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Quand la sexualité rend plus « intelligent »

Une sexualité active pourrait bien augmenter certaines compétences du cerveau, selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), et par conséquent rendre plus « intelligent ».

On apprend en effet de l’étude rapportée par le quotidien que le sexe a une bonne influence sur les cellules cérébrales, et favoriserait leur progression. Les résultats de cette cause à effet pourraient varier entre de meilleures capacités cognitives, une baisse significative de stress et de plus grandes capacités de mémorisation.

On doit ces révélations, qui abondent dans le même sens que quelques autres recherches précédentes sur le sujet, à une équipe de l’Université du Maryland, qui proposait ses travaux lors d’une conférence de la Society for Neuroscience.

La notion de création de nouvelles cellules cérébrales peut aussi surprendre, et les chercheurs impliqués dans la recherche croient que le sexe, tout comme les exercices mentaux et physiques, peut contribuer à garder ces cellules plus longtemps en vie.

Comme le note si bien le Daily Mail (UK), les cours du soir n’auront jamais été aussi plaisants à la suite de cette étude.

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Une autre étape de franchie vers le traitement de la maladie de Parkinson

Il semble qu’un nouveau traitement préliminaire contre la maladie de Parkinson en soit aux dernières étapes de test, et son efficacité démontrée jusqu’ici semble ravir les chercheurs à la tête du projet, selon The National Library of Medicine.

Le traitement, baptisé ProSavin, fonctionnerait par le principe de thérapie génétique. Il reprogrammerait les cellules du cerveau afin de produire davantage de dopamine, un élément essentiel pour le contrôle des mouvements, selon l’équipe de spécialistes d’Oxford BioMedica, qui financent les recherches et la création du nouveau produit.

« Nous avons démontré que nous sommes en mesure d’administrer en toute sécurité des gènes dans le cerveau des patients et de créer de la dopamine, l’agent manquant chez les personnes souffrant de Parkinson », résume le meneur des recherches Kyriacos Mitrophanous.

Tous les patients de l’étude clinique auraient démontré des signes encourageants d’amélioration de leur condition, et ce, malgré le fait que tous les autres traitements offerts ne faisaient plus effet sur eux. Il s’agit donc d’une percée importante dans la quête du traitement ultime de la maladie de Parkinson.

On estime à cinq millions le nombre de personnes touchées par le Parkinson dans le monde en ce moment.

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La vitamine E pourrait ralentir la progression de la maladie d’Alzheimer

Une nouvelle étude encourageante démontre le potentiel de la vitamine E à freiner les ardeurs de la maladie d’Alzheimer, et ainsi permettre le ralentissement de la progression de cette terrible maladie.

Cette découverte provient d’une équipe de chercheurs américaine basée au Minnesota et menée par le Dr Maurice Dysken. Elle fait état d’une amélioration de la condition des patients souffrant d’Alzheimer ayant reçu de fortes doses de vitamine E.

« On a découvert que la vitamine E ralentit significativement la progression, en comparaison avec le placebo », lance le Dr Dysken.

Il ne s’agit aucunement d’une forme de traitement, mais plutôt d’une manière de gagner du temps et d’améliorer la condition des patients souffrant d’Alzheimer, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

On parle d’une réduction de 20 % du déclin annuellement, et d’un besoin moins évident de soins de la part du personnel médical, toujours selon l’étude de Dysken et de son équipe.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of the American Medical Association, au dernier jour de 2013.

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Stimulez le cerveau de bébé à naître avec le sport

C’est une étude menée par le professeur canadien Dave Ellemberg qui révèle les bienfaits du sport chez les femmes attendant un enfant.

Pour en arriver à ces résultats, le site psychoenfants.fr explique que les chercheurs ont divisé un groupe de femmes enceintes en deux. Un groupe était constitué de futures mamans sédentaires, et celles de l’autre groupe étaient sportives.

Les bébés nés de mères actives ont démontré un système d’activation cérébrale plus développé que les autres. Plus simplement dit, le cerveau des bébés s’en est trouvé mieux développé.

Peu d’efforts sont requis pour arriver à de tels résultats. En effet, tout ce qui était demandé à ces femmes était de faire une activité sportive, notamment de la marche, de la natation ou encore du vélo, et ce, pendant 20 minutes, 3 fois par semaine.

Les responsables de cette étude espèrent que ces informations encourageront les futures mères qui, bien entendu, n’ont pas de grossesse à risque, à faire du sport dès qu’elles apprennent l’arrivée d’un enfant.

