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Dans les coulisses

Top-15 des espoirs du CH | 7e position : Joshua Roy

Après avoir classé quatre solides défenseurs (Mailloux, Xhekaj, puis Engstrom et Barron) aux positions 11 à 8, des défenseurs que l’on voit surtout évoluer sur les deux dernières paires dans la LNH, nous allons maintenant nous tourner vers quelques attaquants qui ont tous le potentiel d’occuper des rôles importants dans le top-6 ou, à tout le moins, devenir des joueurs de troisième trio au-dessus de la moyenne.

Nous commençons aujourd’hui avec Joshua Roy en septième position.

7. Joshua Roy, AG | Dernier classement : 10e
Potentiel : 35/40
Assurance : 15/20
Valeur d’usage : 24/30
Valeur d’échange : 7/10

Total : 81/100

Potentiel

Le meilleur marqueur de la LHJMQ en 2021-2022 à l’âge de 18 ans (51 buts, 119 points en 66 matchs) a décidé l’an dernier de parfaire son jeu sur 200 pieds afin de préparer sa transition chez les pros.

Roy n’a pas remporté un second titre de champion marqueur avec ses 99 points en 55 matchs, mais les résultats globaux ont été fantastiques alors qu’il s’est même retrouvé sur le premier trio d’Équipe Canada au CMJ, évoluant aux côtés du surdoué Connor Bedard.

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Dans une moindre mesure, celui qui a été repêché au premier rang de la LHJMQ en 2019 est lui aussi un genre de « surdoué » du hockey. Ça va avoir l’air très simple ce que je vais dire, mais c’est comme s’il savait intuitivement comment bien jouer au hockey. C’est sans doute ce qui lui confère la plus haute note au niveau du potentiel jusqu’ici dans notre décompte.

Mais Roy, ce n’est pas juste de l’instinct et de l’intuition. C’est un authentique QI hockey au-dessus de la moyenne qu’il semble avoir développé en perfectionnant son jeu ces dernières années.

Défensivement, Roy semble toujours être dans les pattes de l’équipe adverse, coupant les corridors de passes, créant des revirements, des contre-attaques, des pertes de rondelles, ce qu’il lui permet, entre autres, d’exceller en désavantage numérique, comme on l’a vu autant avec Équipe Canada qu’à Sherbrooke. C’est une facette qu’il pourra éventuellement transposer au niveau professionnel.

Ce mélange d’instinct et de d’intelligence lui permet aussi des séquences offensives lumineuses comme sur cette passe menant au but gagnant de Dylan Guenther lors du match pour la médaille d’or du CMJ en janvier dernier :

Encore meilleur sous pression comme on vient de le voir, il est devenu le Québécois avec le plus grand nombre de points en deux participations au CMJ, devançant nul autre que Jonathan Huberdeau, un ancien troisième choix au repêchage.

Il y a cependant un petit bémol qui n’a pas trop été soulevé à ma connaissance concernant ce fameux record.

À cause de l’horaire estival du tournoi de 2022 (because la COVID et blablabla…), Roy, dont l’anniversaire est le 6 août, a réalisé son exploit en participant à deux tournois en l’espace de quelques mois en tant que joueur de 19 ans.

Ça ne lui enlève pas son mérite, personne ne lui enlèvera les points qu’il a fait – encore moins un compatriote beauceron! – mais objectivement et historiquement, ça lui a donné un avantage sur les autres Québécois, un avantage qu’on ne reverra peut-être plus jamais lors de cette compétition.

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Mais bon, peu importe ce calendrier un peu tombé du ciel pour son record au CMJ, la façon de jouer de Roy s’inscrit ainsi dans l’ADN du système de jeu que Martin St-Louis tente de mettre en place depuis son arrivée : Roy cherche constamment à faire LE meilleur jeu et pas juste un jeu.

Un bon point pour lui.

