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Le jus de betterave bénéfique au cerveau

Des chercheurs de l’Université Wake Forest aux États-Unis ont découvert que le jus de betterave augmentait le flux sanguin vers le cerveau, permettant ainsi de conserver la bonne santé de l’organe.
 
Pour cette étude, ils ont analysé les effets des nitrates de ce légume. Par le passé, il a été démontré que le jus de betterave permettait de réduire la tension artérielle.
 
14 personnes de 70 ans et plus ont participé à cette recherche pendant quatre jours.
 
On a constaté qu’un régime alimentaire riche en nitrates augmentait le flux sanguin vers les lobes frontaux, une zone du cerveau associée à la dégénérescence qui mène souvent à la démence et à d’autres troubles cognitifs, mentionne le journal Nitric Oxide Society.
 
La betterave contient beaucoup de nitrates, mais on peut en retrouver également dans le céleri, le chou et d’autres légumes à feuilles vertes. Une fois consommés, les nitrates sont transformés en nitrites et ces derniers aident à ouvrir les vaisseaux sanguins, permettant ainsi d’améliorer le flux sanguin et l’apport en oxygène.
 
Avec l’âge, le flux sanguin vers le cerveau est considérablement diminué, augmentant ainsi les risques de divers troubles comme la démence.
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La marche maintient notre cerveau en bonne santé

Une nouvelle étude démontre d’autres bienfaits de la marche.
 
Après avoir demandé à 299 personnes âgées de calculer le nombre de kilomètres parcourus à pied chaque semaine, on a découvert que de marcher 9,5 km par semaine prévenait le rétrécissement du cerveau et préservait la mémoire.
 
« La taille du cerveau rétrécit avec l’âge, ce qui peut entraîner des problèmes de mémoire. Nos résultats devraient encourager les essais bien encadrés d’exercice physique chez les personnes âgées comme des approches prometteuses pour éviter la démence et la maladie d’Alzheimer », mentionne l’auteur de l’étude Kirk Erickson, de l’Université de Pittsburgh aux États-Unis.
 
Selon le magazine Neurology, cette recherche s’est échelonnée sur neuf ans. Au terme de ces années, les cerveaux des participants ont été numérisés et quatre ans plus tard, on a refait des examens pour évaluer les traces de démence.
 
Après neuf ans, les personnes qui avaient marché 9,5 km chaque semaine avaient plus de matière grise au cerveau. Quatre ans plus tard, celles qui avaient marché le plus avaient deux fois moins de problèmes cérébraux que les autres.
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Nouvelles découvertes sur le cerveau du bébé

Les résultats de chercheurs du MRC Clinical Sciences Centre de l’Imperial College à Londres ont été publiés dans le journal Proceedings of the National Academy of Sciences.

On a pu constater que certains systèmes de neurones, des réseaux à l’état passif, sont déjà à un stade mature dans le cerveau du nouveau-né.

Ces réseaux fonctionnent continuellement chez l’adulte, même lorsqu’une personne dort. Contrairement à ce que l’on croyait, ils sont déjà pleinement développés dès la naissance.

Plus précisément, l’un de ces réseaux, que l’on nomme le mode par défaut, est pleinement actif chez le poupon. Auparavant, il était convenu que s’il était présent dès la naissance, il poursuivait son développement durant l’enfance.

Or, ce réseau est responsable, entre autres, de la conscience introspective comprenant la mémoire autobiographique et la pensée du futur.

Les chercheurs mentionnent toutefois que d’autres éléments devront être abordés pour mieux approfondir cette question.

Ces derniers ont par ailleurs découvert que ces réseaux sont pratiquement complets à la 30semaine de grossesse et tout près de la maturité à 40 semaines.

Pour arriver à ces résultats, ils ont observé la résonance magnétique de 70 bébés nés entre la 23e et la 43semaine de gestation.

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Une nouvelle explication pour le manque de désir sexuel chez certaines femmes

Une équipe de la Wayne State University à Détroit vient de découvrir que le cerveau des femmes affectées par un manque de désir sexuel fonctionnait différemment de celui des femmes avec une libido dite « normale ».
 
