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Bien se remettre après une césarienne

Premièrement, il est important pour vous d’attendre le bon moment pour vous lever. Les effets d’anesthésiants locaux doivent disparaitre pour que vous puissiez marcher. Les femmes ayant eu une longue période de travail avant de subir l’intervention devront attendre plus longtemps.

Puis, prendre le bébé dans vos bras nécessitera de l’aide. Toutefois, vous pourrez toujours le tenir et allaiter lorsque vous serez assise.

Aussi, il est recommandé d’accepter de prendre les médicaments antidouleur prescrits par le médecin. Ces anti-inflammatoires ne vous empêcheront pas d’allaiter.

Ensuite, attendez-vous à avoir des saignements vaginaux post-partum, même si vous n’avez pas accouché naturellement.

Prenez soin de votre incision durant les quelques jours précédant sa guérison complète. Ne la frottez pas, ni dans la douche, ni avec la serviette en sortant.

De plus, on suggère de manger beaucoup de fibres et de prendre soin de vous.

Rappelons que les risques d’infections à la suite d’une césarienne sont plus élevés qu’après n’importe quelle autre opération.

Une étude rapporte que 9,6 % des femmes ayant subi une césarienne ont souffert d’infections reliées à la manoeuvre médicale.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les bébés nés naturellement ont un QI plus élevé

En fait, chez les femmes qui accouchent naturellement, on observe dans le cerveau du bébé une plus grande quantité d’une protéine spéciale, appelée UCP2, qui aide à stimuler l’intelligence lors de son développement.

L’UCP2 contribuerait à favoriser la mémoire à court et à long terme, qui sont des composantes clés du QI durant la croissance.

« Ces résultats révèlent un rôle potentiellement critique de l’UCP2 dans le développement normal des circuits du cerveau et aux comportements qui y sont liés. […] Nous avons découvert que la naissance naturelle favorisait l’expression de l’UCP2 dans les neurones situés dans la région hippocampique du cerveau », explique l’auteure de la recherche, publiée dans PLoS ONE, Tamas Horvath.

De plus, l’UCP2 contribue à une chance accrue de la réponse favorable à l’allaitement pour le nouveau-né. La césarienne, elle, entraînerait plus de risques de saignements internes pouvant mener à des problèmes de fertilité, selon les experts.

Plus de 25 % des bébés nés dans les hôpitaux NHS naissent par césarienne, et ce chiffre atteint les 60 % en cliniques privées.

Rappelons que les enfants dont la mère a eu une césarienne sont plus susceptibles de souffrir d’obésité. Ils seraient deux fois plus à risque d’avoir un surplus de poids en vieillissant.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Plus de risques d’infections après une césarienne

 

 

En fait, l’étude démontre que 9,6 % des femmes ayant subi une césarienne ont souffert d’infections reliées à la manoeuvre médicale par rapport à 6,6 % chez les femmes ayant subi une hystérectomie.

Les experts s’inquiètent, puisque plus d’une naissance sur quatre entraîne une césarienne. De plus, le fait d’être âgée de moins de 20 ans, d’avoir un surplus de poids et d’être opérée par un jeune médecin augmente les risques.

Toutefois, la plupart de ces infections ne sont pas très graves tandis que seulement 7 % d’entre elles ont nécessité un séjour prolongé à l’hôpital.

L’auteure principale de la recherche, Dr. Catherine Wloch, croit que ces infections, même si elles sont mineures, représentent un fardeau pour le système de santé.

« Les femmes qui développent des infections postnatales sont plus susceptibles de se sentir moins capables de s’occuper de leur bébé et prendront plus de temps à se remettre sur pied après la naissance », ajoute Gail Johnson, duRoyal College of Midwives.

Rappelons que les enfants dont la mère a eu une césarienne sont également plus susceptibles de devenir obèses et de souffrir d’asthme.

 

 

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La césarienne reliée au surpoids de l’enfant

Des récentes recherches de l’Université Harvard et du Boston Children’s Hospital ont permis de découvrir que les enfants nés par césarienne étaient deux fois plus à risque d’avoir un surplus de poids en vieillissant.

En fait, 16 % de ces poupons étaient cliniquement obèses à l’âge de trois ans et avaient un indice de masse corporelle trop élevé et une épaisseur anormale du pli de la peau.

De plus, le quart des bébés en Angleterre sont nés par césarienne en 2011. Parmi ceux-ci, seulement la moitié l’ont été à cause de complications. L’autre partie des futures mères a délibérément choisi la césarienne.

« Ces femmes se seront fait mettre en garde par leur obstétricien des risques de la césarienne, les risques d’infections, de douleur à long terme et de cicatrice. Cette recherche nous donne l’occasion d’expliquer qu’une césarienne pose potentiellement des risques à long terme pour la santé de leurs bébés », dit Sue McDonald, directrice de l’éducation et de la recherche au Royal College of Midwives.