Au niveau des qualités plus techniques et athlétiques, Roy ne sera jamais le patineur le plus rapide, mais on a quand même vu une très belle progression de ce côté lors des deux dernières saisons. Rien d’inquiétant là donc, car de toute façon, il compensera toujours largement – un peu comme un Mark Stone – par une lecture de jeu, une anticipation et un timing quasi parfaits qui lui permettent souvent d’être à la bonne place au bon moment, comme ici :

Ou encore ici :

Sinon, le Beauceron peut faire à peu près tout sur une patinoire pour aider son équipe. On a déjà parlé de son jeu défensif, mais il demeure que ce sont bien sûr ses qualités offensives qui pourraient le conduire sur les premiers trios du Canadien sur une base permanente.

En plus de son instinct et de son QI hockey très élevé, en l’espace d’un an Roy a aussi déjà considérablement amélioré sa force physique et excelle encore davantage en protection de rondelle.

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Son lancer du poignet est également au-dessus de la moyenne, tout comme son habileté à préparer des jeux du périmètre et à converger au filet pour faire dévier des rondelles et cueillir des rebonds.

Il peut aussi fort bien se débrouiller en échec avant si on lui confie ce rôle.

Si on se projette un peu dans le futur, en gros, les qualités de Roy sont très complémentaires à celles de joueurs comme Suzuki et Caufield…

À moyen et long terme, est-ce que l’ensemble de ces qualités offensives et défensives pourraient lui conférer un avantage sur des ailiers comme Slafkovsky et Newhook?

La question se pose.

Donc, il a théoriquement des chances de se retrouver un jour à l’aile gauche du « premier trio » du Tricolore, ou plus modestement au sein du top-6.

S’il a été capable de s’adapter au style de jeu de Connor Bedard dans le temps de le dire, pourquoi Roy ne pourrait-il pas évoluer avec les Suzuki, Caufield et Dach de ce monde?

En temps et lieu, Roy aura sans doute des opportunités de monter dans la hiérarchie offensive de l’équipe. Ce sera à lui de les saisir.

Assurance

À moins de tout casser au camp d’entraînement et de ne laisser aucun doute dans l’esprit des dirigeants, le Québécois aura fort probablement besoin d’une période d’adaptation au hockey professionnel à Laval et devra aussi apprendre à vivre avec le statut de joueur « vedette » francophone au coeur de la mythique institution montréalaise.

Le défi au plan psychologique risque d’être plus grand que l’adaptation au niveau hockey.

Roy semble avoir une très bonne tête sur les épaules, mais on devra bien le conseiller et l’entourer afin de s’assurer qu’il demeure les deux pieds sur Terre et qu’il vive le tout sereinement. C’est une chose d’avoir les projecteurs sur soi quelques fois par années au niveau junior, c’en est une autre d’être soudainement un des principaux visages dans les médias sur une base quotidienne.

D’autres Québécois avec des profils offensifs assez élevés, semblables au sien, pensons aux Ribeiro, Latendresse et Drouin, ont chacun à leur façon et pour diverses raisons, tous eu du mal à s’adapter à leur nouvelle réalité dans la grosse marmite.

Psychologiquement, la clé pour Roy sera de rester terre à terre tout en demeurant lui-même, c’est-à-dire, à la fois calme, confiant, « happy go lucky » et réussir à ne pas trop s’en faire avec le « bruit » positif ou négatif autour de lui.

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Mis à part cet aspect un peu plus « mental » du défi qui l’attend, il ne semble pas y avoir de raison strictement « hockey » qui empêcherait Roy de s’épanouir comme joueur d’impact avec le Tricolore.

Comme mentionné plus haut, je ne crois pas que son coup de patin représentera un grand problème pour lui étant donné sa capacité d’anticipation hors norme.

S’il continue à travailler fort et offre une production honnête dans le rôle qu’on lui confiera, on n’a pas à trop s’inquiéter pour son capital sympathie et le niveau de critiques qu’il subira de la part des médias et partisans.

Le fait qu’il ait été repêché en 5e ronde et non en première ou deuxième ronde, comme les trois autres Québécois mentionnés, lui enlève aussi un peu de pression.

