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Trop de protéines affectent la taille du cerveau

Selon le journal Molecular Neurodegeneration, une équipe de chercheurs anglo-saxons a fait une découverte assez surprenante concernant le cerveau.

Durant une étude pour établir un lien entre l’alimentation et la maladie d’Alzheimer, les chercheurs ont constaté une anomalie chez les souris étudiées. On a pu voir que celles nourries avec beaucoup de protéines et peu de glucides avaient un cerveau 5 % plus petit que les autres. De plus, on a remarqué une atrophie des zones de l’hippocampe qui jouent un rôle dans l’apprentissage et la mémoire.

Bien entendu, comme cette étude a porté sur des souris, les premiers résultats doivent être considérés avec précaution. Il faut maintenant savoir si les protéines ont également une incidence sur le cerveau humain.

Toutefois, ces premiers résultats peuvent être intéressants dans la mesure où ils ouvrent une nouvelle voie dans l’étude du cerveau humain.

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La lecture augmente les connexions dans le cerveau

Des chercheurs espagnols sont arrivés à la conclusion qu’apprendre à lire renforce les connexions entre les différentes parties du cerveau, rapporte le magazine Nature.

En étudiant des Colombiens qui ont appris à lire à l’âge adulte, on a pu isoler les modifications qui sont induites dans le cerveau lors de cet apprentissage.

En comparant les échographies cérébrales de 20 Colombiens apprenants à lire à celles de 22 analphabètes, on a constaté que ceux qui pouvaient lire avaient plus de matière grise dans leur cerveau. De plus, la substance blanche était également beaucoup plus présente dans les régions du cerveau qui servent au traitement de l’information.

Cette nouvelle étude sur le fonctionnement du cerveau lors de la lecture aiderait ainsi à mieux comprendre les problèmes de dyslexie.

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Nouvelle technique pour opérer au cerveau

Une nouvelle technique aux ultrasons permet d’opérer au cœur du cerveau sans anesthésie et sans bistouri.

Les ultrasons en haute intensité dirigés sur une cible permettent d’en augmenter la température et de détruire les tissus malades. Ainsi, grâce aux ultrasons, les chirurgiens peuvent détruire une lésion de la taille d’un grain de riz au plus profond du cerveau.

Bien entendu, la méthode n’est pas sans risques, mais ils sont diminués et cette technique est beaucoup moins envahissante que la chirurgie traditionnelle. Pour le moment, une douzaine de personnes qui souffraient de douleurs chroniques ont été traitées ainsi en Suisse.

En France, un appareil similaire à l’ExAblate utilisé en Suisse est à l’étude. On tentera l’expérience pour les douleurs chroniques, la maladie de Parkinson et certaines tumeurs cérébrales. Si tout se passe bien, la technique des ultrasons pourrait être utilisée dans les cas d’épilepsie.

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L’ADH bénéfique pour le cerveau des bébés

Selon le magazine Child Developement, des chercheurs de la Retina Foundation of Southwest et de l’Université du Texas ont découvert que le lait maternisé enrichi d’ADH, un acide gras essentiel, améliorait les fonctions du cerveau chez les bébés.

L’étude a été faite sur des nourrissons, certains âgés de 6 semaines et d’autres ayant de 4 à 6 mois. À 9 mois, ils devaient passer quelques tests comme ramasser une crécelle. Ceux qui ont reçu un lait enrichi d’ADH ont mieux réussi à attraper l’objet que ceux ayant eu du lait standard.

Par contre, les pédiatres mentionnent que ce lait enrichi ne remplace pas le lait maternel, qui contient déjà de l’ADH et d’autres substances bénéfiques au développement des enfants. On préconise donc encore fortement l’allaitement.

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Un manque de vitamine C affecte le cerveau des bébés

Des chercheurs de l’Université de Copenhague, au Danemark, ont découvert qu’une carence en vitamine C nuisait au développement du cerveau des nouveau-nés.

Selon l’étude publiée dans l’édition de septembre de l’American Journal of Clinical Nutrition, les nouveau-nés qui manquent de vitamine C se développent moins bien mentalement.

Les chercheurs danois sont arrivés à cette conclusion en étudiant des animaux nouveau-nés. Ils ont constaté que ceux qui avaient une carence de la vitamine présentaient 30 % moins de neurones dans l’hippocampe, la région du cerveau qui gère la mémoire à long terme et la mémoire spatiale, que les autres animaux testés.

