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Aucune souffrance pour le bébé à l’accouchement

Des chercheurs de l’Inserm ont découvert que les bébés ne souffraient aucunement lors de l’accouchement, comme nous l’apprenons par Radio-Canada. Une hormone, l’ocytocine, en est la raison.

Cette hormone a un effet anesthésiant qui dure jusqu’à quelques heures après la naissance. Comme nous le savions déjà, l’ocytocine est libérée par la mère en grande quantité lors du travail afin de stimuler les contractions de l’utérus. Il semble qu’elle a un effet sur le bébé.
 
Afin de tirer ces conclusions, les chercheurs se sont basés sur une étude datant de 2008, où l’on avait démontré que les bébés nés par césarienne résistaient moins à la douleur que ceux nés par voie naturelle.

On a ensuite effectué des tests sur des rats, pour prouver par la suite que l’ocytocine était la cause de la résistance à la douleur des bébés humains.

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Aucun lien entre la naissance et l’asthme

On a tenté de trouver certaines raisons du développement de l’asthme durant l’enfance dans la façon dont l’accouchement s’était déroulé ainsi que les conditions l’entourant. Il n’en existe aucune qui soit assez évidente pour être soutenue, selon une étude américaine.

Ainsi, il n’y aurait pas de corrélation entre le fait qu’un bébé naisse par césarienne ou qu’il ait un faible poids de naissance et celui qu’il soit asthmatique. On a tiré ces conclusions après avoir observé 3 933 enfants, dont 215 avaient reçu un diagnostic d’asthme.
 
Selon Medical News Today, on a remarqué que si 2,1 % des enfants nés par césarienne étaient atteints de l’asthme à l’âge de 6 ans, c’était aussi le cas pour 2,5 % des enfants nés par voie naturelle. La différence est donc minime.
 
La même observation a pu être faite quant au poids de naissance. Chez les enfants dont le poids était inférieur à 5 lb 9 oz, 6,7 % souffraient d’asthme, contre 5,4 % chez ceux qui pesaient plus au moment de leur naissance.
 
Finalement, il n’y aurait pas non plus de lien entre une naissance prématurée et le développement de l’asthme, ce qui contredit plusieurs études précédentes.

Selon les présents résultats, 7,1 % des bébés nés entre la 34e et la 36e semaine étaient asthmatiques avant leurs 6 ans, contre 8,7 % des enfants nés à terme.

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Des ultrasons pour réduire les césariennes

Des chercheurs italiens ont mis au point un nouveau dispositif pouvant suivre la progression de l’accouchement de manière non invasive, selon Euro News.

Portant le nom d’Amolab, ce nouvel outil est en fait un système d’imageries par scanneurs 3D. Il permettra aux médecins de suivre par exemple le rythme cardiaque du bébé et ses autres fonctions vitales. Ainsi, on pourra se tourner vers la césarienne en sachant plus clairement si elle est nécessaire.

L’accouchement par césarienne se fait en effet de manière systématique et cette intervention médicale pourrait être évitée dans bien des cas.

L’Organisation mondiale de la santé recommande un taux de 15 % de ce type d’accouchement. Pourtant, il est beaucoup plus élevé, même dans les pays en voie de développement. Il n’est pas qu’un problème des pays industrialisés.

L’invention d’Amolab a donc été faite dans le but de diminuer le nombre d’erreurs de diagnostic et, par le fait même, celui des césariennes. Cet outil a reçu le prix de l’innovation en Italie l’an dernier.

Rappelons finalement que l’accouchement par césarienne implique des risques, tant pour la santé du bébé que pour celle de la mère, et qu’il constitue une intervention chirurgicale nécessitant une convalescence subséquente.

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Attention aux accouchements provoqués

Selon une étude publiée dans le Journal of Reproductive Medicine, il est risqué de provoquer la naissance du bébé.

En plus de ne comporter aucun avantage pour celui-ci, la mère se retrouverait plus exposée à vivre une césarienne, à perdre plus de sang et à demeurer à l’hôpital plus longtemps.

Bien que le nombre de naissances provoquées soit en constante augmentation, les femmes devraient être mieux informées quant aux risques auxquels elles s’exposent.

En effet, 34 % des accouchements provoqués se terminent en césarienne, contre 20 % des naissances naturelles.

L’étude en question incluait 485 femmes qui ont accouché de leur premier enfant au Centre médical de l’Université de Rochester en 2007.

On ne se pose que trop peu de questions quant au recours à la césarienne. Pourtant, il s’agit d’une intervention médicale majeure qui peut entraîner de graves complications.

De plus, alors que les femmes souhaitent bien organiser leur vie, on oublie trop souvent qu’il y a de très bonnes raisons pour qu’un bébé soit porté jusqu’à terme.

Les obstétriciens devraient donc mieux conseillers les femmes au lieu de considérer l’enclenchement du travail comme une mesure de routine comprise dans la plupart des grossesses.

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Hausse des décès par épidurale

Si les morts reliées aux anesthésies générales ont chuté dans les dernières décennies, il semble que plus de femmes décèdent des suites de l’épidurale.

C’est que ce que suggère une récente étude parue dans Obstetrics & Gynecology.

On a remarqué que de 1979 à 2002, les décès par tout type d’anesthésie lors d’une naissance ont chuté de 59 %.

Pourtant, ceux reliés aux anesthésies locales sont en augmentation. En effet, si l’on en a relevé 2,5 par million lors d’une césarienne de 1991 à 1996, ce chiffre est passé à 3,8 de 1997 à 2002.

La Dre Joy L. Hawkins, de l’École de médecine à l’Université du Colorado à Aurora, a dirigé la présente étude. Elle considère que ces données doivent être prises au sérieux.