Bref, avec toutes les qualités qu’on a énumérées et sa progression constante et impressionnante comme attaquant complet, on a très peu de doutes que Roy atteindra un jour la LNH dans un avenir très raisonnable pour y devenir un joueur au-dessus de la moyenne dans bien des facettes du jeu.

Seul un dérapage par manque de professionnalisme ou par une perte de confiance prolongée, un cassage sous pression, pourrait le mener à sa perte, mais en ce moment, on n’a aucune raison de penser que Roy tombera dans les pièges du vedettariat montréalais, et il a aussi l’air très solide entre les deux oreilles. Un genre de joyeux stoïcisme.

Mais quand même, les expériences passées avec d’autres Québécois aux profils semblables au sien nous invite à une certaine prudence quand à l’assurance de le voir atteindre son plein potentiel avec le CH. De là le relativement conservateur « 15/20 » qu’on lui a conféré à ce niveau.

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Valeur d’usage

Au plan hockey, Roy deviendra soit un excellent joueur de troisième trio, capable de museler l’adversaire et d’assurer une belle possession de rondelle à son équipe, soit une excellente addition à n’importe quelle combinaison du top-6 de l’équipe, capable de rendre ses coéquipiers meilleurs.

On pourrait aussi le retrouver un jour sur les deux unités spéciales tellement il possède des qualités offensives et défensives qui le démarquent du lot.

Somme toute, Roy possède un talent naturel et un combinaisons de qualités assez rares chez les ailiers de l’organisation. Mais avec les jeunes Slafkovsky et Newhook qui sont débarqués dans l’organisation après lui dans les treize derniers mois avec fanfare et trompette – et il ne faudrait pas écarter trop rapidement Rafaël Harvey-Pinard de la course – le Beauceron aura quand même beaucoup de compétition dans les années à venir au sommet de la hiérarchie chez les ailiers gauches.

Au plan marketing, il va sans dire que le sympathique Beauceron pourrait devenir un des favoris des médias et donc un « champion » de la relation avec les partisans avec sa bonne humeur contagieuse qui n’est pas sans rappeler celle d’un Phillip Danault. Ça peut sembler peu important pour certains, mais c’est un facteur que prend en compte l’organisation.

En somme, on comprend que Roy pourrait devenir un joueur utile au CH à bien des niveaux, mais il y aura de la compétition autour de lui. Il faut bien sûr voir sa note de 24/30 comme une projection où Roy deviendrait dans les faits un acteur important dans plusieurs facettes et phases du jeu.

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Valeur d’échange

Sans dire que sa valeur d’échange ait monté en flèche – il n’a gagné qu’un demi-point dans notre évaluation – Roy a laissé toute une carte de visite aux dirigeants des équipes de la LNH lors de ces prestations aux deux derniers CMJ et moyennant une belle transition chez les pros, il pourrait être un nom très en demande dans les discussions que Hughes entretiendra avec ses homologues au cours des prochaines années.

Mais, vu d’ici, lorsqu’on regarde l’organigramme du Tricolore pour les années à venir, on ne voit vraiment pas le Canadien échanger un attaquant de la trempe de Joshua Roy pour le plaisir de la chose. On va attendre de voir où pourra se situer Roy dans la hiérarchie à l’attaque, parce qu’il pourrait aussi bien devenir le meilleur ailier gauche du club. Enfin, comme on l’a dit, la chose n’est pas impossible. Il faudra voir…

Puis, évidemment, s’il performe bien, avec la réalité du marché montréalais, Gorton et Hughes seraient fous de se départir d’un francophone aussi sympathique et populaire auprès des partisans. Avec Harvey-Pinard et Montembeault, eux aussi très sympathiques, Roy pourrait former un « super trio » capable d’assurer cette communion naturelle et historique avec la base francophone des partisans de l’équipe.

Cela dit, s’ils avaient à l’échanger dans les prochaines années, disons avant qu’il n’atteigne son plein potentiel et lorsque le Canadien sera une équipe plus aguerrie, ce serait possiblement dans une combine (package) pour mettre la main sur un attaquant encore meilleur que lui.

