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On ne connaissait pas le sexe de bébé, mais ce ne fut pas la plus grosse surprise après l’accouchement

Je me plais à me dire que mon bébé m’a fait un cadeau en venant au monde par césarienne.

Ma fille était attendue pour le début du mois d’avril et j’avais beaucoup d’espoir que sa naissance me réconcilie avec mon premier accouchement. J’avais pleinement confiance que cette deuxième grossesse aboutirait par un AVAC complété. Aucune raison que ça ne fonctionne pas après tout? Ma première césarienne était due à une grossesse gémellaire. Cette fois-ci, un seul bébé et bien placé à part de cela.

Tout au long de la grossesse, j’ai eu un (énorme) souci de prendre soin de moi et de mettre toutes les chances de mon côté pour réussir mon AVAC. J’allais régulièrement en ostéopathie pour prendre soin de ma bedaine et soulager les inconforts engendrés par celle-ci. J’ai consulté une chiropraticienne pour aligner mon bassin et favoriser ainsi un accouchement par voie vaginale plus facile. J’ai vu une physio périnéale qui m’a donné des exercices pour préparer le plancher pelvien. J’ai eu des traitements d’acupuncture de façon régulière en fin de grossesse pour aider le travail à commencer. Temps, énergie et argent ont été investis sans compter. Je voulais mettre au monde mon bébé comme les femmes mettent au monde leur bébé depuis la nuit des temps. 

Les semaines ont passé. À 40 semaines, mon corps n’avait toujours pas compris qu’il était temps que bébé sorte. J’avais l’impression que mon corps était défectueux. J’étais en colère. Tout au long de la grossesse j’avais une pleine confiance de réussir mon AVAC, mais avec chaque jour qui passait après ma date prévue d’accouchement, mes espoirs s’effondraient.

À 41,2 semaines, je me suis rendue à l’hôpital accompagnée de mon mari et de mon immense bedaine. C’était le matin de mon déclenchement. Déclenchement qui n’a rien donné, mon col était toujours intact au bout de plusieurs heures. J’abdique. J’abandonne. Je suis vidée. Les larmes coulent sur mes joues, je me sens impuissante et résignée. J’accepte la césarienne qu’on me propose de programmer pour le lendemain matin. Nous retournons, papa et moi, à la maison pour une courte nuit.

À 8h58, à 41,3 semaines de grossesse, mon bébé naît. C’est un bébé au sexe surprise et nous sommes ravis d’accueillir notre fille! Mais la vraie surprise, c’est son poids. Un bébé de 10,5 lb. Un énorme bébé! 

Ma fille était estimée à terme à 7,5lbs – 8lbs. Au poids qu’elle pesait, j’ai vite compris qu’elle m’a fait un cadeau en naissant par césarienne. Sa naissance, si elle avait eu lieu par voie basse, lui aurait causé une dystrophie des épaules et j’aurais inévitablement eu une épisiotomie selon la gynéco.

Bref, je n’ai pas eu l’accouchement que je souhaitais. J’étais triste et déçue à l’idée de ne jamais connaître l’accouchement par voie basse. J’étais amère d’avoir investi autant de temps, d’énergie et d’argent à me préparer à l’accouchement vaginal. Malgré ces sentiments, je suis heureuse de ma démarche et fière d’avoir tout tenté. Je suis aujourd’hui sereine avec la naissance de ma fille. Elle complète notre famille à merveille et je n’ai aucun regret. césarienne

Avez-vous un récit d’accouchement que vous aimeriez partager ? Si oui, n’hésitez pas à nous écrire à l’adresse suivante: info@tplmag.com

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Un bébé de Noël pour Kim Kardashian

Kim Kardashian et son mari Kanye West pourraient voir le joli minois de leur deuxième enfant plus tôt que précédemment estimé. En effet, selon les dires d’une source s’étant confiée au site TMZ.com, «les docteurs ont évalué la date de conception du petit à nouveau et ont déterminé qu’il devrait naître le jour de Noël.»

Tout est prêt pour l’arrivée du premier fils du couple. C’est dans une luxueuse suite de maternité du réputé Cedar-Sinai de Los Angeles que le fils des deux stars devrait voir le jour. Toute la famille pourra y passer du temps à l’abri des curieux qui ne seront pas invités. 

Bien qu’un accouchement naturel soit souhaitable, la même source nous explique que Kardashian souffre d’un placenta accreta, c’est-à-dire que son placenta s’attache trop profondément aux parois utérines. Dans ce cas, une césarienne pourrait être nécessaire. 

En attendant l’arrivée de bébé #2, la future maman fait de son mieux pour être en forme et en santé. Notamment, comme elle dit aimer marcher en parlant au téléphone, elle marche beaucoup pour se rendre chez ses soeurs, accompagnée de North West . Elle suivrait aussi un régime équilibré.  