Rappelons aussi que les poupons nés par césarienne ont un moins haut taux de bactéroïdes dans la gorge, une population de microbes bénéfiques dont la composition s’ajuste à la croissance de l’enfant et à l’évolution de ses besoins.

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Le mode d’accouchement influence la grosseur des bébés

L’étude américaine de l’Hôpital pour enfants de Boston ne s’attarde pas ici sur le fait qu’il y a des bébés de plus gros poids parce qu’ils ont des antécédents familiaux ou que les mères obèses ont plus souvent recours à la césarienne pour accoucher.
 
Il s’agit plutôt d’expliquer que l’accouchement par voie naturelle permet à l’enfant, durant le processus de naissance, de se munir d’anticorps et de s’exposer à des bactéries bénéfiques pour son métabolisme.
 
La césarienne ferait donc en sorte que le bébé est davantage en contact avec de mauvaises bactéries qui feraient en sorte qu’il brûle éventuellement moins bien les mauvaises calories.
 
En fait, les bébés qui naissent par césarienne ont deux fois plus de chances (16 %) de devenir des enfants obèses avant l’âge de trois ans, comparativement à ceux nés par voie vaginale (7,5 %), révèle l’étude parue dans le Journal Archives of Disease in Childhood.
 
Alors que la césarienne est utilisée majoritairement pour sauver la vie de bébés ou de mères, 7 % des cas ont lieu sans raison médicale.
 
Devant ce constat d’obésité infantile et cette hausse de césariennes accordées, Sue MacDonald, du Collège royal des sages-femmes, déclare : « Cela met en évidence la nécessité d’éviter les césariennes qui ne sont pas médicalement nécessaires ».
 
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Moins de césariennes chez les mères adolescentes

En dépit d’un plus grand risque de complications obstétricales, il y a 82,7 % des jeunes femmes de moins de 16 ans qui donnent naissance naturellement, comparativement à 71,6 % chez les 16-35 ans, révèle une étude l’École de médecine de l’Université de Philadelphie.

Outre l’accouchement par voie vaginale, les mères adolescentes sont plus susceptibles de séjourner plus longtemps à l’hôpital après la naissance, de perdre plus de sang, de donner vie à des bébés prématurés et plus petits, d’être atteintes de prééclampsie et d’avoir un travail plus long.

Les chercheurs ont également remarqué que les jeunes mères réalisaient moins de visites prénatales, et leur première rencontre avec un médecin a souvent lieu vers le quatrième mois, comparativement au deuxième mois pour les femmes plus âgées.

Pour arriver à leurs conclusions, les auteurs de l’étude ont évalué un ensemble de données concernant plus d’un million de grossesses survenues entre 1997 et 2005.

Même si le taux de grossesse chez les adolescentes a diminué au cours des dernières années, les États-Unis détiennent encore l’un des plus hauts taux parmi les pays industrialisés.

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L’idéal quand un bébé se présente par siège

La plupart des bébés naissent la tête la première, mais dans 3 à 4 % des cas, les bébés ont une position qui démontre que le bas du corps et les pieds sortiront en premier. Cette situation peut rendre le voyage par voie vaginale plus difficile et dangereux, pour le bébé et la mère.

Dans les hôpitaux de Dublin, neuf bébés sur 10 qui se présentent par le siège naissent par césarienne, indiquent les chercheurs irlandais dans une étude intitulée Term Breech Trial.

Ce dernier rapport, publié dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology, conclut que pour certaines femmes, l’accouchement vaginal peut être tout aussi sûr que la césarienne, dans de telles circonstances.

Il a été prouvé qu’en 16 ans d’observation, il n’y a pas eu de baisse significative du taux de mortalité périnatale, et ce, malgré le fait que les femmes et les cliniciens choisissent davantage la césarienne pour donner naissance à un enfant qui se présente par le siège.

Pour le Dr Mark Hehir, du National Maternity Hospital et du Rotunda Hospital de Dublin, il n’y a pas de doute, la majorité des enfants qui se présentent par le siège devraient naître par césarienne. Toutefois, « l’accouchement vaginal peut être aussi réalisé avec succès, si les mères et les cliniciens font preuve d’un jugement rigoureux ».

Le spécialiste croit que le nombre de césariennes pourrait diminuer si les professionnels de la santé étaient mieux qualifiés et formés pour faire face à cette situation particulière.

Pour en arriver à cette conclusion, l’étude a porté sur le fait qu’en 2000, des recommandations médicales affirmaient que les bébés nés par le siège par voie vaginale étaient trois fois plus susceptibles de subir un préjudice grave ou de mourir par rapport aux bébés nés par césarienne dans la même circonstance.

Les données de près de 12 000 accouchements qui ont eu lieu dans les années 90 et après 2000 dans trois grands centres médicaux de Dublin ont été analysées.

