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Les apports en sel seraient influencés par le cerveau, non par la quantité consommée

Une étude publiée dans l’American Journal of Hypertension, et rapportée par Medical News Today, avance que les apports et taux de sel observables chez l’humain sont gérés par le cerveau, invalidant du même coup les récentes publications de la communauté scientifique en matière de consommation de sel.

On le sait, le sel a mauvaise presse depuis un moment, et les campagnes de sensibilisation afin de convaincre la population de réduire les apports alimentaires en sel se multiplient.

Or, selon l’équipe de chercheurs de la UC-Davis, menée par le David McCarron, le cerveau de chaque individu gère les apports en sel de façon différente, ce qui empêche véritablement de tracer une moyenne d’apports recommandés.

On estime à 2200 milligrammes la différence notable, en moyenne, du taux de sel observable chez un individu, des chiffres qui seraient les mêmes depuis 50 ans.

Donc, selon McCarron, les preuves scientifiques sont encore trop minces pour garantir un réel impact négatif sur la santé découlant d’une consommation de sel jugée « trop grande ». Il croit que la façon d’aborder le problème et les efforts de sensibilisation doit être revue.

Si le chercheur et son équipe disent vrai, il s’agirait d’un spectaculaire revirement de situation!

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Un petit cerveau pour mieux comprendre les gros

Top Santé rapporte la création d’un petit cerveau en laboratoire, qui pourrait bien s’avérer très utile dans la compréhension de celui des humains.

Créé artificiellement grâce aux cellules souches, ce « mini-cerveau » rend les spécialistes optimistes d’en savoir plus sur le complexe fonctionnement de l’organe chez l’homme.

Initialement publiée dans le réputé magazine scientifique Nature, la nouvelle parle du travail accompli par Jürgen Knoblich et son équipe de l’Académie des sciences d’Autriche.

L’équipe de Knoblich a créé un véritable système de culture de cellules qui se sont ensuite transformées en cerveau miniature, permettant une éventuelle meilleure compréhension des maladies neurologiques et dégénératives.

« Ce système de culture en 3D développe une variété de régions cérébrales capables d’influer les unes sur les autres. Le but n’était pas de recréer un cerveau entier, mais plutôt d’observer les différentes étapes de la formation du cortex cérébral et les différents troubles du développement qui peuvent survenir », explique un expert.

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Des chercheurs parviennent à connecter deux cerveaux humains

Grande première : des chercheurs américains ont réussi l’impensable, soit de « connecter » deux cerveaux humains à l’aide d’une interface.

L’équipe, basée à l’Université de Washington et menée par Rajesh Rao, confirme être parvenue à envoyer un signal d’un cerveau humain à un autre, rapporte Santé Log.

La réussite est d’autant plus impressionnante qu’elle n’implique aucune technique invasive au cerveau, mais utilise plutôt les possibilités d’Internet et de l’informatique.

Ainsi, Rao est parvenu à « commander » son collègue, Andrea Stocco, qui se trouvait à l’autre extrémité du campus. Recevant l’ordre envoyé par Rao, Stocco déplace alors sa main sur un clavier d’ordinateur, sans l’avoir demandé!

On avait récemment confirmé la possibilité de transmettre des informations du genre d’un cerveau à l’autre sur des rongeurs, mais à l’aide d’électrodes implantées directement dans une zone cérébrale.

Cette fois, un simple dispositif placé sur la tête aurait permis cette première, un succès aussi intriguant qu’inquiétant, de l’aveu même des deux pionniers.

D’autres tests et recherches seront complétés afin de voir quelles sont les limites de cette technologie absolument renversante.

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Le processus de dépendance à l’alcool s’éclaircit

Encore un pas est franchi dans la compréhension des dépendances et du développement des habitudes, selon Santé Log, qui rapporte une recherche exhaustive sur le sujet.

« L’humain est une créature d’habitudes », lance-t-on bien souvent, avec raison. Oui, mais pourquoi, et surtout, comment?

Selon cette nouvelle étude en provenance du Scripps Research Institute, et initialement publiée dans le PNAS, le cerveau démontre diverses réactions en fonction de nos actions, comme la consommation d’alcool justement.

Ainsi, un abus d’alcool chronique pourrait faire passer l’action de boire un verre de la « zone de décision » à la « zone d’habitude », pavant ainsi la voie à une dépendance à proprement parler.

C’est après avoir testé les effets de l’alcool sur le striatum dorsal du cerveau, impliqué dans le développement des habitudes, que les chercheurs ont pu confirmer leur théorie initiale.

Plus les comportements sont fréquents et abusifs, plus la « zone d’habitude » prédomine sur la « zone de décision », et il devient conséquemment de plus en plus difficile de cesser le comportement.