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Potins

Christina Aguilera veut perdre 40 livres d’ici décembre

Christina Aguilera est une habituée des régimes minceur et des variations importantes de poids, mais la chanteuse se lance maintenant l’un des plus gros défis de sa vie en la matière.

Celle qui a accueilli son nouveau-né, une fille prénommée Summer Rain, il y a seulement deux semaines n’a pas l’intention de perdre son temps. En effet, selon BANG Media International, Aguilera entend retrouver sa taille de guêpe en moins de quatre mois, et être ainsi prête pour son anniversaire, le 18 décembre 2014.

Christina Aguilera se lance donc le défi de perdre 40 livres en moins de seize semaines. Peut-être moins, si l’on considère que la jolie blonde n’a pas encore le feu vert des médecins pour faire de l’exercice à la suite de sa césarienne.

L’interprète de 33 ans a cependant déjà entamé son nouveau régime alimentaire, et aurait même confirmé une apparition dans Playboy l’an prochain pour afficher les résultats de son travail.

Christina Aguilera a également un fils de maintenant six ans, Max.

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La césarienne touche davantage les femmes dans la quarantaine

Si vous êtes enceinte et avez plus de 40 ans, les risques d’accoucher par césarienne sont trois plus élevés. Souvent l’intervention est effectuée d’urgence.

En effet, parmi les 170 000 Norvégiennes de différents âges qui ont participé à l’étude, celles qui avaient plus de 40 ans ont été 22,4 % à subir une césarienne d’urgence contre 8,4 % pour les mères âgées de moins de 30 ans. Pourtant, les grossesses se déroulaient bien.

L’âge n’était cependant pas l’unique facteur en cause. Il a également été démontré que certains éléments tels qu’un poids élevé à la naissance, un âge gestationnel d’au moins 42 semaines ou encore la péridurale augmentaient le nombre d’accouchements par césarienne. Or, ces facteurs avaient aussi beaucoup plus d’impact chez les femmes de plus de 40 ans.

Selon les chercheurs, les femmes enceintes de 40 ans et plus en bonne santé ont simplement besoin d’être mieux suivies pour être mieux préparées à leur accouchement, écrit le site français Parents.fr.

 

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Qui peut juger de votre méthode d’accouchement?

L’apparition des médias sociaux et des blogues et forums de toutes sortes ont permis à d’innombrables mères d’aller chercher du soutien et de se rapprocher de gens qui vivent la même chose qu’elles.

Cependant, ce nouveau mode d’échange et de communication a aussi favorisé le jugement d’autrui, la prise de position et l’expression de l’opinion de chacun.

En d’autres termes, auparavant, les futures mères se retrouvaient face aux opinions de la famille et la belle-famille. Désormais, c’est la planète entière qui peut remettre en question leurs décisions.

De plus en plus de femmes préconisent le retour à l’accouchement naturel, que ce soit en milieu hospitalier ou à la maison. Par contre, ces idéaux ont donné lieu à des comparaisons malsaines entre femmes.

Ainsi, celle qui a recours à l’épidurale, à la médication ou la césarienne ne le fait pas de façon « naturelle ». Celles qui ont donné naissance par voie vaginale et sans médication se donnent donc le droit de regarder les autres de haut.

Rappelez-vous néanmoins que l’accouchement est une décision très personnelle et intime. Elle ne devrait jamais faire l’objet de comparatifs et encore moins de jugements.

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Les ronflements nuisent à la grossesse

Selon une publication dans le journal scientifique Sleep, les mamans ronflant plus de 3 à 4 nuits par semaine seraient plus à risque d’accoucher par césarienne ou encore d’avoir un bébé de petit poids.

L’étude réalisée à l’Université du Michigan est arrivée à la conclusion que les ronfleuses chroniques, les femmes ronflant avant et pendant leur grossesse, avaient 2 fois plus de chances que les autres de subir une césarienne, et 70 % d’avoir un bébé plus petit que la moyenne.

« Nous avons constaté que le ronflement chronique est associé aux deux problèmes, même après avoir tenu compte d’autres facteurs de risque. Cela démontre que nous avons une fenêtre ouverte pour soumettre les femmes enceintes à des tests pour des problèmes de respiration pendant le sommeil qui peuvent mettre en danger la venue au monde de leur enfant », explique Louise O’Brien, auteure principale de la recherche.

« Si nous pouvons identifier les risques qui peuvent être traités pendant la grossesse, tels que l’apnée obstructive du sommeil, nous pouvons réduire l’incidence des petits bébés, les césariennes et l’admission en soins intensifs néonataux, ce qui améliore non seulement les bienfaits de santé à long terme pour les nouveau-nés, mais aiderait aussi à réduire les coûts », conclut-elle.

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Reclassification d’une grossesse considérée à terme

Auparavant, les médecins considéraient qu’une grossesse était à terme entre 37 et 42 semaines. Or, les résultats d’une nouvelle étude poussent les médecins à catégoriser le 3e trimestre en 4 phases :  avant terme, à terme, à terme « tardif » et après terme.

