Catégories
Potins

Susan Sarandon et David Bowie ont déjà été amoureux

En 1983, alors qu’ils étaient les vedettes du film The Hunger, Susan Sarandon et David Bowie ont eu une liaison amoureuse « secrète ».

Leur aventure se serait terminée, car Susan Sarandon, aînée d’une famille de neuf ans qu’elle a maternés plus d’une fois, ne voulait pas d’enfants à l’époque.

Finalement, l’actrice de Thelma and Louise sera finalement devenue maman malgré elle en 1985, alors qu’elle tombait enceinte du cinéaste italien Franco Amurri. Elle a ensuite rencontré sur le plateau de Bull Durham l’acteur Tim Robbins, avec qui elle a eu deux fils.

De son côté, David Bowie a également rencontré quelqu’un avec qui il partage sa vie depuis de nombreuses années. Il est marié avec Iman depuis 1992, et ils ont eu une fille.

À 67 ans, Susan Sarandon semble encore admirer en quelque sorte celui qu’elle a déjà aimé. Au journal The Daily Beast, elle a dit : « Bowie… Ouais. Ça vaut la peine de l’idolâtrer. C’est extraordinaire. C’était une période intéressante. Bowie était vraiment intéressant et si lumineux. Il est talentueux, c’est un peintre, et il est formidable ».

L’actrice sera bientôt à l’affiche du film The Last of Robin Hood, qui raconte l’histoire d’amour entre un homme de 48 ans et une adolescente de 15 ans.

Catégories
Uncategorized

Le champignon shiitake en prévention du VPH et du cancer?

Le champignon shiitake pourrait-il permettre de contribuer à la prévention et au traitement du VPH et du cancer cervical? C’est la conclusion qui semble ressortir d’une étude américaine rapportée par le Daily Mail (UK), voulant que l’aliment en question puisse carrément détruire le virus du papillome humain (VPH).

Un effet qui aurait également le grand avantage de prévenir du cancer cervical souvent associé au VPH, comme plusieurs cas et recherches l’ont démontré au cours des dernières années.

Hautement contagieux, le VPH fait des siennes chez les femmes depuis un bon moment maintenant, et l’annonce d’un possible traitement à l’aide d’extraits de champignon shiitake s’avère une bonne nouvelle, quasi miraculeuse.

Des essais sur des souris ont démontré l’impact du champignon sur la destruction du virus, sur une période de 90 jours.

« Les résultats de cette étude ont été vraiment encourageants », lance la Dre Judith Smith de l’Université du Texas.

D’autres recherches et essais sont attendus sur le sujet, mais les résultats préliminaires permettent de croire à un nouveau traitement possible du VPH.

Les conclusions de l’étude ont été présentées lors du 45e Annual Meeting on Women’s Cancer de la Society of Gynecological Oncology, du côté de Tampa en Floride.

Catégories
Uncategorized

Les champignons aussi efficaces que les suppléments de vitamine D

Voici une autre bonne nouvelle pour ceux qui cherchent à éviter la prise de suppléments alimentaires, une mode de plus en plus décriée par plusieurs spécialistes.

Dans le cas d’une carence en vitamine D, une nouvelle étude en provenance de Boston prône les vertus des champignons, qui pourraient bien s’avérer tout aussi efficaces que les suppléments, selon Science Daily.

Ces conclusions, qui seront dévoilées en entier lors du prochain congrès annuel de l’American Society for Biochemistry and Microbiology, semblent incontestables.

La vitamine D, on le rappelle, est primordiale à la santé des os et des muscles, en plus d’être une alliée dans la prévention de l’ostéoporose, notamment.

Bien sûr, les gens qui détestent les champignons peuvent toujours se tourner vers les suppléments, mais on rappelle l’importance de consulter un médecin avant de commencer à consommer des compléments alimentaires.

Les apports en vitamines et minéraux devraient, idéalement, provenir d’un régime alimentaire équilibré.

Catégories
Uncategorized

Cueillir des champignons peut être dangereux pour la santé

(AFP) – Avant même d’arriver dans l’assiette, le champignon peut être dangereux pour la santé. Cette saison encore, pompiers et gendarmes multiplient les interventions lourdes au secours de cueilleurs de cèpes et de girolles qui se perdent, se blessent et, occasionnellement, se tuent.

Depuis le début de l’automne, et sans parler des intoxications alimentaires qui ont tué deux consommateurs à Lyon en octobre, les accidents impliquant des cueilleurs, pour la plupart âgés, ont mobilisé d’importants moyens humains et matériels.