Avec des imageries par résonnance magnétique (IRM), on a observé l’activité cérébrale de femmes qui regardaient des films érotiques. Le flux sanguin augmentait chez celles ayant une libido normale, alors que chez les autres, on ne notait aucun changement.
 
« Le fait d’identifier clairement des changements physiques apporte des preuves significatives de l’existence de ce désordre et non d’une pure construction de la société », indique le Dr Michael Diamond.
 
De plus en plus reconnu par la médecine, le désordre du désir sexuel hypoactif chez les femmes demeure toutefois complexe. On ne s’explique pas encore s’il peut décrire le manque de désir qui, lui, dépend pourtant de différents facteurs.
 
La nouvelle étude tend à démontrer que ce désordre est plutôt un problème physique, quoique certains experts ne soient pas convaincus par ces nouveaux résultats.
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Il ne faut qu’une fraction de seconde au cerveau pour tomber amoureux

Oui, l’amour au premier regard est possible scientifiquement. Bien que l’on croie que l’amour grandit dans le cœur, tout se produit au départ dans le cerveau, mentionne le Science Daily.
 
Le cerveau réagit très rapidement au sentiment amoureux. En fait, cela ne lui prend que 0,2 seconde pour tomber amoureux. Les sentiments amoureux sont toutefois bien complexes.
 
12 zones du cerveau participent au processus pour libérer les émotions à partir des différentes hormones de l’amour, dont la dopamine, l’ocytocine et l’adrénaline. Chacune de ces parties du cerveau joue un rôle différent selon le type d’amour ressenti. Ainsi, pour l’amour inconditionnel d’une mère envers ses enfants, l’activité cérébrale ne sera pas la même que celle d’un amour passionné, ce dernier étant le plus complexe de tous.
 
L’amour passionné augmente le facteur de croissance nerveuse dans le sang. Ce sont des composés chimiques qui provoquent la fascination pour notre partenaire. Ainsi, le coup de foudre existe donc réellement.
Cette découverte pourrait éventuellement mener à de meilleurs traitements pour les personnes avec des troubles émotionnels, car toute l’activité se produit dans différentes zones du cerveau au départ.
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L’huile de poisson ne rend pas le bébé plus intelligent

Une nouvelle étude, publiée dans le Journal of the American Medical Association, a démontré que l’huile de poisson n’aurait aucun effet sur le cerveau du bébé ni sur le post-partum de la maman.

En effet, des chercheurs de l’Université d’Adelaïde, en Australie, n’ont trouvé aucune différence entre des femmes ayant pris des gélules d’huile de poisson et d’autres n’en ayant pas consommé.

Pour ce faire, ils ont suivi 2 400 femmes enceintes qui fréquentaient 5 hôpitaux australiens entre 2005 et 2009. La moitié d’entre elles ont pris des capsules d’huile de poisson durant leurs trois derniers mois de grossesse. On donnait à l’autre moitié du groupe des gélules d’huile végétale.

Il en est ressorti que le taux de dépression post-partum était identique dans les groupes. De plus, aucune différence n’a été remarquée dans le développement cognitif des bébés à 18 mois.

Ces résultats ont donc démenti que l’huile de poisson aurait des effets positifs sur le développement du cerveau, la coordination et le vocabulaire des enfants.

On a longtemps cru, par ailleurs, que les oméga 3 diminuaient le risque de dépression après l’accouchement.

Toutefois, il faut rappeler que si l’huile de poisson et les oméga 3 ne semblent pas avoir d’effets notables sur les mamans et leur bébé, ils n’en sont pas plus nocifs pour eux.

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La maternité fait grandir le cerveau

Une étude américaine publiée dans le Behavioral Neuroscience fait état des impacts positifs des changements hormonaux qui surviennent après la naissance d’un enfant.

Il semble en effet que l’augmentation de l’oestrogène, de l’ocytocine et de la prolactine, par exemple, peut provoquer une réorganisation dans le cerveau de la nouvelle mère, et ce, en réponse au bébé.