Cette étude, ainsi que les précédentes sur le sujet, permettrait de mieux combattre les troubles de dépendance dans l’avenir.

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Des apports alimentaires en cuivre pourraient contribuer au développement de l’Alzheimer

Santé Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

anté Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Le prof Warwick récidive : vivre seulement avec son cerveau

Le Daily Mail (UK) rapporte les plus récentes recherches du fameux professeur Kevin Warwick, de l’Université de Reading, qui s’entament sur un sujet crucial : pourrait-on survivre uniquement en tant que cerveau, et envoyer ce dernier sur une autre planète?

Si la prémisse de cette recherche semble d’abord farfelue, il ne faut surtout pas tenir M. Warwick pour battu! En effet, il est le créateur de certaines innovations technologiques incroyables, à commencer par cette puce qu’il s’est implantée dans le bras afin de diriger les lumières, le chauffage et plusieurs autres aspects de sa propre maison.  Il est même parvenu à s’implanter un appareil qui agit de concert avec son système nerveux et qui lui a permis de se brancher lui-même au système Internet de l’Université Columbia, basée à New York.

En se basant sur ces prouesses, la réalité technologique et les possibilités que propose le futur, on peut se demander si le professeur est en avance de son temps… et s’il a raison.

Il croit que la pertinence du corps humain, trop faible, touche à sa fin, et qu’il est temps de commencer à penser à créer une meilleure enveloppe. De plus, il croit que nous devons également penser à créer une enveloppe corporelle qui nous permettra de voyager vers d’autres planètes.

Ainsi, seul le cerveau serait véritablement utile à notre « continuation ».

Plusieurs autres spécialistes abondent dans ce sens.

Folie ou pur génie?

e Daily Mail (UK) rapporte les plus récentes recherches du fameux professeur Kevin Warwick, de l’Université de Reading, qui s’entament sur un sujet crucial : pourrait-on survivre uniquement en tant que cerveau, et envoyer ce dernier sur une autre planète?

Si la prémisse de cette recherche semble d’abord farfelue, il ne faut surtout pas tenir M. Warwick pour battu! En effet, il est le créateur de certaines innovations technologiques incroyables, à commencer par cette puce qu’il s’est implantée dans le bras afin de diriger les lumières, le chauffage et plusieurs autres aspects de sa propre maison.  Il est même parvenu à s’implanter un appareil qui agit de concert avec son système nerveux et qui lui a permis de se brancher lui-même au système Internet de l’Université Columbia, basée à New York.

En se basant sur ces prouesses, la réalité technologique et les possibilités que propose le futur, on peut se demander si le professeur est en avance de son temps… et s’il a raison.

Il croit que la pertinence du corps humain, trop faible, touche à sa fin, et qu’il est temps de commencer à penser à créer une meilleure enveloppe. De plus, il croit que nous devons également penser à créer une enveloppe corporelle qui nous permettra de voyager vers d’autres planètes.

Ainsi, seul le cerveau serait véritablement utile à notre « continuation ».

Plusieurs autres spécialistes abondent dans ce sens.

Folie ou pur génie?

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Un traitement du Parkinson pour bientôt?

Des chercheurs britanniques affirment avoir effectué un pas de géant dans la recherche d’un traitement contre la maladie de Parkinson, selon le Telegraph (UK).

Les spécialistes de l’Université BedfordShire ont utilisé les avancées permises par les recherches sur les cellules souches afin d’identifier plusieurs éléments qui contribueraient au développement du Parkinson, et ainsi paver la voie à certains traitements éventuels.

L’équipe de chercheurs, menée par le Dr Bushra Ahmed, a pu analyser le comportement des cellules du cerveau de patients atteints de la terrible maladie. On a ainsi remarqué que les cellules en questions, les neurones, perdent littéralement la vie lorsqu’elles se voient attaquées par la maladie.

En vulgarisant la suite logique de la démarche, le Dr Ahmed explique que le prochain défi est maintenant de tenter de protéger ces cellules, pour ainsi éviter leur mort… et par conséquent, peut-être, le développement de la maladie de Parkinson.

On sent l’équipe britannique très sûre d’en arriver à un traitement, ce qui s’avèrerait l’une des plus importantes découvertes médicales des dernières décennies.

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Des chercheurs communiquent avec un patient dans un état végétatif

Un patient considéré comme végétatif serait parvenu à communiquer avec des chercheurs qui tentaient une expérience visant exactement ce genre de résultats, rapporte le Daily Mail (UK).

L’équipe de chercheurs canadiens, basée à la Western University de London, en Ontario, a voulu démontrer la possibilité de communiquer avec des patients plongés dans un état végétatif grâce à un système par résonnance magnétique.

