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Lien entre la fécondité et le Parkinson

Selon la Dre Rachel Saunders-Pullman, de la faculté de médecine Albert Einstein à New York, plus la ménopause tarde à se pointer, plus l’incidence de la maladie de Parkinson chute.

« Cette recherche laisse penser que plus longtemps une femme est exposée à ses propres hormones sexuelles, plus les cellules cérébrales paraissent être protégées de la maladie de Parkinson », a observé l’auteure principale de cette recherche.

Les femmes ayant été fertiles pendant 39 ans ont 25 % moins de chances d’être touchées par la maladie neurodégénérative que celles dont la fertilité a duré 33 ans.

Il semble que le nombre de grossesses joue aussi dans la balance puisque celles qui ont été enceintes 4 fois et plus voient leur risque de Parkinson augmenter de 20 %.

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Un traitement expérimental contre les AVC

Un traitement expérimental, mené auprès de patients ayant souffert d’un accident vasculaire cérébral (AVC), laisse entrevoir une lueur d’espoir à la communauté scientifique.

Le Dr Justin Zivin, de l’Université de la Californie à San Diego, a utilisé le laser en envoyant des radiations dans le cerveau 14 heures et demie après l’AVC.

19 jours plus tard, 52 % des sujets traités au laser avaient des séquelles légères ou absentes à la suite de l’AVC. « Nous sommes très optimistes quant à ces résultats », a souligné le Dr Zivin.

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L’ADN altéré par les traumatismes infantiles

Selon une équipe de l’Université McGill et de l’Institut Douglas à Montréal, les traumatismes infantiles altèrent l’ADN et les gènes.

Les scientifiques ont analysé 36 cerveaux de rats, dont 12 ayant été abandonné par leur mère, et ont découvert différentes marques dans les zones du cerveau associées au stress, comme l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS).

« L’expérience clinique nous a appris qu’une enfance difficile peut avoir des conséquences sur le cours de la vie », a fait savoir l’un des auteurs de cette recherche, le Dr Gustavo Turecki.

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Le déclin cognitif est sans issue

Les personnes âgées ne devraient pas dépenser une fortune en achetant des programmes d’entraînement mental, puisqu’ils ne préviennent nullement contre le déclin cognitif, soutiennent des chercheurs new-yorkais.

Selon le Dr Peter J. Snyder et son équipe du Lifespan Affiliated Hospitals de Providence, les exercices vendus pour améliorer la mémoire n’ont pas fait leurs preuves scientifiques, bien que les ventes de ce type de produits aient atteint les 225 millions cette année aux États-Unis.

Les chercheurs ont évalué 10 approches différentes, allant des programmes informatiques à des leçons de piano, pour conclure qu’à court terme, les sujets avaient un bon rendement aux programmes d’entraînement, mais que les effets à long terme n’étaient pas concluants.

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La fumée secondaire et le déficit cognitif

Une recherche, publiée dans la revue scientifique British Medical Journal, démontre que l’incidence de troubles cognitifs, comme la perte de mémoire, augmente lorsque le sujet est exposé à la fumée secondaire.

Pour en arriver à ces conclusions, les chercheurs des universités de Cambridge et du Michigan ont évalué le taux de cotinine prélevée dans la salive de 5 000 adultes de 50 ans et plus qui se déclaraient non-fumeurs.

Par la suite, une série de tests a permis de mesurer leurs capacités mnémoniques, en calcul mental et en langage.

Il en résulte que plus le taux de cotinine était élevé, moins les résultats aux tests neuropsychologiques étaient élevés.

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Le lobe temporal du cerveau, zone de l’autisme?

Selon des chercheurs de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale en France, l’autisme pourrait être causée par des anomalies observées dans le lobe temporal du cerveau grâce à des examens d’imagerie par résonance magnétique (IRM).

77 enfants autistes et 77 enfants ne souffrant pas du trouble envahissant du développent ont participé à cette étude. Les scientifiques ont observé des irrégularités au niveau de la substance blanche du lobe temporal dans 48 % des cerveaux du premier groupe.

Cette découverte est toutefois contestée, car plusieurs membres de la communauté scientifique, dont l’Académie américaine de la neurologie, remettent en question l’efficacité de l’IRM pour mieux comprendre l’autisme.

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Le régime méditerranéen, bon pour le cerveau

Une alimentation riche en fruits et légumes, en poisson et en huile d’olive serait bénéfique pour le coeur, mais aussi pour le cerveau, selon le Dr Nikolaos Scarmeas, de l’Université Columbia à New York.

Le chercheur prétend que le régime méditerranéen réduit de 48 % l’incidence de troubles cognitifs, comme la démence ou la maladie d’Alzheimer à un stade léger.

Le Dr Scarmeas est toutefois prudent devant ces résultats. « Il ne s’agit pas d’une étude clinique, mais bien de résultats observés. On ne peut pas affirmer hors de tout doute que le régime méditerranéen prévient des troubles cognitifs », a-t-il mis en garde.

Plusieurs recherches antérieures laissent toutefois croire que cette diète diminue le taux de mauvais cholestérol, réduit l’inflammation ainsi que les risques de maladies cardiovasculaires.

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La protéine miracle contre l’Alzheimer

Une expérimentation menée par le Dr Mark Tuszynski, neurologue à l’Université de la Californie à San Diego, laisse croire que le facteur neurotrophique dérivé du cerveau (BDNF), une sorte de protéine, pourrait ralentir la progression de la maladie neurodégénérative.

Injectée chez des animaux atteints de la maladie d’Alzheimer, la protéine serait à l’origine d’une amélioration notable de leur mémoire et de leurs capacités cognitives.

Les effets de la BDNF ont été observés dans plusieurs zones du cerveau, souvent attaquées par la maladie, comme l’hippocampe, là où loge la mémoire à court terme.

Les résultats de cette recherche, publiés dans Nature Medicine, laissent entrevoir que des essais cliniques pourraient être pratiqués sur des humains.

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Une molécule pleine de promesses

Une équipe de scientifiques de l’Institut Buck et du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) ont découvert une molécule qui ralentirait la progression de la maladie d’Alzheimer chez les souris.

En injectant la molécule netrin-1 chez les rongeurs, les plaques amyloïdes dans le cerveau ont diminué au point de rétablir les capacités cognitives des souris.

Avec des résultats aussi encourageants, les chercheurs espèrent maintenant développer un médicament à base de netrin-1 afin de traiter éventuellement la maladie d’Alzheimer.

Tous les détails concernant cette recherche sont publiés dans la revue médicale Cell death and differentiation.

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Lueur d’espoir concernant la sclérose en plaques

Une expérimentation menée sur 21 personnes souffrant de la sclérose en plaques a suscité l’espoir alors qu’une transplantation de cellules souches semble avoir ralenti, voire réparer, les dommages neurologiques créés par cette maladie du système nerveux central où le système immunitaire attaque la myéline, une substance qui forme une gaine entourant certaines fibres nerveuses.

Le Dr Richard K. Burt, de l’école de médecine de l’Université de Chicago, a développé une technique de greffe de cellules souches chez des patients atteints de sclérose en plaques précoce afin que ces cellules fabriquent de nouvelles cellules sanguines.

Trois ans après l’intervention, tous les sujets ont avoué que l’état de la maladie neurodégénératrice n’avait pas progressé et qu’ils ressentaient très peu d’effets secondaires.

Tous les détails se retrouvent dans la version en ligne de The Lancet Neurology.