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Du poisson contre la démence

Une étude, dont les résultats se retrouvent dans l’American Journal of Clinical Nutrition, démontre que le déclin cognitif diminue de 19 % lorsque l’alimentation est riche en poisson.

Les travaux menés auprès de plus de 15 000 participants par le Dr Emiliano Albanese du King’s College de Londres suggèrent également que la consommation de viande rouge est associée à un risque accru de démence.

Le chercheur croit toutefois que d’autres recherches supplémentaires devront être effectuées afin de corroborer ses résultats, qu’il attribue aux oméga-3 que l’on trouve particulièrement dans des poissons gras comme le saumon, le thon et le maquereau.

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Les résultats d’une cuite d’un soir

Une équipe de chercheurs espagnols a découvert qu’une soirée très arrosée peut être néfaste au niveau des fonctions cérébrales et de la mémoire, rapporte Radio-Canada.ca

Les chercheurs ont réalisé cette étude auprès d’un groupe d’étudiants universitaires espagnols de première année qui n’étaient pas sous l’influence de l’alcool afin de découvrir les répercussions d’une consommation abusive d’alcool.
 
Ils ont découvert que même si ces étudiants n’avaient pas de problèmes de consommation d’alcool ou d’autres substances, et qu’ils n’avaient aucun trouble psychique, leur consommation parfois excessive d’alcool réduisait leur facilité à effectuer un travail donné. Les sujets devaient mettre plus d’efforts pour effectuer cedit travail.
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Espoir pour traiter la sclérose en plaques

Le Dr Jacques Galipeau, de l’Institut Lady Davis et de la Faculté de médecine de McGill, et son équipe ont réussi à éradiquer la sclérose en plaques chez des souris atteintes de la maladie auto-immune.

Les chercheurs ont mis au point un traitement appelé GIFT15, qui consiste en la fusion de deux protéines, la GSM-CSF et l’interleukine 1.
 
Ainsi, la GIFT15 transforme les cellules B, un type de lymphocytes B intervenant dans la réaction immunitaire. « Le GIFT15 peut prendre vos cellules B
normales et les transformer – à la manière de Superman ou du Docteur Jekyll et de Mister Hyde – en cellules B régulatrices superpuissantes », a vulgarisé le Dr Galipeau.
 
Il faut toutefois intervenir aux premiers stades de la maladie neurodégénérative. Par ailleurs, le traitement ne comporte pas d’effet secondaire important.
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Les effets de la radiothérapie

Selon l’équipe de la Dre Linda Douw du département de neurologie du VU University Medical Central, à Amsterdam, les traitements de radiothérapie contre les tumeurs au cerveau ne sont pas sans effet secondaire indésirable.

En mesurant les fonctions cérébrales auprès de 65 patients 12 ans après les traitements, les chercheurs ont conclu que la radiothérapie entraîne une diminution des capacités cognitives, notamment en ce qui concerne l’attention, la mémoire et le traitement de l’information.

Les effets du traitement ont été observés uniquement à long terme, ce qui amène la Dre Douw à conseiller de repenser le recours à la radiothérapie. Cette dernière propose également que d’autres études soient menées en vue d’évaluer la pertinence de la chimiothérapie.

 

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Vaincre l’Alzheimer par l’alimentation?

Une recherche publiée dans le Journal of Alzheimer’s Disease nous apprend que la combinaison de vitamine D et de curcumine, que l’on retrouve en abondance dans le curcuma, stimule le système immunitaire au point de ralentir la formation des plaques amyloïdes dans le cerveau.

« Nous espérons que la vitamine D3 et la curcumine, deux nutriments existant dans la nature, offrent de nouvelles possibilités de prévention et de traitement de la maladie d’Alzheimer », a fait savoir l’un des auteurs de cette étude, le Dr Milan Fiala de l’école David Geffen de médecine de l’Université de la Californie à Los Angeles.

Selon le chercheur, la curcumine artificielle est plus efficace que la naturelle, car elle est absorbée plus rapidement par l’organisme.

« Étant donné que la vitamine D et la curcumine fonctionnent différemment avec le système immunitaire, nous pourrions découvrir qu’une combinaison des deux, ou chacune prise séparément, peut être plus efficace selon le patient », a conclu monsieur Fiala.