Selon la Dre Rachel Saunders-Pullman, de la faculté de médecine Albert Einstein à New York, plus la ménopause tarde à se pointer, plus l’incidence de la maladie de Parkinson chute.
« Cette recherche laisse penser que plus longtemps une femme est exposée à ses propres hormones sexuelles, plus les cellules cérébrales paraissent être protégées de la maladie de Parkinson », a observé l’auteure principale de cette recherche.
Les femmes ayant été fertiles pendant 39 ans ont 25 % moins de chances d’être touchées par la maladie neurodégénérative que celles dont la fertilité a duré 33 ans.
Il semble que le nombre de grossesses joue aussi dans la balance puisque celles qui ont été enceintes 4 fois et plus voient leur risque de Parkinson augmenter de 20 %.