Mais dans quelques années, disons, dans deux, trois ans, des attaquants «meilleurs que lui », aussi utiles à l’équipe, à aussi bon prix, il n’y en aura pas de disponibles à tous les coins de rues…

Disons simplement qu’on le voit plutôt s’établir à long terme avec le Canadien.

Conclusion
Paradoxalement, même s’il a grandit sous nos yeux, Joshua Roy représente l’un des espoirs les plus intrigants de toute l’organisation. À l’origine repêché au 150e rang en 2021, avec son potentiel, s’il réussi sa transition chez les pros – et il semble bien avoir assez développé son jeu pour ça – le Beauceron pourrait bien devenir l’équivalent d’un choix de première ronde. Il deviendrait ainsi le meilleur choix du Canadien aussi tard au repêchage depuis Brendan Gallagher et l’une des dernière perle laissée par Trevor Timmins.

Après tout, avant d’arriver dans la LHJMQ, la différence de talent entre lui et un certain Alexis Lafrenière était minime aux yeux de plusieurs.

Son camp d’entraînement sera captivant à suivre et pourrait aussi révéler assez rapidement les intentions du CH à son endroit pour les mois à venir. Mais Roy a le pouvoir et le talent pour influencer favorablement son sort.

On poursuit la semaine prochaine avec la 6e position!

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Le CH n’est pas la seule équipe intéressée par Pierre-Luc Dubois

Pierre-Luc Dubois est officiellement en vacances depuis hier alors que les Golden Knights ont gagné la série en 5 contre les Jets avec une victoire convaincante de 4-1.

Ce fut une très bonne saison pour l’ailier gauche de 24 ans qui a récolté 63 points en 73 matchs, en plus de 4 en 5 matchs de séries.

Par contre pour les Jets, plusieurs signes pointent vers l’idée d’une reconstruction alors que l’équipe ne performe pas à la hauteur de leur talent, surtout qu’ils possèdent l’un des meilleur noyau offensif de la ligue depuis plusieurs années ainsi que l’un des meilleurs gardiens en Connor Hellebuyck.

Si vraiment la direction prend la décision de se rajeunir et d’échanger plusieurs joueurs, il est évident que Pierre-Luc Dubois fera parti de ceux-ci, lui qui doit renégocier un contrat cet été et potentiellement devenir UFA après la prochaine saison.

Ceci dit, si le DG Kevin Cheveldayoff décide de ne pas signer Dubois cet été mais plutôt décide de l’échanger à une équipe qui pourra ensuite lui offrir un contrat à long terme, le Canadien ne serait pas la seule équipe intéressé à acquérir le Québécois, comme l’a mentionné Elliotte Friedman dans son podcast.

 »Certains clubs sont intéressés à acquérir Dubois même si ce n’est que pour 1 an. Montréal demeure la destination la plus réaliste pour lui, selon Friedman. Mais ça ne coûtera pas des peanuts »

Donc oui Kent Hughes pourrait attendre un an de plus lorsque Dubois deviendra libre commme l’air mais voudra t-il prendre la chance qu’une autre équipe fasse sont acquisition et que finalement Dubois accepte de signer là-bas ?

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Un espoir top-5 se dit très proche de Kent Hughes

Un nom qui retient de plus en plus l’attention en vue du prochain repêchage à Nashville cet été est celui de Will Smith, un centre de 6’0, 172 livres qui a dominé le programme U18 américain cette année avec une récolte de 123 points en 58 matchs.

Alors qu’il était perçu comme un choix de millieu de 1e ronde avant la dernière saison, il est maintenant considéré par la majeure portion des experts comme un choix qui pourrait sortir entre la 5e et 8e position

De l’âge de 12 à 15 ans, Smith était un membre des Eagles junior de Boston. Kent Hughes, était alors l’entraîneur en chef de cette équipe. 

Dans un excellent article de Jean-François Chaumont, le jeune Américain décrit sa relation avec le DG du Canadien.