Ainsi, les femmes venant d’accoucher démontrent une meilleure activité des parties du cerveau liées au comportement et à la motivation.

Les comportements maternels relèveraient donc plus d’un accroissement de l’activité cérébrale que de l’instinct.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont effectué des tests de résonnance magnétique sur le cerveau de 19 femmes venant de donner la vie. Dix garçons et neuf filles étaient nés. L’âge moyen des participantes était de 33 ans.

En comparant des images prises entre deux à quatre semaines, puis de trois à quatre mois après l’accouchement, on a pu remarquer une augmentation significative de la matière grise dans certaines parties du cerveau, notamment dans l’hypothalamus (motivation maternelle) et le cortex préfrontal (jugement et raisonnement).

De plus, les mères qui portaient le plus d’attention à leur bébé avaient eu la plus grande augmentation.

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Marcher pour conserver une santé cérébrale

Le Dr Kirk Erickson et ses collègues de l’Université de Pittsburgh se sont penchés sur les habitudes de marche de 300 Américains pendant neuf ans.
 
À la fin de l’étude, ils ont constaté que les personnes qui marchaient au moins 10 km par semaine avaient plus de matière grise au cerveau que les autres. Cela laisse croire que la marche pourrait aider à conserver une bonne santé cérébrale, selon que ce rapporte le journal Neurology.
 
Bien que de nombreuses études aient démontré que l’activité physique avait des bienfaits sur les capacités cognitives, les chercheurs disent toutefois manquer de preuves pour l’affirmer avec certitude.
 
Par contre, sur les animaux, l’exercice stimule la formation de nouveaux vaisseaux sanguins au cerveau, ce qui permet un apport supplémentaire en oxygène et en nutriments essentiels.
 
Les chercheurs pensent ainsi que les résultats seraient les mêmes sur les humains. Des recherches supplémentaires seront donc effectuées sous peu.
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Un vaccin contre le cancer du cerveau?

Des chercheurs tentent de mettre au point un vaccin pour contrer le cancer du cerveau.
 
Selon le Journal of Clinical Oncology, un vaccin expérimental donne des résultats plutôt intrigants. Il viendrait grandement en aide aux patients ayant un glioblastome, la forme la plus grave du cancer du cerveau.
 
L’étude démontre que la vie des patients avec cette tumeur mortelle pourrait être prolongée jusqu’à 70 % par des injections.
 
L’étude a été effectuée avec 35 patients souffrant de cette forme de cancer. Ils ont tous subi une chirurgie pour retirer la tumeur et ont ensuite reçu des traitements de radiothérapie et chimiothérapie.
 
18 de ces personnes ont reçu le vaccin en question un mois après la radiothérapie et elles ont continué les injections tant que cela semblait efficace.
 
Ce vaccin a stimulé le système immunitaire de la moitié du groupe. De plus, sur 17 des 18 personnes, toutes les cellules cancéreuses ont été détruites. En moyenne, leur vie a été prolongée de 15 à 26 mois.
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Une grossesse après une réduction de poids

Les adolescentes qui subissent une opération de réduction de poids exposent leur futur enfant à des dangers, nous apprend BabyCenter.

En effet, les bébés dont la mère a vécu une telle intervention auraient plus de chances de naître avec des malformations au cerveau et à la colonne vertébrale.

L’étude a été présentée récemment à l’Association américaine de pédiatrie. Diana Farmer, chef des chirurgies infantiles au Benioff Children’s Hospital de l’Université de la Californie à San Francisco, en a expliqué les détails.

C’est que ce type d’opération limite la quantité de nourriture que peut ingérer une personne. Cela faisant, elle peut se retrouver plus facilement avec une carence en vitamine B9, l’acide folique.

Cette vitamine joue un très grand rôle dans la prévention de la spina-bifida et d’autres maladies liées au tube neural. Seulement 14 % des adolescents qui subissent une réduction de poids reçoivent des suppléments en acide folique.