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Un surpoids cause également des dommages au cerveau

Un petit gâteau ne vous fera pas seulement prendre du poids. En effet, les chercheurs mentionnent qu’une mauvaise alimentation et un surplus de poids causent également des dommages au cerveau.
 
Cela peut causer des problèmes de mémoire et augmenter les risques de démence en vieillissant entre autres. Cela fait également vieillir prématurément la matière grise de 16 ans.
 
La matière grise est liée à la pensée et gère les muscles pour voir, entendre et parler. Elle est aussi liée à la mémoire et aux émotions. La matière blanche, elle, permet de relier les cellules entre elles.
 
L’embonpoint peut changer notre façon de penser, affecter notre jugement et nous donner envie d’aliments caloriques. Nous nous retrouvons donc comme un toxicomane qui a besoin de sa drogue.
 
Les régimes riches en matières grasses affectent les artères et la santé cardiaque. Ils ont les mêmes effets sur le cerveau, selon le Daily Mail.
 
Ce genre d’alimentation rétrécit le cerveau. Les scientifiques ont constaté que le cerveau des personnes obèses ou en surpoids était de 4 à 8 % plus petit que le cerveau des personnes avec un poids santé.
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Un gène prédispose à l’Alzheimer 50 ans avant l’apparition des symptômes

Une équipe de l’Université de la Californie à Los Angeles a découvert qu’un gène prédisposait à la maladie d’Alzheimer et causait des dommages au cerveau, 50 ans avant que l’on constate les premiers symptômes de la maladie chez une personne.

Pour en arriver à ces résultats, publiés dans le Journal of Neuroscience, les chercheurs ont analysé les images du cerveau de 398 personnes en bonne santé, âgées de 20 à 30 ans. Parmi ces participants, certains étaient porteurs d’une mutation sur le gène CLU, qui augmente les risques de développer la maladie.
 
Chez les porteurs de ce gène, on remarque une diminution de la matière blanche qui relie les cellules nerveuses entre elles et plusieurs dommages se retrouvent dans les zones associées à la maladie d’Alzheimer. Donc, un changement de la quantité de matière blanche pourrait indiquer un risque accru de développer la maladie plus tard.

 

Les chercheurs ont cependant besoin d’approfondir leurs recherches afin de mieux comprendre ce phénomène, pour éventuellement créer de nouvelles stratégies afin de combattre cette terrible maladie.

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L’alcoolisme foetal réduit la matière grise

Les bébés atteints du syndrome d’alcoolisme fœtal accusent plus tard des problèmes moteurs, de même que des difficultés quant à leur comportement et leur cognition.

De récentes recherches ont démontré que le volume de la matière grise était réduit de manière notable chez ces enfants. On pourrait peut-être mieux comprendre les répercussions de l’alcool chez le bébé en étudiant cette lacune.
 
Une étude de l’Université de l’Alberta, publiée dans Alcoholism: Clinical & Experimental Research, a donc fait la lumière sur cette différence dans les structures cérébrales chez les enfants atteints de ce syndrome.
 
Après avoir examiné 28 enfants atteints et 56 autres en bonne santé, tous âgés de 6 à 17 ans, les chercheurs ont découvert qu’en effet, le volume de la matière grise était moindre dans les six structures du cerveau en jeu.

On pourrait arriver à mieux comprendre les répercussions de l’alcoolisme durant la grossesse. Par exemple, l’effet dévastateur causé à la matière grise affecterait les fonctions cognitives en nuisant à la bonne communication entre différents points du cerveau.

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L’alcool affecte la mémoire même chez les jeunes adultes

On connaît les effets néfastes de l’alcool sur la santé ou le fait qu’il augmente les risques d’accident, mais sachez qu’il cause également d’importants dommages au cerveau, et ce, même sur des jeunes de 18 ans.
 
Les soirées bien arrosées ne vous feront pas seulement oublier ce que vous avez fait la veille. L’alcool affecte en effet la mémoire à long terme et la capacité d’apprentissage, selon une étude espagnole rapportée dans Alcoholism: Clinical and Experimental Research.
 
La recherche démontre qu’une consommation excessive d’alcool touche l’hippocampe, une zone du cerveau liée à la mémoire et l’apprentissage qui est très sensible aux effets toxiques.
 
Ainsi, on a observé chez les participants une destruction de la mémoire à long terme et une diminution de la capacité d’apprendre de nouvelles informations données verbalement.
 
Les beuveries finissent donc par affecter toute la vie quotidienne des personnes, y compris celles de jeunes adultes qui en sont adeptes.
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Si vous êtes embarrassé, cela signifie que vous êtes sain d’esprit

Des chercheurs de l’Université de la Californie se sont penchés sur les effets du karaoké. Ainsi, 79 personnes ont chanté My Girl des Temptations et 58 d’entre elles avaient des maladies neurodégénératives.  
 
Chaque personne devait ensuite s’écouter chanter. Les scientifiques ont alors constaté que les personnes avec des dommages neurodégénératifs n’avaient aucun embarras quant à leur performance, alors que c’était le contraire chez celles avec une bonne santé mentale.
 
De plus, les imageries du cerveau ont permis d’identifier la zone de l’embarras.
 
« Chez les personnes saines, le fait de se regarder chanter a entraîné une réaction d’embarras considérable. Leur tension artérielle avait augmenté, comme les battements de leur coeur et leur respiration. À l’inverse, les personnes avec des dommages neurologiques dans le cortex frontal médian réagissaient avec indifférence », explique Virginia Sturm, une des chercheuses.
 
« Les émotions comme l’embarras sont particulièrement vulnérables dans les maladies neurodégénératives touchant les lobes frontaux », ajoute-t-elle.
 