 »Il a été mon entraîneur pendant deux ou trois ans, mais je connaissais Kent avant, lorsqu’il était agent et je connaissais aussi ses enfants parce que nous allions tous à la même école, St-Sebastian » a déclaré Smith au sujet de sa relation avec l’actuel directeur général du Canadien.  »Nous connaissions sa famille, puis il est devenu notre entraîneur et, à partir de là, il a été formidable. Vous le voyez maintenant, il est le directeur général après avoir été l’entraîneur de notre équipe, c’est plutôt cool. »

 »C’était vraiment bien de l’avoir à nos côtés. Juste d’avoir son numéro de téléphone pour lui envoyer un txto ou l’appeler pour lui demander des conseils, pour voir s’il voit quelque chose chez vous dont il voudrait parler », a déclaré Smith à propos du fait de rester en contact avec Kent Hughes. « Il est d’une grande aide. Nous sommes restés en contact (depuis que Hughes est devenu directeur général).

Smith est décrit comme un garçon calme et intelligent qui ne se laisse pas impressionner par la pression. Tous des critères que Kent Hughes adore. 

On ne sait pas encore à quel rang le CH va sélectionner mais disons que tout semble pointer vers un match parfait entre Smith et le CH.

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Kent Hughes dévoile des critères importants pour leurs sélections au prochain repêchage

À chaque année, le processus qui précède les choix au repêchage de chaque équipe en est un qui nécessite plusieurs étapes et des analyses non seulement sur le talent des joueurs, mais aussi l’aspect psychologique.

Certaines équipes accordent plus d’importance à certains atouts comme l’ardeur au travail, le talent brut, le leadership etc…

À Montréal, un marché sinon le marché le plus exigeant de la ligue, il y a quelque chose qui prend beaucoup de valeur aux yeux de Kent Hughes et de son équipe en plus du talent.

Il le mentionne dans la séquence plus bas. Le caractère, la résilience et la capacité de gérer la pression.

Trois importantes qualités qui ont du poids dans la balance lorsque vient le temps de choisir un joueur. 

La sélection de Juraj Slafkovsky au détriment de Shane Wright l’été passé en est une preuve concrète. L’équipe de Hughes a adoré le caractère du jeune Slovaque et sa capacité à gérer la pression sur la scène internationale à seulement 17 ans.

Vous pouvez écouter la séquence juste ici.

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Jake Allen fait une déclaration intéressante concernant son avenir avec le Canadien

À 32 ans, Jake Allen a maintenant disputé un total de 395 rencontres dans la LNH depuis la saison 2011-12.

Avec l’absence de Carey Price, qui semble se diriger vers la retraite, le rôle d’Allen devient de plus en plus important dans une formation qui effectue actuellement un virage jeunesse. 

Le portier est un bon vétéran avec beaucoup d’expérience, mais également une très bonne personne, qui n’a jamais eu peur de dire les vraies choses. 

Le 1er octobre dernier, le natif de Fredericton a signé une nouvelle entente de deux saisons avec le Tricolore et celle-ci lui rapportera un salaire de 3 850 000 $ annuellement. 

Il y a plusieurs rumeurs qui circulent concernant Allen alors que certains experts pensent qu’il pourrait être transigé. 

Cependant, le gardien vient de faire une déclaration fort intéressante en mentionnant « qu’il est confiant de faire parti des plans futurs du Canadien. » 

Un homme heureux de porter l’uniforme du Tricolore et qui est fort apprécié des fans du club ! 

Voyez la publication plus bas : 

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Shea Weber et Josh Gorges s’impliquent d’une nouvelle façon dans le monde du hockey

La vie d’un joueur de hockey après une carrière complète dans la LNH peut s’avérer être une transition plutôt difficile. 

Impliqués à 100% dans leur sport pendant de nombreuses années, le retour à la vie quotidienne de certains anciens joueurs peut devoir passer par l’enseignement de leurs connaissances en s’impliquant auprès d’une clientèle reliée de près ou de loin au hockey. 

