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Découverte du processus d’auto-nettoyage du cerveau durant le sommeil

On apprend via plusieurs sources, dont Top Santé, que non seulement le cerveau serait capable d’effectuer un véritable « nettoyage » de son environnement, mais qu’il le ferait par ailleurs à notre insu, lorsqu’on dort à poings fermés.

C’est ce qui ressort des travaux de recherche d’une équipe de spécialistes de l’Université de Rochester, qui publient maintenant leurs observations et leurs conclusions.

« Alors que notre corps est endormi, le cerveau se met à accélérer son activité. Les cellules cérébrales rétrécissent pour aider à cette opération de nettoyage des toxines résultant de l’activité des neurones pendant les périodes de veille. En fait, ce travail de nettoyage nécessite une telle dépense d’énergie de la part du cerveau qu’il ne pourrait pas se dérouler pendant que nous sommes éveillés. Nous n’aurions alors plus assez d’énergie pour articuler nos pensées correctement », explique le Dr Maiken Medergaard, qui dirige ces stupéfiants travaux d’étude.

Le Dr Medergaard croit par ailleurs que cette découverte pourrait permettre de mieux comprendre certaines clés d’un traitement contre l’Alzheimer, par exemple, dont l’une des raisons pourrait justement être une « intoxication » des cellules cérébrales.

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Des biscuits Oreo qui créent une dépendance similaire à la cocaïne

Les Oreo peuvent-ils créer une dépendance? Mieux encore, les Oreo peuvent-ils créer une dépendance similaire à celle produite par la cocaïne?

Voilà une question qui peut sembler farfelue, mais que s’est véritablement posé un chercheur du Connecticut, aux États-Unis, selon le Daily Mail (UK).

Joseph Schroeder, un neuroscientifique du College Connecticut, aurait en effet démontré une forte dépendance liée au fameux biscuit Oreo, en testant sa théorie sur des rongeurs.

Les rats ont démontré des symptômes de dépendance similaires à ceux observables chez les cocaïnomanes, et ont choisi systématiquement le biscuit aux autres options proposées.

Mais il y a plus encore… Il semble que les rongeurs aussi préfèrent manger la crème de l’Oreo en premier! Des révélations qui font sourire, cela va de soi.

Même si l’étude semble étrange et inutile, elle démontre pourtant une fois de plus l’impact des produits hautement sucrés et très gras sur notre corps et notre cerveau, particulièrement sur la zone de récompense de ce dernier.

Au final, la zone de récompense réagit un peu de la même façon lorsqu’on mange ce genre d’aliment, à savoir ici un Oreo, que lorsqu’on consomme une drogue comme la cocaïne. Ceci explique d’ailleurs partiellement combien il est difficile de stopper la consommation de ces produits, au profit d’aliments plus sains pour la santé. 

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Les ondes électromagnétiques ne seraient pas aussi nocives que prévu

Alors qu’une grande proportion de la population s’inquiète de l’impact négatif des ondes électromagnétiques sur la santé à court et long terme, un groupe d’experts français semble vouloir calmer le jeu.

Top Santé rapporte en effet les conclusions de spécialistes de l’Anses (agence nationale de sécurité sanitaire), qui croient que rien ne sert de céder à la panique ou à la paranoïa en ce qui concerne les ondes qui nous entourent.

Ce groupe de 16 experts croit plutôt que les ondes électromagnétiques sont « bénignes », et que les données analysées « … ne mettent pas en évidence des effets sanitaires avérés ». Le rapport conclut donc qu’il n’est « … pas fondé de proposer de nouvelles valeurs limites d’exposition pour la population générale ».

Bien sûr, plusieurs douteront de la véracité de ces propos et de ces conclusions, et ils n’auraient pas tort en ce qui concerne les ondes propulsées par les téléphones cellulaires et intelligents. Ces derniers seraient, comme la rumeur le veut, potentiellement nocifs pour le cerveau, notamment.

« Certaines publications évoquent […] une possible augmentation du risque de tumeur cérébrale, sur le long terme, pour les utilisateurs intensifs de téléphones portables », mentionne-t-on dans le rapport.

Les conclusions proposées dans ce nouveau rapport sur les ondes électromagnétiques sont celles obtenues après quatre ans d’analyse et de collecte de données, toujours selon l’Anses.

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L’absence de routine de sommeil entrave le développement du cerveau chez les enfants

On croit à tort que la routine du sommeil n’est pas si importante. Or, cette nouvelle recherche risque de peser dans la balance, selon la professeure Yvonne Kelly, de l’University College London (UCL) Epidemiology & Puclic Health.