Selon elle, une future maman peut maîtriser plusieurs éléments durant sa grossesse et peut ainsi mettre toutes les chances de son côté.

Ainsi, la pression sanguine et le contrôle du diabète sont primordiaux et peuvent cibler les femmes pouvant être vulnérables.

Toutefois, la Dre Hawkins rappelle que la mort lors de l’accouchement constitue un événement rare.

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Les bébés sortis avec les forceps seraient plus agressifs

Les enfants nés avec l’aide des forceps ou d’une suce à extraction auraient plus de chances d’avoir un comportement agressif et des problèmes émotionnels.

À l’école, ils auraient plus tendance à présenter des troubles d’attention, comparativement à ceux nés par césarienne, qui auraient tendance à être plus calmes.

C’est ce que nous révèle une étude chinoise parue dernièrement dans BJOG: An International Journal of Obstetrics and Gynaecology. Elle corrobore d’autres recherches déjà effectuées sur le même sujet.

En effet, on avait déjà démontré que les méthodes d’extraction du bébé causent une augmentation importante d’une hormone liée au stress, le cortisol.

Pour la présente recherche, on a suivi 4 190 enfants du sud-est de la Chine. Les parents devaient remplir un questionnaire quand l’enfant avait de quatre à six ans.

Il semble que dans 40 % des cas, les techniques liées à la naissance avaient un impact sur le comportement de ces enfants.

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Les antibiotiques doivent désormais être pris avant une césarienne

Après de nombreuses études sur le sujet, les médecins américains recommandent maintenant que les femmes qui doivent accoucher par césarienne prennent leurs antibiotiques avant l’opération et non plus après comme c’était le cas jusqu’ici.
 
Des études ont démontré que la prise de médicaments avant l’accouchement réduisait considérablement les risques d’infections chez la mère et que cela n’était aucunement dangereux pour l’enfant à naître.
 
Selon le Collège américain des obstétriciens et gynécologues, 10 à 40 % des femmes qui subissent une césarienne développent une infection contre seulement 3 % chez celles qui accouchent par voies naturelles.
 
La pratique des césariennes demeure une méthode contestée par plusieurs qui affirment qu’elles ne devraient être exécutées qu’en dernier recours en raison des risques supplémentaires qu’elles comportent. Outre les infections, il y a aussi un risque d’embolie avec une césarienne.
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Accoucher naturellement est plus bénéfique pour le bébé

Les bébés qui naissent par voies naturelles seraient mieux protégés contre les maladies infectieuses que ceux nés par césarienne, selon une étude portoricaine et américaine publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences.
 
Les scientifiques ont comparé quatre bébés nés naturellement à cinq nés par césarienne. Ceux nés par voies vaginales avaient une flore microbienne proche de la flore vaginale de leur mère, qui est composée de bactéries non pathogènes.
 
Ceux nés par césarienne avaient des bactéries que l’on retrouve à la surface de la peau, comme les staphylocoques.
 
La flore vaginale offrirait de bonnes bactéries qui jouent un rôle défensif pour les nouveau-nés, alors que les staphylocoques, eux, peuvent être colonisés par des agents pathogènes.
 
On a observé que les enfants nés par césarienne présentaient plus de risques d’allergies que ceux nés par voies naturelles et qu’ils étaient souvent plus malades également.
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Une césarienne augmente les risques de diabète juvénile

Apparemment, les bébés nés par césarienne auraient plus de risques de développer le diabète juvénile durant leur enfance. C’est que ce rapporte une étude britannique d’une équipe de la Queen’s University de Belfast.
 
Les scientifiques ont analysé 20 études de 16 pays différents totalisant un million d’enfants, dont 10 000 diabétiques qui avaient été suivis.
 
Les bébés nés par césarienne auraient 20 % plus de chances de devenir diabétiques que ceux nés naturellement.
 
La raison de ce phénomène est inconnue selon Famili, mais on croit qu’il existerait un facteur qui augmente non seulement le risque de souffrir du diabète du type 1, mais qui multiplie aussi les chances de naître par césarienne.
 
En Irlande, des chercheurs émettent l’hypothèse qu’avec une césarienne, les nouveau-nés sont plus exposés à l’environnement hospitalier, ce qui affecterait leur système immunitaire.
 
Les naissances par césarienne font l’objet de nombreuses recherches depuis quelques années. On établit également un lien entre celles-ci et un risque accru d’asthme. De plus, avec une césarienne, les femmes mettent souvent leur santé en danger. Les spécialistes insistent sur le fait que les césariennes ne devraient être pratiquées qu’en cas de nécessité médicale.
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Un accouchement naturel après une césarienne est sécuritaire

Le sujet a longtemps été controversé. Une femme ayant d’abord accouché par césarienne ne pouvait pas avoir un autre enfant par voies naturelles. Une nouvelle étude dévoile cependant qu’il n’y aurait finalement aucun danger.
 
Les experts des Instituts nationaux de la santé aux États-Unis ont déclaré qu’un accouchement par voies naturelles était tout à fait sécuritaire pour une femme qui avait eu une césarienne pour un enfant précédent.
 
Longtemps, les médecins ont eu peur que les incisions de l’opération précédente s’ouvrent de nouveau par la pression causée par les contractions, mettant ainsi en danger la mère et l’enfant. Selon l’étude, le taux de rupture serait toutefois de moins de 1 %.
 
30 % des hôpitaux américains ne donnent pas le choix aux femmes et pratiquent une nouvelle césarienne pour le bébé suivant. Les spécialistes disent maintenant qu’il n’y aurait aucune bonne raison d’empêcher une femme de tenter d’avoir son nouvel enfant par voies naturelles. Le taux de réussite est de 75 %.