« Plus les gens sont fragiles, plus les conditions météorologiques sont défavorables, plus le relief est escarpé, plus ils prennent de risques », souligne un pompier du Tarn-et-Garonne.

Si les accidents mortels restent rares, la saison des champignons, généralement de septembre à mi-novembre, met à l’épreuve le sens du devoir et de la pédagogie des services de secours, qui ne se lassent pas d’appeler à la prudence.

D’après le Dr Eric Pohlmann, responsable du service des urgences de Foix-Lavelanet et du SAMU de l’Ariège, les deux types de problèmes rencontrés par les cueilleurs sont les mêmes que pour toutes les activités de plein air. D’une part, il y a les victimes d’accidents classiques et d’autre part, ceux qui souffrent de problèmes cardiaques et qui font un infarctus.

« De plus en plus de personnes d’un certain âge se retrouvent à gambader au dessus de 1500 mètres et ont des douleurs thoraciques en redescendant », dit-il, expliquant qu’il y a chaque année une dizaine de décès toutes activités confondues en montagne, et de 60 à 70 accidents graves dans son seul département.

Les secours détaillent un certain nombre de précautions élémentaires, les mêmes que pour la randonnée : ne pas partir seul ni trop tard, indiquer à ses proches l’endroit où l’on compte partir, avoir un téléphone portable voire un GPS, être bien chaussé, avoir des vêtements chauds et un vêtement de pluie, de la nourriture et de l’eau, une lampe….

Catégories
Uncategorized

Nous respirons des milliers des champignons par jour

Des chercheurs allemands viennent de découvrir que la quantité et la diversité des champignons qui flottent dans l’atmosphère sont beaucoup plus importantes qu’on ne le croyait. Chaque fois que nous respirons, nous inhalons en moyenne de 1 à 10 spores fongiques.

Ces données recueillies par l’Institut Max Planck sont importantes, car certains champignons déclenchent des allergies ou des maladies et nuisent aux plantes, en plus de jouer un rôle dans la formation des nuages.

Les chercheurs ont collecté des échantillons de matière particulaire fine et grossière qui flotte dans l’air pendant un an et ont ensuite identifié les espèces fongiques. Dans chaque mètre cube d’air, il y a en moyenne 1 000 à 10 000 champignons.

Cette découverte aura sans doute des incidences sur différents domaines comme la médecine humaine et animale, l’environnement et l’agriculture. On pourrait même en arriver un jour à utiliser les spores fongiques pour déclencher des précipitations en cas de nécessité.

Catégories
Uncategorized

Les vertus du thé vert et des champignons

Une recherche menée auprès de plus de 2 000 Chinoises par la Dre Min Zhang, de l’Université Western Australia à Perth, démontre qu’une alimentation riche en thé vert et en champignons préviendrait le cancer du sein.

Selon la scientifique, 10 grammes ou plus de champignons frais consommés quotidiennement diminuent de près de 66 % le risque de ce type de cancer, comparativement aux femmes qui n’en mangent jamais.

Quant au thé vert, l’incidence de cancer du sein chute de 11 à 18 % chez les patientes friandes de la boisson.

« Malgré ces résultats, il est encore trop tôt pour que les femmes concluent que leur alimentation leur permettra d’éviter le cancer », a mis en garde la chercheuse, dont la recherche est publiée dans International Journal of Cancer.

Catégories
Uncategorized

Un champignon contre le cancer de la prostate

Une récente étude publiée dans la revue Molecular Biology Report dévoile les vertus d’un champignon rare, que les Chinois utilisent depuis des siècles dans la médecine traditionnelle.

Les scientifiques ont identifié une molécule contenue dans ce champignon, le reishi ou Ganoderma lucidum, qui favorise la lutte contre « la prolifération des cellules cancéreuses » de la prostate.

Selon le docteur Ben Zion Zaidman, le reishi agit sur les « récepteurs androgènes qui jouent un rôle central dans le développement de cette forme de cancer à son stade initial ».

Bien que son origine remonte à plusieurs siècles, ce n’est que depuis les années 1970 que des chercheurs japonais ont réussi à cultiver le reishi qui préfère se développer sur des arbres en décomposition comme les pruniers sauvages ou les chênes.

Cette percée médicale laisse donc entrevoir une lueur d’espoir pour le traitement de ce type de cancer qui touche annuellement 543 000 hommes à l’échelle mondiale.