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L’activité cérébrale et l’épilepsie infantile

Selon une récente recherche parue dans Epilepsia, on a fait un grand pas dans la compréhension de l’épilepsie infantile. Grâce à l’électroencéphalographie intracrânienne, on arrivera bientôt à cerner la région du cerveau qui est en cause dans l’épilepsie.

On avait déjà soutenu, dans des études précédentes, que la résection d’une partie du cerveau pourrait réduire l’apparition de crises épileptiques.

Cela était encore impensable pour les enfants, car ces derniers ont très souvent un réseau épileptique beaucoup plus étendu que chez les adultes.

Or, l’avenir semble prometteur pour les enfants atteints d’épilepsie. Il semble qu’une telle chirurgie puisse devenir possible, si elle est réalisée à l’aide d’ondulations rapides. Une meilleure identification de la zone cérébrale atteinte permettrait une opération chirurgicale réussie.

Jusqu’ici, on a remarqué un effet bénéfique permettant de meilleures suites d’une crise d’épilepsie chez les jeunes patients de l’étude. Une nouvelle approche chirurgicale est donc envisagée.

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Un moyen de minimiser les dommages après un AVC

L’alpha-B-crystallin est une substance produite naturellement par le corps, notamment dans le cristallin de l’œil et par le cœur. Les chercheurs ont découvert qu’elle avait la propriété de réduire les lésions cérébrales après un accident vasculaire cérébral (AVC).
 
Le Dr Gary Steinberg et son équipe de l’école de médecine du Stanford University ont constaté que l’alpha-B-crystallin pouvait être bénéfique si elle était injectée douze heures après un AVC.
 
Selon l’étude publiée dans le Proceedings of the national Academy of Sciences, cette substance freine le système immunitaire en diminuant le niveau de molécules inflammatoires qui sont responsables des lésions cérébrales engendrées par le manque d’oxygène. Elle réduit donc l’inflammation et les dommages au cerveau.
 
L’alpha-B-crystallin peut aussi être produite par le cerveau lors d’un événement stressant comme un AVC ou par la chaleur excessive et le froid.
 
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La méditation améliore les connexions au cerveau

Des chercheurs américains ont constaté que la méditation augmentait les connexions entre différentes parties du cerveau.
 
Ils ont comparé l’activité cérébrale de personnes adeptes de la méditation et d’autres qui n’en faisaient pas.
 
La différence notée est au niveau de la matière blanche du cerveau. Selon Neuroimage, celle-ci est composée de faisceaux qui font la connexion entre les parties du cerveau et envoient les signaux nerveux.
 
Chez les personnes qui sont des adeptes de la méditation, il y a plus de faisceaux dans la matière blanche et en plus, ils sont plus denses. Cela réduit l’atrophie cérébrale, notamment liée à la maladie d’Alzheimer, ainsi que le déclin normal lié à l’âge, qui est beaucoup moins important.
 
On croit que la méditation renforce le système immunitaire, ce qui aide à conserver la matière blanche, ou encore que les personnes qui méditent ont un cerveau différent composé de plus de connexions.
 
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Comment les aliments gras agissent-ils sur le cerveau?

C’est prouvé depuis longtemps qu’il existe un lien entre l’état émotionnel d’une personne et sa consommation d’aliments. En effet, lorsque nous nous sentons surmenés et stressés, nous avons plus tendance à opter pour du chocolat que pour une pomme. Ces aliments nous réconfortent.
 
Selon les chercheurs de l’Université Louvain en Belgique, ces aliments agissent en effet comme réconfortants.
 
Ils ont mesuré les changements produits dans le cerveau quand une personne est triste. Lorsqu’ils ajoutaient des matières grasses dans l’estomac de la personne, cela diminuait la réponse des cellules nerveuses du comportement et des émotions tristes.
 
Ce processus a donc une implication importante dans un large éventail de problèmes, dont au niveau de l’obésité, des troubles alimentaires et de la dépression, rapporte le Journal of Clinical Investigation.
 
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Les jeunes filles plus affectées par les beuveries

Une étude effectuée par l’Université de la Californie à San Diego et l’Université de Stanford démontre que les beuveries sont plus dommageables pour le cerveau des jeunes filles.
 
Et les effets vont bien au-delà de la simple gueule de bois du lendemain. L’étude rapporte que leurs neurones sont plus affectés.
 
On a examiné le cerveau de 95 jeunes femmes. 40 d’entre elles avaient participé à une beuverie (au moins quatre verres d’alcool de suite pour une femme et cinq pour un homme).
 
L’activité cérébrale de plusieurs zones du cerveau, dont celles de la mémoire et de la capacité d’attention, était considérablement réduite avec une grande consommation d’alcool. Les effets pouvaient se ressentir à long terme également.
 
« Cela suggère que les adolescentes pourraient être particulièrement vulnérables aux effets négatifs d’une consommation excessive d’alcool », mentionne la professeure en psychiatrie et coauteure de l’étude, Susan Tapert.
 
On croit que l’alcool affecte plus le cerveau des filles, car le développement de ce dernier est en général jusqu’à deux ans en avance comparativement à celui des garçons, donc les dommages sont plus grands. Aussi, les filles ont un métabolisme plus lent, un indice de masse graisseuse plus important et un poids moyen inférieur.
 