C’est d’ailleurs le cas de deux anciens joueurs du Canadien, Shea Weber et Josh Gorges, qui accompagnent Duncan Keith et Mike Smith, amis et anciens rivaux, dans l’encadrement d’une nouvelle génération de jeunes joueurs.

En effet, dans le cadre du tournoi de printemps du Osoyoos Desert Classsic, ces quatre joueurs, devenus papa pour certains, enseignent leurs connaissances à de jeunes enfants qui ont la chance de bénéficier de la présence de ces anciens joueurs. 

« J’essaie d’aider du mieux que possible les enfants, d’avoir du plaisir et d’en profiter au maximum! Ces enfants auront des souvenirs de ces moments tout au long de leur vie! » 

Shea Weber, Global

« J’adore les voir se développer et grandir en tant que joueurs de hockey. C’est vraiment le fun! »

Josh Gorges, Global

Bien que ces anciens joueurs soient d’une autre génération et qu’ils ne soient pas nécessairement perçus comme des idoles, ces jeunes enfants bénéficient clairement des meilleurs entraîneurs pour leur apprendre la détermination, la passion et le désir de devenir un jour, des joueurs professionnels de la LNH!

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Cayden Primeau veut enfin avoir une vraie chance avec le Canadien

Vendredi, le 21 avril dernier, le Rocket de Laval disputait le second match de la série 2 de 3, l’opposant aux Comets d’Utica.

Après une défaite de 4-0 lors du premier match, la troupe de Jean-François Houle était sur le point de gagner la seconde rencontre lorsque Utica a réussi l’improbable en marquant un but en fin de match, alors qu’il ne restait que quelques secondes à la rencontre. 

Malheureusement pour le Rocket, les Comets ont rapidement fermé les livres en début de prolongation en inscrivant un filet avec seulement 2:45 de joué. 

Or, le lendemain, l’heure était au bilan, alors que les journalistes questionnaient chaque joueur à tour de rôle afin d’obtenir leurs impressions sur la saison et sur cette défaite crève-cœur.

Présent sur place, le journaliste et analyste des matchs du Rocket, Vincent Demuy, s’est assuré d’en apprendre davantage sur les sentiments qu’entretenaient le gardien de l’équipe, Cayden Primeau, face à la défaite de la veille, ainsi qu’à son possible futur avec le Canadien.

« Dans le moment ça fait toujours mal. J’ai tenté de donner tout ce que j’avais dans la série. […] Je demeure fier que l’équipe se soit battue jusqu’à la fin. Je suis prêt à passer au prochain niveau. La saison vient de se terminer alors ma tête n’est pas trop là-dessus, mais je suis prêt à faire ce qu’il faut cet été pour y arriver! »

Cayden Primeau, Twitter

Crédit photo : Vincent Demuy via Twitter

Avec une situation des gardiens plutôt embêtante chez le Canadien, ainsi qu’une saison en deux temps avec le Rocket, la présence de Primeau avec le grand club n’est certainement pas coulée dans le béton.

Après une période estivale qui lui permettra de refaire le plein d’énergie, Primeau devra offrir la meilleure version de lui-même s’il souhaite faire officiellement le grand saut dans la LNH.

Rappelons que le 1er octobre 2022, le Tricolore a signé le gardien, Jake Allen, en lui offrant une prolongation de contrat de deux ans d’une valeur totale de 7,7 millions de dollars. Il est donc sous contrat jusqu’à la fin de la saison 2024-25.

Pour sa part, Samuel Montembeault, qui s’établit de plus en plus comme le gardien #1 de l’équipe, en sera à la dernière année de son présent contrat de 2 000 000$, la saison prochaine. 

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GUY LAFLEUR : Un an déjà depuis son départ

Il y a un an, la province de Québec vivait un immense deuil en perdant l’une de ses plus grandes idoles.

Crédit photo : NHL.com

En effet, aujourd’hui, 22 avril 2023, marque le premier anniversaire du décès de Guy Lafleur, l’un des plus grands joueurs de hockey de tous les temps.

