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Des chercheurs québécois démontrent l’importance de l’asparagine pour le cerveau

Des chercheurs québécois proposent les conclusions d’une recherche qui contredit plusieurs spécialistes et qui démontre l’importance du rôle de l’asparagine sur le cerveau humain, rapporte MedicalNewsToday

C’est que l’asparagine, que l’on retrouve dans l’alimentation au sein des œufs, des viandes et des produits laitiers, n’était pas suggérée par les experts jusqu’à maintenant. Ces derniers affirment plutôt que le corps en produit de lui-même, ce qui ne rend pas nécessaire la consommation d’œuf ou de viande, ou encore de suppléments, pour en assurer les apports.

Mais pour les chercheurs de l’Université de Montréal et de Sainte-Justine, cela n’est vrai que dans le cas des cellules du corps, mais beaucoup moins lorsqu’il est question du cerveau et de son développement.

Ainsi, l’équipe de spécialistes du Québec croit que le rôle de l’asparagine pourrait mener à un traitement de certaines maladies cérébrales et du développement.

« … l’asparagine n’est pas bien transportée au cerveau via la barrière sang-cerveau. Nous ne sommes pas sur le point de trouver des remèdes miracles, mais au moins, nous savons où regarder », lance le Dr Jacques Michaud, directeur de cette recherche.

Il s’agit d’une étude qui pourrait changer la donne dans la compréhension du cerveau, de son développement et de ses besoins.

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Ce que votre cerveau ne vous dit pas

Une nouvelle étude démystifie l’incroyable capacité du cerveau à « cacher » certaines informations pour ne filtrer que ce qui est nécessaire, rapporte Top Santé. Mais que vous cache donc votre organe le plus important?

Des ombres et des silhouettes, notamment, ainsi que des informations qu’il juge non pertinentes à la compréhension d’un tout ou d’une situation, selon ce que l’on comprend des informations présentées dans l’étude.

« Si le cerveau a choisi de priver le sujet de certaines informations, ce n’est pas une perte de ressources, bien au contraire. Comme le cerveau traite énormément d’informations, il a évolué et a appris à analyser les plus importantes. »

« Il ne renvoie que les messages essentiels à une prise de conscience de l’environnement visuel dans l’intérêt de notre survie, probablement. Cela nous permet de ne pas nous noyer sous une masse floue d’informations. »

« Par exemple, il serait difficile d’imaginer être capable de traverser la rue sans risque en percevant toutes les ombres chinoises existantes… », explique l’équipe de chercheurs en tête de l’étude, par ailleurs basée en Arizona, aux États-Unis.

Si certains doutent maintenant la loyauté de leur cerveau, les autres seront plus en mesure de comprendre à quel point l’organe cérébral est une machine sophistiquée, alors que l’étude démontre sa capacité à prendre de véritables décisions.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le magazine Psychological Science.

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La taille d’une partie du cerveau reliée au niveau d’anxiété des enfants

Selon les chercheurs de la Stanford University School of Medicine, en mesurant la dimension de l’amygdale et l’ampleur de sa connectivité avec les autres parties du cerveau, on peut déterminer le niveau d’anxiété vécu par l’enfant dans son quotidien.

Vinod Menon mentionne cependant qu’une amygdale plus développée ne veut pas nécessairement dire que l’enfant passera obligatoirement par la dépression ou des troubles sévères d’anxiété plus tard. « Il s’agit d’un pas important dans l’identification des jeunes enfants qui sont à risque. »

En tout, 76 participants âgés de 7 à 9 ans ont été examinés. Menon et l’équipe de chercheurs ont été stupéfiés de voir la corrélation, très probante, entre le niveau de stress de l’enfant et le surdéveloppement de l’amygdale.

Les chercheurs ont identifié quatre systèmes néocorticaux fonctionnels touchés par l’amygdale. La perception, l’attention et la vigilance, la récompense et la motivation, puis le stimulus émotionnel et la gestion de celui-ci.

Comprendre l’influence de l’anxiété chez l’enfant en rapport avec des troubles anxieux plus sévères à l’âge adulte représente un bel espoir de traitement préventif, rapporte MedicalXpress.

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Nouveau traitement prometteur mais controversé contre les troubles alimentaires

Des chercheurs de l’University Health Network de Toronto publient les résultats d’une recherche clinique et affirment détenir la clé d’une nouvelle méthode de traitement de certains troubles alimentaires comme la boulimie ou l’anorexie.