« L’irrégularité de l’heure du coucher mène à un état du corps et de l’esprit similaire au décalage horaire », rapporte Kelly. « Cela compromet le développement ainsi que le fonctionnement quotidien de l’enfant. »

Ce sont 10 000 enfants du Royaume-Uni qui se sont soumis au suivi à 3 ans, 5 ans, puis 7 ans. Des données relatives à l’heure du coucher et au nombre d’heures de sommeil ont été compilées.

En l’absence de routine du sommeil régulière, les comportements d’hyperactivité et de déficit d’attention étaient fréquents. En intégrant une routine stricte, les parents et enseignants notaient rapidement des changements positifs.

Le rythme circadien régule les cycles d’éveil et de sommeil, et donc de vigilance. Conséquemment, lorsque les enfants sont dérangés dans leur cycle de sommeil, leur vigilance est déséquilibrée.

Selon l’article publié sur Scienceworldreport, la bonne nouvelle, c’est que lorsque l’on agit tôt, le phénomène menant vers les troubles comportementaux est « réversible ».

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Infection néonatale de l’E. coli associée au TDAH

Jonathan Godbout, professeur en neuroscience à l’Ohio State University, a mené de front cette recherche avec ses collègues. Il a confié à Medical News Today : « Il est important de comprendre que lorsque le cerveau du nouveau-né est infecté, la fonction des cellules qui s’occupent du développement se modifie pour combattre l’infection ».

En d’autres termes, les cellules de développement abandonnent le cerveau. Cela crée une carence en fer, qui plutôt que d’être distribué également dans les tissus pour aider à former la matière grise, se retrouve stocké à l’intérieur d’une infime partie des cellules.

Cette carence cause une brèche dans la communication des cellules du cerveau avec le système nerveux central. Plus tard, les conséquences se transforment en troubles comportementaux, notamment le trouble de déficit d’attention avec hyperactivité, ainsi que des troubles de motricité.

Godbout a informé Medical News today des statistiques d’infection par l’E. coli chez les nouveau-nés. « L’E. coli est la cause principale d’infection chez le nourrisson. On estime le nombre d’enfants affectés entre 1 à 8 sur 1000 naissances. »

De plus, cette infection est plus fréquente chez les prématurés ou bébés qui ont un poids sous la normale, le nombre passant de 160 à 300 sur 1000 naissances.

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Le cerveau d’Einstein partiellement démystifié

Une tentative de la part de deux chercheurs qui cherchaient à mieux comprendre le cerveau et l’intelligence ahurissante d’Albert Einstein aurait porté certains fruits, selon ce que rapporte Top Santé.

Weiwei Men, un chercheur chinois, et Dean Falk, de l’Université de la Floride, ont uni leurs forces pour tenter de percer le mystère. Ils révèlent leurs conclusions dans la plus récente édition du magazine Brain.

Les deux chercheurs prétendent qu’une partie du secret d’Albert Einstein réside dans le système qui relie les deux hémisphères du cerveau l’un à l’autre, particulièrement efficace dans le cas du père de la théorie de la relativité.

En parvenant à créer des photos haute résolution du cerveau d’Einstein et en les comparant à celles de sujets jugés pertinents à l’étude, par exemple des jeunes adultes de 26 ans (âge prolifique d’Albert Einstein), Men et Falk affirment que les connexions qui relient les deux hémisphères du cerveau sont plus sophistiquées ou nombreuses chez Albert Einstein.

« Cette étude, plus que toutes celles qui ont été réalisées jusqu’à aujourd’hui, est la seule qui a véritablement exploré l’intérieur du cerveau d’Einstein », s’enorgueillit Dean Falk, avec raison.

Cela dit, malgré la volonté féroce des scientifiques à vouloir démontrer ce qui a fait d’Einstein un personnage historique éternel, parions que nul ne pourra jamais réduire la personnalité et le charisme unique d’Einstein, ainsi que tout ce qui faisait de lui ce qu’il a été, à une équation mathématique.

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Le cerveau d’un psychopathe démystifié

Des chercheurs ont tenté de définir pourquoi une personne qualifiée comme psychopathe ne ressent pas d’empathie comme le commun de ses homologues humains.

The National Library of Medicine rapporte les résultats de cette recherche, qui s’est effectuée en milieu carcéral auprès de 121 détenus volontaires.

Se déroulant dans une prison à sécurité modérée des États-Unis, les analyses ont été effectuées sous forme de tests par résonnance magnétique, qui cherchaient à définir le type de réponse observable au cerveau des sujets, lorsque ceux-ci étaient placés devant diverses situations imaginaires.

En plaçant des photographies dures et décrivant de la douleur humaine physique devant les sujets, les chercheurs pouvaient ensuite définir quelles zones du cerveau s’activaient, selon les circonstances.