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Le sel active les mêmes zones cérébrales que les drogues et la cigarette

Certaines personnes trouvent les plats salés si savoureux qu’elles ont du mal à couper leur consommation de sodium, malgré les nombreux avertissements pour la santé. On comprend maintenant pourquoi, car le sel stimule les mêmes cellules cérébrales que les drogues dures et la cigarette.
 
Des chercheurs australiens et américains ont soumis des souris à une alimentation faible en sel et un autre groupe a reçu des doses de sodium. L’activité cérébrale de ces souris a été comparée à celles nourries normalement.
 
On constate que lorsque les rongeurs sont en manque de sel, leur cerveau produit plus de protéines, un phénomène lié à la dépendance aux substances comme l’héroïne, la cocaïne et la nicotine.
 
De plus, cette dépendance au sodium affecte également l’appétit, ajoute Proceedings of the National Academy of Sciences.
 
Récemment, une étude très controversée affirmait qu’il n’y avait pas de preuves solides démontrant que la diminution du sel dans l’alimentation réduisait également les risques de problèmes cardiaques ou de décès prématuré.

Cependant, de nombreux experts ont affirmé que cette dernière étude n’avait pas été faite sur une assez longue période, donc qu’elle n’était pas concluante.

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La pollution affecte aussi le cerveau

Nous savions déjà que la pollution atmosphérique était nuisible pour la santé, notamment celle du cœur et des poumons, mais pour la première fois, une étude démontre clairement ses effets sur le cerveau.
 
Selon le Molecular Psychiatry, une exposition à long terme peut nuire à l’apprentissage, favoriser les pertes de mémoire et rendre plus dépressif, car la pollution modifie physiquement le cerveau.
 
C’est ce qui ressort d’une série de tests effectués sur des souris de laboratoire. Celles qui étaient le plus exposées à la pollution avaient du mal à apprendre et à se remémorer de l’endroit où se trouvait la sortie dans un circuit. Aussi, elles étaient aussi plus susceptibles d’être dépressives.

Voilà des résultats plutôt inquiétants pour la population urbaine qui vit le plus dans la pollution au quotidien.

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Découverte d’un gène responsable de l’épilepsie

Une équipe de l’Inserm a identifié le gène qui est responsable de l’épilepsie du lobe temporal, la forme la plus commune de l’épilepsie chez les adultes, qui survient après une attaque du cerveau, à la suite d’un traumatisme crânien ou d’une méningite par exemple.
 
Selon les Annals of Neurology, ce type d’épilepsie peut même survenir une dizaine d’années après le choc.
 
Un seul gène, le NRSF, est responsable de ces crises d’épilepsie. Il prend alors le contrôle des 1 800 autres gènes qui se dérèglent à leur tour. C’est ce qui cause les crises.
 
On a injecté à des souris des leurres chimiques afin de bloquer l’activité de ce gène et les chercheurs ont ainsi réussi à réduire le nombre de crises, en plus d’aider à la restauration de l’activité cérébrale.

Ceci ouvre la voie, dans le futur, à des traitements préventifs pour les personnes qui seraient victimes d’un choc au cerveau.

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Le brocoli pourrait contrer la maladie d’Alzheimer

Des scientifiques croient que le brocoli pourrait détenir la clé contre la maladie d’Alzheimer.
 
Selon le Daily Mail, on pense que le sulforaphane, une substance chimique dérivée du brocoli, protègerait les cellules vitales du cerveau contre les radicaux libres. Il s’agit de molécules d’oxygène dangereuses qui sont produites lorsque la nourriture est transformée en énergie.
 
Ainsi, on pense que ce légume vert pourrait réussir là où d’autres traitements ont échoué. Toutefois, des pilules de sulforaphane seraient plus efficaces que de manger du brocoli.
 
Cela pourrait prendre encore une décennie avant de pouvoir mettre sur pied un traitement issu de ces hypothèses. Si le tout fonctionne, cela pourrait même aider à contrer la maladie de Parkinson et certains cancers.

Dernièrement, une étude disait également que le brocoli, tout comme le chou et le chou-fleur, favorisait une plus grande longévité. Ceci en raison des nutriments, comme la vitamine C, et des fibres.

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Les secrets de l’autisme

L’autisme est encore peu compris, mais une nouvelle découverte nous permettrait un jour de détecter ce syndrome dès les premiers signes. Une étude de l’Institut des sciences Weizmann de Rehovot, en Israël, semble très prometteuse.

C’est qu’elle a permis de remarquer que les enfants atteints d’autisme présentent une faible synchronisation entre les hémisphères du cerveau durant leur sommeil. On croit donc qu’il serait possible de détecter l’autisme de cette manière un jour.

Les jeunes autistes âgés d’un à trois ans et demi ont en effet une connexion plus faible entre les deux parties cérébrales responsables de la production de la parole et de la compréhension du langage.

La force de cette synchronisation était reliée, dans le cadre de cette étude parue dans Neuron, à l’aptitude verbale, de la même façon qu’elle est inversement proportionnée quant aux problèmes de communication ouvertement reliés à l’autisme.

Afin d’en arriver à ce constat, les chercheurs ont fait passer une résonance magnétique à de jeunes enfants endormis.

Le fait que ce test s’effectue pendant le sommeil de l’enfant est bien sûr un autre de ses atouts. De plus, un diagnostic d’autisme en bas âge permet d’offrir des outils et du soutien plus efficaces aux enfants atteints.