De plus amples recherches seront effectuées auprès des mêmes enfants lorsqu’ils atteindront l’âge d’un an afin de voir si leur cerveau continue à se développer mieux que les autres.

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Une nouvelle solution pour éliminer la dyslexie

Un enfant dyslexique peut avoir de sérieux troubles d’apprentissage. Dans le but de « guérir » ce trouble d’association des lettres et des sons, le psychologue Bart Boers, de l’Université catholique de Louvain, située en Belgique, apporte de nouvelles informations.

La science a toujours revendiqué que la dyslexie est le résultat d’informations mal stockées. Néanmoins, Boers rapporte, selon Top Santé, que ce serait en réalité la connectivité donnant accès à ces informations qui causerait le trouble dyslexique.

En d’autres termes, les connexions analysant la phonétique seraient inaccessibles. Les tests portés dans le cadre de la recherche ont analysé l’imagerie par résonnance magnétique du cerveau de 45 étudiants, dont 23 étaient dyslexiques.

Les résultats ont démontré que l’information phonétique était stockée de la même façon, tant par les participants atteints de dyslexie que les autres. Or, lorsqu’il s’agissait d’isoler les phonèmes (unités du son), les caractéristiques désordonnées de la dyslexie se manifestaient par l’incapacité de certaines zones du cerveau à traiter l’information.

Boers compte bien poursuivre sa recherche et prouver que l’on peut rétablir la connectivité des régions défectueuses du cerveau par stimulation électromagnétique.

S’il a raison, le traitement pourrait être prometteur pour aider les enfants qui ont des troubles d’apprentissage reliés à cette affection.

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Les photographes en série perdraient la mémoire

Peut-être connaissez-vous ou peut-être faites-vous partie vous-même de ces gens qui prennent tout en photo, et tout le temps. Repas, détails, éléments cocasses et parfois moins, famille, proches, amis, sorties, animaux, tout semble désormais un prétexte pour prendre un cliché

Le phénomène est bien entendu galvanisé par la montée en flèche des médias sociaux, mais cette manie de tout photographier pourrait bien comporter un effet retour jusqu’ici insoupçonné.

C’est ce que croient des chercheurs américains qui déposent une étude sur le sujet, rapporte Top Santé et Pourcel-chefs-blog.com, et qui prétendent que la mémoire de ces photographes en série serait affectée, au point de ne plus garder autant de véritables souvenirs.

Il semble que le fait de photographier « efface » des détails de notre propre mémoire au profit du cliché, mais au détriment de nos souvenirs dans l’avenir.

« Les gens sortent leur appareil photo machinalement. Alors qu’ils s’appuient sur la technologie pour ne rien oublier, ça a un impact négatif sur la façon dont ils se souviennent de leurs expériences », explique la Dre Linda Henkel, directrice de cette recherche sympathique.

Cette dernière a, pour étayer sa théorie, demandé à des élèves de décrire des œuvres observées la veille au célèbre Musée du Louvre. Vous l’aurez deviné, les sujets qui ont pris des photographies des œuvres au lieu de les observer de leurs propres yeux ont démontré beaucoup plus de difficulté à se souvenir des détails de celles-ci.

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La vitamine D est-elle indispensable pour le cerveau?

Alors que plusieurs débats et polémiques fusent concernant la vitamine D et son réel effet sur le corps humain, mais surtout en ce qui concerne les impacts d’une carence sur l’organisme, une nouvelle étude américaine affirme cette fois qu’une telle condition peut s’avérer dangereuse pour la santé cérébrale.

Ainsi, selon une équipe de chercheurs basée à l’Université du Kentucky, des carences en vitamine D pourraient paver la voie aux maladies dégénératives et à la démence, en provoquant certains dommages au cerveau.

Top Santé, qui rapporte ces plus récentes conclusions, rappelle une étude précédente sur le sujet, qui vantait les mérites d’une supplémentation en vitamine D pour éviter de tels dégâts. Or, la promotion des suppléments de vitamine D est précisément au cœur du débat opposant les observateurs et spécialistes du domaine de la santé.

Les chercheurs américains en tête de cette récente étude, par ailleurs étayée par de multiples essais sur des souris, ne vantent pas les mérites des compléments alimentaires, mais prônent plutôt des apports de vitamine D par une alimentation équilibrée, tout simplement.

