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Apprendre à jouer de la musique stimule le cerveau des enfants

Dans les années 90, il y a eu l’effet Mozart, qui voulait qu’écouter la musique du grand compositeur rende les jeunes enfants plus intelligents. La revue Nature Reviews Neuroscience dévoile maintenant une nouvelle étude où des chercheurs ont découvert avec stupéfaction qu’il existait un moyen encore meilleur pour stimuler le cerveau de vos enfants : la formation musicale.
 
Des chercheurs de l’Université de Northwestern, en Illinois, ont obtenu des preuves renversantes sur les effets de l’apprentissage de la musique sur le cerveau des jeunes enfants. Les résultats sont absolument surprenants. La formation musicale améliore considérablement les capacités du cerveau et le développement du système nerveux, ce qui rend les enfants plus aptes à acquérir le langage, la parole, la mémoire, l’attention et les émotions vocales.
 
Même avec seulement 20 minutes par jour, des enfants ont obtenu des changements majeurs de leurs capacités après seulement un an.
 
Il a été prouvé par le passé que ces capacités cognitives plus développées des musiciens les rendaient plus aptes à apprendre différentes langues. Cela peut également les aider à mieux apprendre à l’école, même dans des classes bruyantes.
 
Bien que les bienfaits soient grandement mesurables lorsque l’on commence à jouer d’un instrument à un jeune âge, les bénéfices de la formation musicale sont significatifs à tous les âges, ajoutent les chercheurs.
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Les prématurés sont plus sujets à des difficultés d’apprentissage

Des chercheurs de la Faculté de médecine de l’université de Saint-Louis, aux États-Unis, ont découvert que le cerveau des petits prématurés se développait moins bien que celui de leurs comparses nés à terme.
 
Pour l’étude, on a comparé le développement des cerveaux de jeunes bébés nés à terme, de prématurés et de jeunes adultes.  
 
Les résultats démontrent que le cerveau des prématurés se développe de façon irrégulière. En fait, c’est le cortex cérébral qui est le plus touché par le phénomène. Celui-ci joue un rôle primordial dans des fonctions de base comme la motricité, la sensibilité, le langage et la mémoire.
 
Les experts affirment donc que les enfants prématurés sont plus susceptibles d’avoir des difficultés d’apprentissage, un déficit d’attention, des problèmes de comportement ou un handicap mental.
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L’imagerie médicale pour aider à choisir sa profession

Une imagerie par résonnance magnétique (IRM) du cerveau pourrait aider certaines personnes à mieux choisir leur carrière, affirment des scientifiques dans le journal BMC Research Notes.
 
40 volontaires se sont soumis à l’expérience. On a comparé les résultats des tests afin de trouver une corrélation entre le cerveau et les aptitudes des gens à accomplir des tâches.
 
Les chercheurs ont constaté que la quantité de matière grise, cette partie du cerveau qui traite l’information, démontre comment une personne parvient à accomplir une tâche.
 
Il existe diverses structures selon les différentes compétences des personnes, comme la vitesse de raisonnement, les compétences numériques, la conscience spatiale, la mémoire et l’intelligence.
 
Cette IRM du cerveau permet de démontrer les forces et les faiblesses dans différentes sphères, ce qui aiderait les gens dans leur choix d’orientation professionnelle.
 
Avant d’offrir de tels tests à un large public, des recherches plus approfondies sont nécessaires pour confirmer les premiers résultats.
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Les adolescents antisociaux présentent des anomalies cérébrales

Archives of General Psychiatry nous apprend que des scientifiques ont découvert que les problèmes psychiatriques des adolescents étaient sans doute le résultat d’anomalies cérébrales. Ces adolescents présentaient des schémas anormaux de leur activité au cerveau.

Ces troubles peuvent se développer durant l’enfance ou l’adolescence, et se caractérisent par de l’agressivité et une incapacité d’entrer en contact avec les autres.