Il s’agit d’un traitement expérimental, prometteur mais controversé, qui utilise un système de stimulation magnétique au cerveau. Bien que l’on affirme que le traitement est « non invasif », toute stimulation cérébrale externe soulève bien sûr son lot de questions.

Toutefois, rapporte The National Library of Medicine, l’équipe torontoise menée par le Dr Jonathan Downar croit fermement que la méthode peut aider les patients aux prises avec de sérieux troubles alimentaires comme l’anorexie ou la boulimie, des problèmes qui demeurent extrêmement difficiles à soigner.

« Les résultats démontrent qu’entre 50 et 60 % du temps, vous voyez une réduction de 50 % des comportements compulsifs. Et ceci, chez des patients qui ont pourtant déjà essayé tous les autres traitements pour mettre un terme à leur trouble alimentaire, sans succès. Alors, ce dont nous parlons est absolument sans précédent », explique Downar, convaincant.

Downar et son équipe présentaient les conclusions de leur recherche à la rencontre annuelle de la Society for Neuroscience, à San Diego.

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Les adolescents prennent plus de risques lorsqu’ils sont fatigués

Selon une nouvelle étude, rapportée par MedicalXpress, les adolescents qui ne dorment pas suffisamment et qui présentent des signes de fatigue sont plus enclins à prendre des risques ou à faire des bêtises.

On note à cet effet : avoir des relations sexuelles non protégées, consommer alcool et drogues, et conduire malgré la fatigue ou avec les facultés affaiblies.

C’est Kalina Rossa, chercheuse spécialisée au niveau du sommeil au Centre de recherche sur les accidents et la sécurité routière du Queensland (CARRS-Q), qui a mesuré les effets de la privation de sommeil.

Selon elle, c’est la partie décisionnelle du cerveau qui est la plus affectée, surtout chez les jeunes, puisqu’avant l’âge de 25 ans, elle n’est pas pleinement mature.

« Ce que cela signifie, c’est que la partie du cerveau qui est responsable de la résolution de problème et du contrôle des impulsions change avec le manque de sommeil. Comme cette partie est encore en développement, les jeunes qui sont fatigués prennent de mauvaises décisions. »

Attention, cela ne veut pas pour autant dire qu’il faut mettre toute la faute sur la fatigue!

 
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Le jogging et le vélo seraient aussi bénéfiques pour le cerveau

S’offrir un jogging ou une randonnée de vélo de façon régulière n’aurait pas que des impacts positifs sur votre santé physique, semble-t-il, alors que The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude sur le sujet qui vante les bienfaits des exercices aérobiques sur le cerveau.

Des activités comme la course et la bicyclette, donc, pourraient améliorer les capacités de la mémoire, en plus d’optimiser les performances du cerveau en général, selon les chercheurs texans en tête de la recherche.

Du coup, on peut prétendre que de tels impacts minimiseraient les risques de démence ou d’Alzheimer en vieillissant, croient également les experts.

On explique le phénomène notamment par une meilleure circulation sanguine au niveau des vaisseaux du cerveau, un effet particulièrement bienfaiteur chez les gens qui franchissent le cap de la cinquantaine.

L’équipe de l’Université du Texas croit donc qu’il est fort avantageux d’allier exercices aérobiques aux exercices mentaux (mots croisés, jeux vidéo ou interactifs, etc.), afin d’optimiser ses chances de vieillir en santé et de réduire les risques de maladies dégénératives.

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Mort soudaine du nourrisson : problématique sous-jacente

Ces nouvelles informations proviennent d’une étude effectuée par une équipe du Boston Children’s Hospital. C’est Hannah Kinney, une neuropathologiste de l’établissement, qui effectue des recherches depuis 2 décennies.

Kinney et ses collègues ont réexaminé leurs données en étudiant l’autopsie de 71 nourrissons décédés de façon soudaine et inattendue, entre 1997 et 2008. L’équipe a eu à sa disposition des échantillons du tronc cérébral pour effectuer la recherche.

Les circonstances du décès et l’environnement ont été considérés. Les évaluations ont été séparées en trois. 15 décès n’étaient pas reliés à l’asphyxie, 35 étaient possiblement reliés, mais sans certitude, et 9 décès découlaient de causes non déterminées.