Ils confirment cependant qu’un manque de cette vitamine peut effectivement mener à une hausse des risques de développer la maladie d’Alzheimer, ce qui ne sera pas pour rassurer les plus craintifs, qui risquent de bondir vers une boîte… de suppléments.

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Les hommes et les femmes possèdent des cerveaux complémentaires

Une nouvelle étude proposée par des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie explique les différences notables et observables au niveau des cerveaux des hommes et des femmes, qui ne sont visiblement pas « branchés » de la même façon.

Alors que ce genre d’étude a généralement pour effet d’alimenter la guerre des sexes et de stimuler les railleries entre partenaires et membres des sexes opposés, celle-ci affirme que malgré leurs différences, les cerveaux masculins et féminins sont absolument complémentaires.

Il est donc intéressant de lire les conclusions de Ragini Verma, qui mène la recherche, expliquant que les hommes seraient véritablement moins doués pour effectuer plusieurs tâches simultanément, au contraire de la gent féminine. Les hommes seraient toutefois efficaces lorsqu’il s’agit d’effectuer une action directe, par exemple lors de la pratique de sports.

Après avoir observé des centaines de cerveaux masculins et féminins, Verma et son équipe concluent que les connexions cérébrales ne travaillent pas de la même façon en fonction du sexe de l’individu.

« Ces cartes de la connectivité cérébrale montrent des différences frappantes et aussi complémentaires dans l’architecture du cerveau humain. Elles aident à fournir une base neuronale potentielle expliquant pourquoi les hommes excellent dans certaines tâches et les femmes dans d’autres », écrivent-ils.

Des différences qui prennent tout leur sens lorsqu’on constate que ces deux « types de cerveaux » sont parfaitement complémentaires, et donc destinés à travailler en équipe!

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Les enfants adoptés peuvent souffrir de l’interruption du lien mère-enfant

Une nouvelle étude a utilisé l’imagerie du cerveau par résonnance magnétique chez 67 jeunes de 4 à 17 ans, lesquels étaient orphelins ou adoptés, pour mesurer les conséquences de l’interruption du lien maternel.

Lorsque ce cordon invisible est coupé chez l’enfant, il appert que le développement de l’amygdale, partie du cerveau responsable des émotions, du plaisir et de la peur, se trouve altéré.

Cela engendre une « convivialité aveugle », qui fait en sorte que les enfants peuvent être tentés de rechercher ce lien maternel sans la réticence habituelle qu’un enfant ressent envers un étranger. 

Une photo de leur mère adoptive était présentée aux enfants participants, puis une photo d’une femme inconnue. Les tuteurs devaient répondre à un questionnaire relativement à la curiosité et l’exploration de l’enfant, ainsi qu’à sa capacité à faire confiance.

« Même si les enfants ont développé un attachement envers leurs parents adoptifs, la période de privation du lien mère-enfant dans la petite enfance avait déjà modifié la structure du cerveau.  Et les comportements conséquents peuvent persister plus tard », a expliqué Aviva Olsavsky, psychiatre au Semel Institute for Neuroscience and Human Behavior.

Le détail de la recherche a été publié dans la revue Biological Psychiatry.

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Une équipe de chercheurs trace un lien entre l’Alzheimer et le diabète de type II

Le Daily Mail (UK) rapporte d’étonnantes affirmations de la part d’une équipe de chercheurs américains basée à l’Université d’Albany, dans l’État de New York.

Ces spécialistes tracent un lien entre deux des maladies les plus terribles de notre époque, soit la maladie d’Alzheimer et le diabète de type II. Pour l’équipe représentée par un certain Ewan McNay, il existe plusieurs parallèles qui semblent indiquer que « l’Alzheimer et le diabète de type II sont en fait la même maladie ».

Il semble que si on analyse les symptômes de l’Alzheimer, dont les fameuses plaques amyloïdes dont on parle de plus en plus récemment, on pourrait considérer la maladie comme l’un des stages avancés, voire finaux, du diabète de type II.

Un excès d’insuline découlant de cette dernière pourrait provoquer d’importants changements au cerveau, et ainsi empêcher d’importantes fonctions chimiques de jouer leur rôle.

Même si cette théorie peut surprendre et nécessite davantage de recherches, plusieurs spécialistes avaient déjà soupçonné un risque accru de développement de l’Alzheimer chez les personnes atteintes de diabète de type II, corroborant ainsi les conclusions de l’équipe américaine.