La recherche a démontré que l’augmentation des accouchements entre 37 et 38 semaines avait grimpé de 17 % en 1983 à 27 % en 2009, parce que les femmes « prévoient » leur date d’accouchement. Elles peuvent même prendre « rendez-vous » pour une césarienne. Cette planification nuit à l’enfant plus que ce que l’on croyait.

En effet, il a été déterminé que les enfants nés entre la 37e et la 38e semaine étaient plus souvent pris en charge aux soins intensifs, ceux-ci nécessitant notamment d’être branchés sur la respiration artificielle et/ou la médication intraveineuse.

Pour minimiser ces risques, comme l’indique Science World Report, il est donc fortement recommandé d’attendre entre la 39e et 40e semaine. La 41e semaine est considérée comme tardive, et au-delà, il s’agit d’une grossesse après terme.

L’étude est publiée dans la revue Obstetrics & Gynecology.

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Césarienne et obésité de l’enfant

Selon le MailOnline, une récente étude démontre la possibilité que les enfants nés par césarienne courent un plus grand risque de souffrir d’obésité.

Après avoir étudié les dossiers médicaux de plus de 10 000 enfants, des chercheurs anglais ont observé que 83 % des enfants maintenant âgés de 11 ans couraient plus de risques que ceux nés par voie naturelle.

Il est expliqué qu’une des raisons possibles serait que les bébés nés naturellement contracteraient des bactéries nécessaires à la régularisation du métabolisme lors de leur passage dans le col utérin.

Le docteur en tête de l’étude, Jan Blustein de l’University School of Medecine à New York, a déclaré : « Il est possible qu’il y ait encore plusieurs conséquences à long terme liées à l’accouchement par césarienne dont nous ne sommes toujours pas au courant ».

Un bémol est cependant présent dans la recherche. En effet, les femmes obèses nécessitent plus souvent une césarienne pour des raisons de santé. Cela pourrait fausser certaines données de l’étude, alors que leurs enfants risquent de souffrir d’obésité pour des raisons génétiques.

Les résultats, publiés dans le Journal of Obesity, font aussi mention des risques pour les mères subissant une césarienne de souffrir de troubles de la vessie et des intestins, en plus d’augmenter les risques de complications lors d’une prochaine grossesse.

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Taux anormalement élevé de césariennes aux États-Unis

C’est la grande variation du taux de césariennes d’un hôpital à l’autre qui a mis la puce à l’oreille des responsables de la recherche.

Ainsi, d’un établissement à l’autre (593 hôpitaux), on note des taux variant entre 7,1 % et 69,9 %. La raison pour laquelle c’est anormal, c’est qu’elles sont souvent effectuées sur des femmes enceintes à risque très faible de complications. En d’autres mots, elles subissent une césarienne sans raison.

Comme l’indique Eurekalert, la césarienne est une procédure médicale visant à sauver des vies. En contrepartie, la rémission est plus longue, les risques d’infection sont plus élevés, et l’allaitement devient un défi. En outre, elle est très coûteuse, et c’est le programme d’assurance Medicaidqui paie 3 billions par année en frais aux États-Unis.

Katy B. Kozhimannil mentionne : « Les variations inexplicables d’un établissement à l’autre sont une source potentielle d’un grave problème de qualité des soins. Cela devrait inquiéter non seulement les femmes et les cliniciens, mais également l’hôpital et les responsables des politiques internes ».

Mesdames, choisissez donc bien votre hôpital et renseignez-vous sur leurs méthodes d’accouchement et la spécialisation des intervenants. Tant que c’est possible, vous devriez avoir droit à l’accouchement naturel.

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La césarienne et l’allaitement influencent la flore intestinale des bébés

Une nouvelle étude canadienne a analysé l’ADN de 24 bébés en santé nés à terme, à partir d’échantillons fécaux prélevés à l’âge de 4 mois. Six d’entre eux étaient nés par césarienne, et 10 étaient nourris exclusivement de lait maternel.

Les bébés qui étaient nourris de lait maternisé avaient un taux beaucoup plus élevé de « mauvaises » bactéries, incluant la bactérie C. difficile. Cependant, les chercheurs ont noté que la flore intestinale est extrêmement complexe et pas encore bien comprise, puisque dans certains cas, la corrélation était positive, et dans d’autres, négative.

Les enfants nés par césarienne avaient aussi un taux de bactéries intestinales différent de celui des enfants nés par voie naturelle. Les césariennes « par choix » étaient ainsi associées à « la richesse et la diversité les moins élevées », tandis que les césariennes d’urgence étaient associées à la richesse et la diversité les « plus élevées ».

Le passage par le « canal de naissance » donne une inoculation naturelle par des bactéries présentes chez la mère. C’est pourquoi certaines bactéries n’étaient tout simplement pas présentes chez les bébés issus d’une césarienne, peu importe si la mère allaitait ou non, selon Med Page Today.