Les spécialistes analysaient les possibles anomalies chimiques du cerveau et ont été récompensés de leurs efforts. De nombreuses anomalies ont été détectées, entre autres au niveau de la sérotonine et ses récepteurs, ainsi qu’au niveau des récepteurs GABA et 14-3-3 (une protéine qui régule la sérotonine)

« Même les bébés décédés dans des conditions où la position du sommeil était en cause présentaient des anomalies du tronc cérébral qui les fragilisaient si la moindre possibilité d’asphyxie était présente », a dévoilé Kinney.

Désormais, selon Science World Report, les recherches sont axées sur la possibilité de traiter les nouveau-nés qui présentent ces spécificités.

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Les effets de la musique perdureraient tout au long d’une vie

Le simple fait d’avoir suivi des leçons de musique et d’avoir expérimenté avec un instrument lors de l’enfance ou de l’adolescence pourrait bien laisser des traces positives tout au long d’une vie, selon des spécialistes.

The National Library of Medicine rapporte une étude de la Northwestern University sur le sujet, qui trace un lien direct entre le temps passé à apprendre et faire de la musique à un jeune âge et la réponse cérébrale lors du vieillissement.

C’est après avoir analysé un groupe de volontaires de 44 adultes que les chercheurs en question ont pu vérifier le phénomène. Ils affirment être maintenant convaincus : plus une personne a passé de temps à jouer d’un instrument dans sa vie, plus son activité et sa réponse cérébrale sont importantes une fois passé le cap des 55 ans.

Ces conclusions se basent sur des tests effectués au cerveau des participants, qui analysaient leur vitesse et capacité de réponse à un discours. Les personnes ayant fait de la musique pendant plus de quatre ans ont obtenu les meilleurs résultats.

Rassurez-vous, donc, si vous payez pour d’onéreuses leçons de piano ou de violon, par exemple, celles-ci ne seront pas vaines… à tout le moins à très long terme! 

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L’impact de la nouvelle génération de jeux vidéo sur la santé

Les jeux vidéo progressent à un rythme impressionnant en termes de qualité, de réalisme et de potentiel d’immersion, déchaînant les passions chez les fans, mais aussi les inquiétudes chez certains spécialistes de la santé.

C’est le cas d’une équipe de chercheurs australiens, rapporte le Daily Mail (UK), qui publient leurs conclusions en la matière, à savoir les impacts de ces jeux hyper réalistes et immersifs sur la santé et les facultés de ceux qui y jouent.

On n’a qu’à penser au nouveau Grand Theft Auto V et surtout à son révolutionnaire mode en ligne, qui permet de vivre dans un véritable monde parallèle, truffé de violence et d’humour noir.

En analysant les comportements et réactions de joueurs intensifs, en utilisant par exemple des tests psychologiques, des tests de résistance à la douleur et des mises en situation, les chercheurs australiens constatent une désensibilisation marquée chez ceux-ci.

Les sujets de l’étude ont presque tous démontré une perte d’intérêt envers leur propre corps, et donc des symptômes d’une maladie probable ou encore de la fatigue ou d’une perte de moral. De plus, on remarque une baisse considérable d’empathie et de la qualité de leurs relations avec les autres, un peu comme si les jeux vidéo immersifs et la vie par procuration qu’ils suggèrent s’avéraient « suffisante ».

Ces révélations peuvent s’avérer inquiétantes pour l’avenir, mais un joueur averti en vaut deux, et plusieurs gamers sauront sans doute faire la part des choses lorsqu’ils auront conscience du phénomène, notamment grâce à ce genre de recherches.

Plusieurs études précédentes ont par ailleurs démontré des bienfaits évidents découlant de l’utilisation des jeux vidéo, notamment sur le cerveau et les fonctions cognitives.

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La danse au secours de patients atteints du Parkinson

Le Globe and Mail rapporte une touchante et prometteuse initiative de la part d’un groupe de chercheurs canadiens et de la National Ballet School de Toronto, qui vise à aider des groupes de patients atteints de la maladie de Parkinson à améliorer leur sort grâce à la danse.

Alors que le projet est déjà un succès sur le terrain, le programme officiel n’en est qu’à sa moitié, et tentera de définir pourquoi la danse semble avoir un impact si positif sur ces patients, qui affichent des améliorations notables de leur état de santé physique et psychologique au fil de ces classes de danse.

Des tests poussés seront effectués sur ces groupes de patients afin de comprendre les réponses cérébrales et analyser les raisons qui font que la danse semble outrepasser certaines barrières, pourtant créées par la maladie de Parkinson.

Mais au-delà du langage scientifique et des recherches, l’initiative a déjà changé la vie de ceux et celles qui participent à celle-ci, comme le quotidien le constate.