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Les accouchements prennent plus de temps qu’il y a 50 ans

C’est à la suite d’analyses poussées observant les données de 140 000 accouchements, recueillies entre 1960 et le début des années 2000, que des chercheurs de l’Institut national de la santé ont conclu que les pratiques modernes pour les naissances pouvaient faire augmenter la durée du travail.

Bien que leur étude ne précise pas tous les facteurs qui contribuent à des accouchements plus longs, les résultats indiquent que les pratiques actuelles devraient être réévaluées.

Ainsi, il a été noté que la première étape du travail (dilatation du col avant la poussée active) a augmenté de 2,6 heures pour les mères à un premier accouchement et de 2 heures pour celles qui ont déjà donné naissance, comparativement aux femmes des années 60.

En moyenne, les enfants d’aujourd’hui naissent cinq jours plus tôt que prévu et ont tendance à afficher un poids plus élevé, tout comme les mères d’ailleurs.

En effet, il a été noté que les femmes des années 2000 ont un indice de masse corporelle de 24, 9 (surpoids = 25) avant la grossesse, comparativement à un IMC de 23 chez les femmes des générations antérieures.

Les femmes d’aujourd’hui sont également âgées d’au moins 4 années de plus que leurs prédécesseures lorsqu’elles donnent la vie.

En salle d’accouchement, les chercheurs ont constaté que plus de la moitié des naissances se font aujourd’hui sous anesthésie péridurale, comparativement à 4 % autrefois, et que l’hormone ocytocine est plus souvent administrée (31 % contre 12 % dans les années 60).

Finalement, l’étude a révélé que le taux d’accouchement par césarienne est quatre fois plus élevé de nos jours, et que l’épisiotomie a été nettement remplacée par l’utilisation de forceps et autres instruments chirurgicaux pour sortir le bébé.

Les résultats complets paraissent en ligne dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology.

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L’incontinence urinaire varie selon le mode d’accouchement

Une étude de l’Académie Sahlgrenska de l’Université de Göteborg en Suède, intitulée SWEPOP (Swedish pregnancy, obesity and pelvic floor), a questionné 6148 femmes ayant eu un seul enfant pour déterminer la prévalence de l’incontinence 5 ans après l’accouchement, puis entre 5 et 10 ans, et enfin après plus de 10 ans.

Il est ressorti de cette observation longitudinale, publiée dans BJOG: An International Journal of Obstetrics and Gynaecology, que le risque d’incontinence urinaire triple dans les 10 années qui suivent un accouchement par voie vaginale (10,1 %) comparativement à une césarienne (3,9 %). Cette situation dérangeante irait même jusqu’à se prolonger jusqu’à 20 ans après l’accouchement pour certaines mères.

En d’autres termes, la prévalence de l’incontinence s’avère considérablement plus élevée après un accouchement par voie vaginale (40,3 %) qu’après une césarienne (28,8 %).

Il a été noté également que l’âge de la mère à l’accouchement, les traumatismes obstétricaux et le surpoids chez la femme pouvaient aussi représenter des éléments majeurs de risque d’incontinence. En effet, les femmes obèses ont deux fois plus de risque que les femmes ayant un IMC normal en cas d’accouchement par voie vaginale.

Malgré ce constat, en France, la Haute Autorité de Santé rappelle tout de même, dans son nouveau rapport sur les recommandations qui définissent les indications d’une césarienne programmée au terme de la grossesse, que la césarienne n’est pas sans danger.

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Césarienne : les recommandations sont publiées à nouveau

En résumé, ce qui importe est de faire un choix éclairé, et cela concerne tant le médecin que la future mère. Cette dernière doit être mise au courant des diverses conséquences de la césarienne. Ainsi, l’analyse des bénéfices et des risques pour la mère et le fœtus doit être bien connue et établie.

Selon les données, une femme sur cinq choisit la césarienne programmée, ce qui représente 7,4 % des naissances.

Devant cette popularité croissante, la Haute Autorité de Santé (HAS) a cru bon de publier un nouveau rapport de recommandations pour les femmes enceintes et les professionnels de la santé, afin de redéfinir les indications d’une césarienne programmée au terme de la grossesse.

Dans ce cas-ci, lorsqu’il n’y a pas de situation d’urgence, une césarienne programmée devrait avoir lieu lorsqu’il y a un utérus cicatriciel, une grossesse gémellaire, une présentation par le siège, une macrosomie, une transmission mère-enfant d’infection maternelle ou certaines indications plus rares.

Selon le rapport, chaque situation est unique et doit être bien analysée. Si la demande de césarienne vient de la mère, le document conclut qu’il est nécessaire de trouver la raison motivant l’opération. Il est important pour le médecin de discuter avec sa patiente pour voir s’il y a possibilité que celle-ci est plutôt effrayée par l’accouchement.

En conclusion, le choix du mode d’accouchement doit se faire sur la base d’une décision partagée entre la femme enceinte et l’équipe médicale, rapporte SantéLog.