Vous êtes donc tout à fat normal si vous ne pouvez supporter d’entendre votre propre chant.
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7 heures de sommeil seraient l’idéal pour ralentir le vieillissement du cerveau

Selon des chercheurs du Royaume-Uni, dormir trop peu ou trop longtemps peut affecter le vieillissement du cerveau.
 
L’étude parue dans la revue Sleep a suivi 5 431 personnes âgées de 35 à 55 ans. On a évalué la mémoire, le raisonnement et le vocabulaire.
 
Les personnes qui dormaient plus de huit heures par nuit ont obtenu de moins bons résultats aux tests dans 7 à 8 % des cas, comparativement à ceux qui dormaient de six à huit heures par nuit.
 
Pour les personnes dormant moins de six heures, 25 % des femmes et 18 % des hommes ont eu de moins bons résultats pour le vocabulaire et le raisonnement.
 
L’idéal serait donc de dormir 7 heures par nuit.
 
« Le résultat principal de cette étude est que la dégradation du sommeil peut entraîner une baisse des fonctions cognitives après la cinquantaine. Le manque de sommeil chronique favorise la production dans l’organisme d’hormones et d’éléments chimiques qui augmentent les risques de maladies cardiaques, d’attaques, d’hypertension, de diabète et d’obésité », mentionne Janie Ferrie, l’auteure principale des travaux de l’École de médecine de l’University College London.
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Votre café pourrait vous coûter une attaque

Selon Stroke: Journal of the American Heart Association, l’attaque nous guette tous sans que l’on s’y attende.

Ainsi, prendre son café, avoir des activités sexuelles intenses ou encore se moucher le nez pourrait provoquer la rupture de vaisseaux sanguins cérébraux. Ces gestes augmenteraient la pression sanguine, tout comme le ferait une bonne colère ou l’encaissement d’un choc.
 
Toutefois, une consommation modérée de boissons caféinées peut faire baisser ce risque. Il est toutefois primordial de faire des activités physiques demandant un effort cardiaque.
 
Environ 2 % des gens auraient un anévrisme latent, lequel peut gonfler et bloquer les vaisseaux sanguins. Donc, selon une recherche du Centre médical universitaire d’Utrecht, aux Pays-Bas, la consommation de café augmenterait ce risque de 10,6 %. L’exercice physique vigoureux l’élèverait de 7,9 %, se moucher le nez de 5,4 % et les rapports sexuels de 4,3 %.

L’étude en question a porté sur 250 patients ayant souffert d’une attaque cérébrale.

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Lien entre la taille du cerveau et l’autisme

Des chercheurs de l’Université de la Caroline du Nord ont fait passer des tests d’imagerie par résonnance magnétique à des enfants âgés de deux ans. On comptait parmi eux 59 jeunes autistes et 38 n’ayant pas ce syndrome.

Lorsque les participants ont eu quatre ou cinq ans, on a répété les tests. Les chercheurs ont alors constaté une augmentation de la matière grise dans le cerveau des enfants autistes. Ceux-ci avaient aussi un cortex cérébral plus épais.
 
On connaissait déjà le lien entre la croissance du cerveau et l’autisme, mais on n’avait pu en définir la cause et le moment crucial. Ainsi, on pourrait relier l’apparition de certains symptômes avec une croissance cérébrale plus rapide, pour ainsi mieux décrire les causes de ce syndrome.

À la lumière de ces nouveaux résultats, les chercheurs suggèrent une période précise du développement postnatal de l’autisme vers la fin de la première année de vie et le début de la deuxième. Les résultats complets de cette recherche sont parus dans Archives of General Psychiatry.

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Déceler l’autisme très tôt : nouvelles méthodes

Des chercheurs de l’École de médecine de San Diego, à l’Université de la Californie, ont élaboré une nouvelle stratégie pour déceler l’autisme en bas âge.

La détection de ce syndrome et d’un retard de langage ou du développement aura un impact important sur la vie des bébés atteints. Nous savons qu’une thérapie entamée très tôt peut avoir d’importantes répercussions sur le développement du cerveau de ces enfants.
 
Grâce à ce programme de détection systématique, on pourra déceler l’autisme avant même que les enfants aient un an, ce qui augmentera l’efficacité des traitements et de la thérapie.
 
Pour arriver à ces résultats, les chercheurs ont étudié le cas de 10 479 bébés de 1 an vivant dans la région de San Diego. Les parents des enfants devaient répondre à un questionnaire portant sur le contact visuel, les sons, les mots, les gestes et la reconnaissance des objets, entre autres.
 
Par la suite, tout enfant ayant échoué à cette première évaluation était suivi tous les six mois, et ce, jusqu’à l’âge de trois ans. Il a par ailleurs été remarqué que les parents devenaient plus réceptifs quant aux différents signes de développement de leur enfant.

Les résultats complets de cette recherche sont parus récemment dans le Journal of Pediatrics.

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Rôle du placenta pour le cerveau de bébé

Une recherche de l’University of Southern California (USC) vient de démontrer que le placenta tient un rôle central dans la synthèse de la sérotonine, ayant donc un impact sur le développement du cerveau du bébé à naître.

En résumé, après que la sérotonine est synthétisée dans le placenta, elle passe par le cordon ombilical jusqu’au fœtus, et de là, se rend à son cerveau en formation.
 
Ainsi, comme nous l’apprenons dans Nature, on pourrait aborder de nouvelles façons de prévenir les maladies cardiovasculaires et les maladies mentales.
 
De plus, on peut voir beaucoup d’espoir dans cette découverte quant à de futures interventions lors de grossesses à risques, quand l’environnement intra-utérin peut présenter des dangers pour le développement cérébral du fœtus.

Rappelons finalement que la sérotonine est un neurotransmetteur qui participe entre autres au développement du pancréas, du cœur et du cerveau.