Un écolier qui transporte son repas dans un sac de papier brun s’exposerait à certains risques. Une récente étude de L’University of Texas fait état d’un danger pour la santé quant à 90 % des aliments périssables contenus dans ce type de sac.
La forte chaleur et le beau temps des derniers jours nous poussent à profiter de différentes activités extérieures. Très souvent, les enfants se rendent jusqu’à la déshydratation avant que l’on ait pu se rendre compte qu’ils manquaient de liquide.
Si vous croyez que votre enfant est en train de se déshydrater, ou qu’il est rendu à un stade de déshydratation avancée, la première chose à faire est de lui donner de l’eau. En guise de prévention, on boit beaucoup de liquide durant nos activités familiales extérieures.
Des experts de l’Institut national de la santé infantile et du développement humain, aux États-Unis, ont émis des mises en garde publiques quant à ce syndrome.
La majorité des cas de mort subite se produisent lorsque le poupon est âgé de deux à quatre mois.
Nous pouvons lire dans Health Day l’explication de cette sortie. Le Dr Alan Guttmacher, directeur de l’Institut, rappelle de ne pas trop habiller le bébé et de laisser sa chambre à une température confortable pour un adulte.
Il rappelle, d’autre part, que la meilleure façon d’abaisser le risque de mort subite est de coucher le poupon sur le dos durant ses siestes et pendant la nuit.
En plus de ces mesures de prévention, il suggère fortement aux parents de placer l’enfant sur un matelas bien ferme et approuvé pour sa sécurité. Il faut aussi retirer du lit tous les coussins, oreillers et jouets.
Bien sûr, le Dr Guttmacher demande aux parents de ne jamais fumer en présence de l’enfant.
Le thé trop chaud… dangereux?
Des chercheurs associés à l’Université de Téhéran, en Iran, recommandent de laisser refroidir le thé avant de le boire puisque si la chaleur est trop intense, le risque de cancer de la gorge augmente.
Selon l’auteur principal, le Dr Reza Malekzadeh, boire du thé ayant une température de 70 degrés Celsius fait multiplier par huit l’incidence de ce type de cancer. Le chercheur recommande plutôt d’ingérer la boisson à 65 degrés afin que ce soit sans danger.
Le scientifique a comparé le risque chez 300 adultes souffrant de cancer et 571 autres en bonne santé, tous originaires de la province de Golestan en Iran, là où le taux de cancer de la gorge est très élevé.
Chaque année, on évalue que 500 000 décès dans le monde sont causés par ce type de cancer, dont le taux de survie après cinq ans est de 12 à 31 %.
Santé Canada vient d’approuver la mise en marché au pays de l’Activelle (oestradiol et acétate de noréthindrone), le premier médicament combinant l’estrogène et un progestatif en mesure de traiter l’un des effets indésirables de la ménopause, les bouffées de chaleur.
« Si la ménopause cause des symptômes modérés ou sévères à une femme, elle devrait consulter son médecin pour savoir si une hormonothérapie lui conviendrait », suggère la Dre Céline Bouchard, gynécologue et professeure agrégée de clinique à l’Université Laval.
« De nouvelles options thérapeutiques à faible dose ayant des effets secondaires minimes peuvent soulager efficacement les symptômes reliés à la ménopause et permettre aux femmes de prendre en main leur santé et de vivre leur vie », précise-t-elle.
La maladie cutanée est causée par un champignon qui croît plus rapidement sous le soleil, avec la chaleur et en milieu humide.
Le pityriasis versicolor laisse des taches sur la peau, principalement au niveau du haut du dos et du thorax. Celles-ci sont provoquées par la levure dont le développement est optimal en milieu humide, comme sous la crème, et là où il y a transpiration.
Ce problème de peau cause des démangeaisons et a tendance à s’étendre. L’application d’un shampooing dermatologique contre les champignons est nécessaire dans le traitement de cette maladie cutanée qui récidive souvent l’été. Pour les cas particulièrement récurrents, des comprimés peuvent être prescrits.
Selon les spécialistes, certains foyers invisibles de la maladie seraient à l’origine de la réapparition du pityriasis versicolor.