

La mémoire épisodique, qui consiste à se souvenir d’événements précis (par exemple, ce que vous avez fait hier), est connue pour être sensible aux dommages de l’hippocampe.

Il semble, selon ces chercheurs, que la mémoire d’un enfant pourra se développer normalement, même si ce dernier manque d’oxygène à la naissance et durant ses premiers jours de vie. L’information est valable même s’il présente des dommages à la partie du cerveau dont il est ici question.

Cette découverte soutient la théorie selon laquelle la mémoire se construit à partir de différentes aires cérébrales. Les résultats complets sont présentés dans Cortex.

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Manque d’oxygène et mémoire

Des chercheurs ont tenté de définir les répercussions d’un manque d’oxygène à la naissance. Précisément, ils ont voulu comprendre ce qu’il advient lorsque l’hippocampe subit des dommages majeurs en début de vie.

Rappelons que l’hippocampe est l’une des deux parties du cerveau. Chacune est placée dans la face médiane du lobe temporal.

La mémoire épisodique, qui consiste à se souvenir d’événements précis (par exemple, ce que vous avez fait hier), est connue pour être sensible aux dommages de l’hippocampe.

Il semble, selon ces chercheurs, que la mémoire d’un enfant pourra se développer normalement, même si ce dernier manque d’oxygène à la naissance et durant ses premiers jours de vie. L’information est valable même s’il présente des dommages à la partie du cerveau dont il est ici question.

Cette découverte soutient la théorie selon laquelle la mémoire se construit à partir de différentes aires cérébrales. Les résultats complets sont présentés dans Cortex.

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Les lits de bronzage provoquent une dépendance

Malgré les nombreux avertissements d’un risque accru de cancer de la peau, des millions de personnes dans le monde continuent de fréquenter les salons de bronzage et les chercheurs viennent de découvrir pourquoi. 

Une équipe du UT Southwestern Medical Center a suivi un groupe de personnes durant deux séances sur des lits de bronzage. Chaque participant avait reçu un composé qui permettait de déterminer le débit sanguin cérébral.
 
Lorsque les personnes étaient exposées aux rayons UV, l’activité cérébrale et le flux sanguin était similaires à ce qui est observé chez les accros à la drogue et à l’alcool.
 
Ainsi, ceux qui utilisent fréquemment les lits de bronzage seraient stimulés par une dépendance neurologique, mentionne le Daily Mail.
 
Ces séances de bronzage provoquent donc des changements au cerveau qui sont similaires à l’usage de drogue et d’alcool.
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Notre cerveau peut réduire les effets des analgésiques

Des chercheurs britanniques et allemands ont découvert que notre cerveau était capable de contrer les effets des médicaments antidouleur, même les plus puissants. 

Ces résultats devraient donc être pris en compte lors des essais cliniques, selon ces chercheurs.
 
Pour la recherche on a placé de la chaleur sur les jambes de 22 personnes en leur demandant d’évaluer la douleur entre 1 et 100. En moyenne elle était de 66.
 
Ces participants ont reçu ensuite un puissant analgésique, le rémifentanil, par intraveineuse. Tous on ressenti un soulagement faisant baisser la douleur à 55 sur 100.
 
Durant toute l’expérience, des images de leur cerveau ont été prises.
 
Ensuite, on leur a dit qu’on allait arrêter l’injection d’analgésique, mais en réalité, ils recevaient exactement la même dose. Pourtant, les participants ont ressenti plus de douleur, faisant monter leur évaluation à 64.
 
Selon ce qu’on a pu constater sur les images du cerveau, certaines zones changent selon les attentes positives ou négatives de la personne. Comme un effet placébo.
 
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Entraîner son cerveau à manger différemment

Selon le chercheur et psychologue Brad Appelnans, tout le monde, y compris ceux qui connaissent bien le domaine de la nutrition, luttent pour ne pas succomber au sucre, sel et graisses.
 
Selon des experts américains en perte de poids, il ne serait question que de volonté et d’entraîner son cerveau à manger différemment.
 
Leur étude dévoilée dans le Journal of the American Diatetic Association, expose trois processus qui seraient liés à une consommation excessive d’aliments et à l’obésité.
 
Il y a d’abord le plaisir de manger, ne pas savoir se modérer et ne pas prendre le temps de choisir les bons aliments.
 
Pour éviter que cela se produise, on recommande de ne pas avoir de tentation à la portée, de faire une liste de produits bons pour la santé et de s’y tenir à l’épicerie. S’il le faut, faites vos achats en ligne pour éviter les tentations sur place.
 
Aussi, apprenez à gérer votre stress et éviter les restaurants et buffets à volonté où l’on vous encourage à consommer davantage d’aliments.
 
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Les régimes peuvent rendre votre cerveau cannibal

Bien souvent les personnes au régime peuvent avoir des moments où elles ont tellement faim qu’elles se mangeraient un bras, mais apparemment leur cerveau ressent la même chose.
 
Selon une étude parue dans le Cell Metabolism, quand on est affamé, les cellules du cerveau commencent réellement à se manger entre elles. C’est ce qu’on appelle l’autophagie.
 
C’est ce qui expliquerait pourquoi il y a tant d’échecs avec les diètes, surtout celles qui sont drastiques. Se passer de nourriture pourrait rendre plus avide que jamais.
 
Le manque de nourriture déclenche l’autophagie dans les cellules qui contrôlent l’appétit, ce qui provoque une libération des graisses et augmente une substance chimique qui stimule l’appétit.
 
Donc, vous devenez de plus en plus affamé car les cellules qui se nourrissent en elles finissent par stimuler davantage votre appétit. Résultat, bien souvent les régimes seront abandonnés car ils sont trop contraignants.
 
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L’acide folique et la réussite vont de pair

Puisque les aptitudes cognitives sont en progression durant toute l’enfance et l’adolescence, une alimentation riche en acide folique est encore une fois recommandée. Des spécialistes de l’Université Orebro, en Suède, appuient l’hypothèse de plus en plus acceptée.
 
Se retrouvant dans les fruits, les légumes, le jus, le foie et le pain à grains entiers, entre autres, l’acide folique soutiendrait le bon développement du cerveau. Encore une fois, comme le mentionne Pediatrics, on vante les mérites de cette vitamine (B9) quant à la réussite scolaire.
 
On ne peut, pour l’instant, expliquer de manière concrète quelles sont les aptitudes les plus touchées par l’absorption d’acide folique, et de nombreux autres facteurs influencent aussi la réussite à l’école, mais un lien certain est noté.
 
Aucune autre étude n’aurait jusqu’ici démontré si clairement le rôle de la vitamine B9 dans le développement cérébral chez l’enfant et l’adolescent.