Sa disparition a d’ailleurs laissé un vide immense dans le monde du hockey et du sport, mais également dans la société québécoise en général.

Légende vivante du hockey, Lafleur, avec son style de jeu flamboyant et son impressionnante vitesse, a su captiver les partisans du Canadiens, des Nordiques et des Rangers pendant de nombreuses années.

En plus d’avoir remporté la prestigieuse Coupe Stanley à cinq reprises, le Démon blond a mis la main sur le trophée Art Ross trois fois en tant que meilleur marqueur de la LNH, en plus d’ajouter deux trophées Hart ainsi qu’un trophée Conn Smythe en tant que joueur le plus utile à son équipe en saison et en séries éliminatoires.

Néanmoins, malgré ses nombreuses récompenses personnelles, Lafleur était bien plus qu’un joueur de hockey talentueux. Il était un ambassadeur et un modèle pour les jeunes.

Après sa retraite, ce dernier a continué à travailler avec l’organisation du Canadien de Montréal en plus d’être impliqué de près dans diverses organisations caritatives. Il représentait toujours une figure emblématique de l’organisation.

Au-delà de ses accomplissements sportifs, Guy Lafleur était un homme apprécié pour sa gentillesse, sa simplicité et son ouverture. Il a toujours su garder une attitude humble et généreuse envers les partisans qui l’ont idolâtré tout au long de sa carrière. 

Rappelons que le Démon blond est né le 20 septembre 1951 à Thurso et qu’il est malheureusement décédé des suites d’un cancer du poumon le 22 avril 2022.

Évidemment, son nom restera à jamais associé à celui du Tricolore. Il demeurera, sans doute, un symbole de talent, de détermination et de passion pour le hockey. Malgré le fait qu’il soit d’une autre génération, sa mémoire continuera, sans doute, d’inspirer les générations futures de hockeyeurs.

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Une autoroute québécoise serait renommée en l’honneur de Guy Lafleur

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Dominique Ducharme se retrouve du boulot

Bien qu’il ait participé à la finale de la Coupe Stanley avec le Canadien, le séjour de Dominique Ducharme comme entraîneur fut de courte durée .

Depuis l’été de 2021, il n’occupait pas de poste dans le monde du hockey mais ça vient de changer.

Comme le rapporte nos collègues de Dans Les Coulisses, l’équipe de Saint-Jérôme dans le Junior AAA s’est assurée les services de Dominique Ducharme en tant que conseiller-mentor. Il s’agit d’un retour dans la LHJAAAQ pour Ducharme, qui a été entraîneur de l’Action de Joliette de 2004 à 2008.

Le rôle de M. Ducharme risque toutefois d’être effacé, car il est toujours sous contrat avec le Canadien de Montréal, jusqu’à la fin de la saison 2024.

Dans ses nouvelles fonctions, il guidera et solidifiera le développement de la nouvelle équipe d’entraîneurs des Panthères de Saint-Jérôme.

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Samuel Montembeault fait un important commentaire en lien avec la prochaine saison du Canadien

Le Canadien de Montréal a terminé au 28e rang du classement général cette saison. 

Il s’agit d’une position favorable lors de la prochaine loterie, alors que l’organisation montréalaise figure dans le top 5 des clubs qui ont le plus de chance de mettre la main sur Connor Bedard

Les prochaines semaines pourraient avoir un gros impact sur la campagne 2023-24.

Bien évidemment, un Connor Bedard serait un ajout majeur pour la troupe de Martin St. Louis

Sans oublier Adam Fantilli, qui est loin d’être un mauvais choix advenant que Montréal obtienne le 2e choix. 

Kent Hughes
aura également plusieurs décisions importantes à prendre et il sera intéressant de voir les futurs changements dans la formation. 

Sur les ondes de BPM Sports, le gardien Samuel Montembeault a fait une importante déclaration en mentionnant que selon lui, le Tricolore peut se battre pour une place en séries éliminatoires dès l’an prochain.

Qu’en pensez-vous ?

Cliquez sur le lien plus bas pour entendre ses propos : 

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