Grâce à l’imagerie fonctionnelle par résonnance magnétique, on a pu analyser l’activité cérébrale des cerveaux d’adolescents auxquels on présentait des images de colère, des visages tristes et neutres. L’activité dans le cerveau des adolescents antisociaux était considérablement moindre que chez les autres, ce qui expliquerait pourquoi ils ne parviennent pas à entretenir des relations humaines.

Heureusement, ces problèmes de comportement peuvent être traités par une médication, mais on souhaite que ces nouvelles observations puissent mener à des thérapies plus adaptées.

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Les adolescents antisociaux présentent des anomalies cérébrales

Archives of General Psychiatry nous apprend que des scientifiques ont découvert que les problèmes psychiatriques des adolescents étaient sans doute le résultat d’anomalies cérébrales. Ces adolescents présentaient des schémas anormaux de leur activité au cerveau.

Ces troubles peuvent se développer durant l’enfance ou l’adolescence, et se caractérisent par de l’agressivité et une incapacité d’entrer en contact avec les autres.

Grâce à l’imagerie fonctionnelle par résonnance magnétique, on a pu analyser l’activité cérébrale des cerveaux d’adolescents auxquels on présentait des images de colère, des visages tristes et neutres. L’activité dans le cerveau des adolescents antisociaux était considérablement moindre que chez les autres, ce qui expliquerait pourquoi ils ne parviennent pas à entretenir des relations humaines.

Heureusement, ces problèmes de comportement peuvent être traités par une médication, mais on souhaite que ces nouvelles observations puissent mener à des thérapies plus adaptées.

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Deux circuits du cerveau s’activent dans l’apprentissage des habitudes

Prendre le métro ou sortir les poubelles sont des gestes tellement routiniers que lorsqu’on les exécute, on peut facilement penser à autre chose.
 
Des scientifiques américains ont identifié deux circuits du cerveau qui s’activent dans l’apprentissage de ces habitudes.
 
On note qu’une partie du striatum (structure cérébrale) contrôle le mouvement et est reliée au cortex sensorimoteur. Ce dernier participe à la planification et à l’exécution volontaire. Un autre circuit dans le striatum contrôle le comportement flexible et est connecté au cortex d’association qui traite les informations envoyées par les sens.
 
En observant des rongeurs, les chercheurs ont noté que ces deux circuits fonctionnaient en parallèle. « Nous sommes témoins de ce que l’on peut comparer à une certaine compétition entre les deux circuits, jusqu’à ce que le comportement d’apprentissage devienne une habitude », explique Catherine Thorn qui a dirigé l’étude.
 
Les chercheurs disent que la maladie de Parkinson et certains troubles psychiatriques sont issus du mauvais fonctionnement d’un de ces circuits. Donc, une meilleure compréhension de ces derniers pourrait faire avancer la recherche dans le domaine.
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L’obésité influencée par la taille du cerveau

Il semblerait que l’obésité ait un lien avec un cerveau de moindre volume, selon des chercheurs de la faculté de médecine de l’Université de Boston.
 
De plus, selon leurs observations, l’obésité augmenterait le risque de développer de la démence, comme l’Alzheimer.
 
733 personnes, dont la moyenne d’âge était de 60 ans, ont participé à cette étude. Les chercheurs ont mesuré leur indice de masse corporelle (IMC), leur graisse abdominale et le volume de leur cerveau grâce à l’imagerie par résonnance magnétique (IRM). De plus, on a observé la densité des plaques dans leur cerveau, qui caractérisent souvent les maladies comme l’Alzheimer.
 
« Nos résultats confirment la relation entre l’accroissement de l’IMC et la réduction du volume du cerveau, chez les sujets les plus âgés et d’âge moyen, observée précédemment dans un groupe de moins de 300 sujets. Encore plus important, ces données montrent un lien plus fort entre l’obésité, particulièrement l’excès de graisse se trouvant dans les viscères, et un risque accru de démence et de maladie d’Alzheimer », mentionne le Dr Sudha Seshadri.
 