S’adressant ainsi au patient, lequel demeurait dans cet état depuis les 12 dernières années, et en mesurant les réponses cérébrales de celui-ci face aux questions données, les chercheurs ont démontré la capacité du patient à comprendre son environnement.

Appelé à répondre simplement par « oui » ou par « non » à des questions du type « Êtes-vous dans un hôpital? », le patient en question aurait suggéré qu’il comprenait en effet se trouver dans un tel lieu.

« Cette nouvelle technique mène les communications avec certains patients présumés végétatifs à un autre niveau », lance le chercheur Adrian Owen.

Lorina Naci, leader des recherches, croit quant à elle que cette recherche permet de mieux comprendre les capacités de ces patients et qu’elle démontre que plusieurs demeurent en fait « conscients ».

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L’équipe de chercheurs canadiens, basée à la Western University de London, en Ontario, a voulu démontrer la possibilité de communiquer avec des patients plongés dans un état végétatif grâce à un système par résonnance magnétique.

S’adressant ainsi au patient, lequel demeurait dans cet état depuis les 12 dernières années, et en mesurant les réponses cérébrales de celui-ci face aux questions données, les chercheurs ont démontré la capacité du patient à comprendre son environnement.

Appelé à répondre simplement par « oui » ou par « non » à des questions du type « Êtes-vous dans un hôpital? », le patient en question aurait suggéré qu’il comprenait en effet se trouver dans un tel lieu.

« Cette nouvelle technique mène les communications avec certains patients présumés végétatifs à un autre niveau », lance le chercheur Adrian Owen.

Lorina Naci, leader des recherches, croit quant à elle que cette recherche permet de mieux comprendre les capacités de ces patients et qu’elle démontre que plusieurs demeurent en fait « conscients ».

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Comment le manque de sommeil peut faire grossir

Le manque de sommeil peut provoquer des changements dans l’activité du cerveau, conduisant à manger davantage, selon une étude publiée dans la revue scientifique Nature Communications.

Des études avaient déjà trouvé une corrélation entre la diminution de la durée du sommeil et l’augmentation rapide de l’obésité dans les pays industrialisés, mais les scientifiques étaient jusqu’à présent incapables d’expliquer pourquoi.

En utilisant des appareils IRM (imagerie par résonance magnétique), une équipe de l’Université de Californie a étudié l’activité du cerveau de 23 personnes à deux reprises, après une nuit complète de sommeil et après une nuit pendant laquelle ils n’avaient pas pu fermer l’oeil.

Chez les personnes privées de sommeil, des perturbations ont été observées dans les régions du cortex évaluant la satiété, alors qu’au contraire, les zones associées aux envies irrésistibles étaient fortement stimulées.

« Nous avons fait une autre découverte intéressante, c’est que les aliments les plus caloriques étaient particulièrement recherchés par les personnes privées de sommeil », précise Matthew Walker, l’un des coauteurs de l’étude.

« Toutes ces découvertes peuvent potentiellement expliquer le lien entre le manque de sommeil, le gain de poids et l’obésité », a-t-il ajouté dans une entrevue à l’AFP, avant d’estimer qu’un sommeil suffisant « permettrait de mieux contrôler son poids, par le biais des mécanismes cérébraux régissant des choix alimentaires appropriés ».

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), plus d’un tiers des adultes de plus de 20 ans dans le monde étaient en surpoids et 11 % obèses en 2008. Le nombre de personnes en surpoids a doublé depuis 1980, atteignant 1,4 milliard d’adultes en 2008.

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Notre cerveau est muni d’un GPS

Se distinguant des autres cellules, celles-ci, nouvellement découvertes par une équipe de chercheurs de l’Université Drexel, l’Université de Pennsylvanie, UCLA et l’Université Thomas Jefferson, permettent à notre cerveau de conserver des coordonnées des emplacements visités.

Elles nous aident ainsi dans nos futures navigations. Afin de les trouver, les chercheurs ont étudié les données obtenues par l’implantation d’électrodes sur le cerveau de 14 patients atteints d’épilepsie.

Le but étant d’analyser le lien entre la technique de navigation des patients et leur activité neurologique, ils devaient jouer à un jeu vidéo demandant une navigation d’un point A à un point B tout en amassant des objets sur le parcours.

Les chercheurs ont alors découvert que sans l’activation de ces cellules-grilles, nos neurones GPS, il nous serait plus difficile de naviguer, et nous risquerions de nous perdre beaucoup plus régulièrement.

Un des chercheurs a expliqué : « Chaque cellule-grille répond à de multiples emplacements spatiaux qui sont agencés sous la forme d’une grille. Cette grille triangulaire apparaît ainsi dans le cerveau et joue un rôle fondamental dans la navigation (…) Les cellules-grille sont donc essentielles pour le maintien du sentiment d’emplacement dans un environnement ».