Il est troublant de constater, dans le rapport publié dans le Frontiers in Human Neuroscience, que les détenus diagnostiqués comme psychopathes ne réagissent pas de la même façon qu’un humain considéré comme « normal », mais plutôt de la même façon que lorsqu’ils sont placés en situation positive ou de récompense!

Ces résultats démontrent non seulement la véracité des théories précédemment avancées, mais pourraient également permettre la création de traitements pour aider ces bien tristes patients.

On estime à 1 % le nombre de psychopathes présents dans la population, un chiffre qui grimperait à 23 % en milieu carcéral.

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L’huile de poisson pourrait contrer les effets de l’alcool sur le cerveau

MedicalNewsToday rapporte une nouvelle étude qui se veut encourageante et qui prétend démontrer que la consommation d’huile de poisson peut contrer les effets dévastateurs de l’alcool sur le cerveau.

Une grande quantité d’alcool consommée régulièrement peut mener à des torts cérébraux irréparables et même à de la démence, qui est directement associée à ce type de problème de consommation d’alcool.

Selon les chercheurs de l’European Society for Biomedical Research on Alcoholism en Pologne, les oméga-3 retrouvés dans l’huile de poisson pourraient bien venir en aide aux gens qui se retrouvent dans cette grave situation.

Publiée et déposée dans le cadre du 14e congrès de l’ESBRA, l’étude démontre un effet positif vérifiable sur des rats.

Un groupe test de rongeurs s’est vu imposer un régime à forte teneur en alcool, alors qu’un deuxième a subi le même sort, mais doublé d’une consommation à forte teneur en oméga-3.

Les résultats sont aussi éloquents qu’étonnants, puisqu’on constate 95 % moins de dommages au cerveau des rats du deuxième groupe!

Les chercheurs, malgré leur enthousiasme devant cette belle découverte, ont tôt fait de mettre en garde les gens qui seraient tentés de continuer d’abuser de l’alcool, mais en avalant simplement des gélules d’huile de poisson.

Cependant, cette étude pourrait mener à plusieurs percées médicales intéressantes dans le futur.

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Que faire si bébé combat la sieste d’après-midi?

Comme l’indique le site Parenting, ce sommeil réparateur est le remède tout indiqué pour l’irritabilité des bébés. En fait, entre 6 et 9 mois, les nourrissons devraient faire deux siestes ou dormir environ 3 heures durant la journée.

Voici donc quelques trucs pour vous aider :

Soyez attentif aux signaux de fatigue – Tenez un journal quotidien, jusqu’à ce que vous soyez en mesure de déterminer la ou les heures auxquelles votre enfant est fatigué. Remarquez les changements abrupts de comportement, s’il passe d’une phase énergique à inactive, s’il baille ou s’il frotte ses yeux. Dès lors, mettez bébé au lit.

Faites une sieste avec lui – Déterminez deux moments dans la journée, en matinée et en après-midi, où vous vous sentez fatigué. Profitez-en pour coordonner ces moments avec le biberon ou l’allaitement et sombrez vous aussi dans les bras de Morphée. Votre état encouragera votre enfant à se laisser aller également.

Portez-le jusqu’à ce qu’il s’endorme – Non, ce n’est pas une mauvaise habitude. Au contraire, si vous bercez votre enfant ou vous promenez avec lui jusqu’à ce qu’il ferme les yeux, il appréciera ce moment de détente. Ensuite, faites la transition vers le lit ou la balançoire pour bébé.

Faites dormir bébé pendant que vous faites votre jogging – Plusieurs nourrissons s’endorment plus facilement lorsqu’ils sont en mouvement. Pourquoi ne pas en profiter pour faire votre exercice?

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Le buzz du menteur

Avez-vous déjà fait la connaissance d’un menteur compulsif? Peut-être avez-vous en ce moment dans votre entourage un personnage du genre, qui semble apprécier le moindre petit mensonge, tel un passe-temps tordu…

Selon une étude rapportée par le Daily Mail (UK), ce type de personnalité pourrait bien trouver un réel plaisir physique dans le mensonge, un peu comme les personnes dépendantes à différentes substances.

On parle donc d’un véritable « buzz du menteur » dans cette étude publiée par des chercheurs de l’Université de Washington dans le Journal of Personality and Social Psychology.

Ainsi, chaque petit mensonge serait accompagné d’une « récompense » au niveau cérébral, ce qui pousserait l’individu à recommencer… encore et encore!

Cependant, chez la plupart des cas recensés et démontrés, ce plaisir coupable ne serait efficace que si le mensonge n’a pas de réelles conséquences et qu’il ne fait pas de véritable tort à la personne qui le reçoit.

Tricher à un examen ou à un jeu, par exemple, a semblé éveiller la plus grande émotion positive chez ces menteurs, remarquent les chercheurs après avoir analysé plus de 1000 sujets.