Ces découvertes pourraient donc conduire à de nouvelles stratégies de prévention. Selon les données de 2005 de l’Organisation mondiale de la santé, 4,6 millions de nouveaux cas de démence sont enregistrés chaque année dans le monde.
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Peu de risque de cancer avec le cellulaire

La plus vaste étude sur l’utilisation du téléphone portable et le risque potentiel de cancer du cerveau vient de dévoiler ses résultats dans l’International Journal of Epidermiology.
 
Selon l’étude Interphone, il n’y aurait pas de liens clairs entre l’utilisation du cellulaire et le développement du cancer du cerveau.
 
Toutefois, pour les grands utilisateurs (900 heures par mois environ), on note un risque accru de gliome de 40 % et un risque de 15 % supérieur pour un méningiome. Habituellement, on retrouve également la tumeur du côté où le téléphone est tenu.
 
« L’étude ne met pas en évidence un risque accru, mais on ne peut conclure qu’il n’y a pas de risque, car il y a suffisamment de résultats qui suggèrent un risque possible », mentionne une auteure de l’étude, Elizabeth Cardis.
 
D’autres recherches se poursuivent sur le sujet.
 
Le téléphone portable est devenu extrêmement populaire, notamment auprès des jeunes, depuis le début de l’étude Interphone en 2000. Il faut dire aussi que les émissions sont moins grandes, car il y a une augmentation des messages textes et de l’utilisation de dispositifs mains libres.
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Résultats prometteurs contre le cancer du cerveau

En 2007, une équipe de l’Université de l’Alberta donnait de l’espoir dans la lutte contre le cancer. Avec des cellules humaines cancéreuses implantées à des rats, on avait réussi à réduire la taille des tumeurs dans les cas de cancer du cerveau, du poumon et du sein avec du dichloroacétate (DCA).
 
Le DCA est un médicament générique bon marché, utilisé habituellement pour les troubles métaboliques.
 
Aujourd’hui, le journal Science Translational Medicine affirme que la lueur d’espoir persiste. L’équipe albertaine a fait de premiers tests sur cinq patients humains avec une tumeur cérébrale pendant 18 mois. Trois d’entre eux ont vu leur tumeur rétrécir et pour un autre, la tumeur a cessé de croître.
 
Le Dr Evangelos Michelakis émet toutefois une importante mise en garde. Les personnes ne doivent pas se procurer du DCA et tenter de se traiter elles-mêmes. Cela pourrait s’avérer très dangereux.
 
De nombreuses études sont nécessaires afin de confirmer l’efficacité du médicament ainsi que sa sécurité. Les premiers résultats sont encourageants, mais ne démontrent pas encore que l’on peut passer à un traitement sécuritaire pour tous les patients.
 
Le DCA agirait en fait sur le métabolisme des nutriments des cellules cancéreuses, entraînant ainsi leur mort.
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Les timides ont une activité cérébrale différente

Grâce à des tests d’imageries fonctionnelles, les chercheurs ont découvert que les personnes très sensibles avaient une activité cérébrale beaucoup plus importante dans les sections du cerveau qui traitent les informations visuelles.
 
Selon leur étude dévoilée dans le récent numéro du Social Cognitive and Affective Neuroscience, ces personnes sont plus sensibles aux détails, prennent plus de temps pour prendre une décision et s’ennuient dans des conversations de papotage.
 
Ce n’est pas un défaut d’être sensible, au contraire. Cela présente de grands avantages dans des situations dangereuses ou lorsqu’il s’agit de prendre une décision difficile ou de faire preuve d’ingéniosité.
 
Nous savions déjà que les personnes sensibles étaient souvent également timides et introverties. Elles sont aussi plus craintives et n’aiment ni le bruit ni les foules.
 
Dès le plus jeune âge, il est possible de voir si votre enfant fait partie du 1/5 des gens qui sont sensibles. Il pleurera plus facilement, aura de profondes pensées et vous posera parfois des questions assez inusitées pour son âge. De plus, l’enfant sensible observe bien souvent avant d’agir.