Les Bruins de Boston étaient au BB&T Center de Sunrise pour affronter les Panthers vendredi soir.
Après avoir mené 3-1 dans la série, la bande de Patrice Bergeron tentait de nouveau d’éliminer les Panthers.
Le défenseur Brandon Montour a ouvert la marque après seulement deux minutes en première période.
Puis, Tyler Bertuzzi a rapidement créé l’égalité, mais Matthew Tkachuk a redonné l’avance aux locaux.
David Pastrnak a ramené tout le monde à égalité en début du second engagement.
La Floride a de nouveau repris les devants 3-2 grâce au capitaine Aleksander Barkov.
Comme il l’avait fait plus tôt dans la rencontre, Tyler Bertuzzi a inscrit son deuxième but pour amener le pointage à 3-3.
C’est ensuite qu’on assiste à un duel hallucinant ! David Pastrnak donne l’avance aux Bruins, mais Zac Dalpe réplique immédiatement.
Jake DeBrusk redonne l’avance aux Bruins trois minutes plus tard, mais Matthew Tkachuk crée encore l’égalité 27 secondes plus tard !
Après seulement quelques minutes, Eetu Luostarinen marque le but qui allait s’avérer être le plus important et Sam Reinhart a complété dans un filet désert pour permettre officiellement aux Panthers de l’emporter 7-5.
On peut sentir la panique qui augmente de minute en minute du côté de Boston et les fans passent un important message à Jim Montgomery : ils veulent que Jeremy Swayman obtienne le départ pour le match ultime.
Pensez-vous que le coach changera son portier pour le match numéro 7 ?
Il faut avouer que les récentes performances de Linus Ullmark ne sont pas rassurantes.
Voyez quelques commentaires plus bas tirés de la page Facebook des Bruins :
Cette saison, les Bruins de Boston ont pulvérisé un vieux record du Canadien de Montréal avec une récolte de 65-12-5 pour un total de 135 points en 82 rencontres, le plus haut total de points jamais récolté auparavant dans la LNH.
Depuis 2011, les Bruins totalisent une Coupe Stanley ainsi que 2 autres présences en grande finale.
Il y a quelque chose de frappant lorsqu’on compare les rivaux de Boston et de Montréal : deux clubs qui trouvaient chacun leur joueur de concession au début des années 2000, mais des chemins qui sont ensuite devenus bien différents.
Le 22 juin 2003 à Nashville, Mike O’Connell frappait un coup de circuit énorme en sélectionnant le jeune Patrice Bergeron au 45e rang.
NHL.com
La saison précédente, Boston s’était qualifié de justesse pour les séries éliminatoires, tout juste devant Montréal qui affichait quelques points en moins.
Au terme de la saison, Bob Gainey arrivait en poste comme DG du Tricolore, succédant à André Savard.
Toujours au repêchage de 2003, il avait tourné son choix vers Andrei Kostitsyn au 10e rang.
En 2005, c’était au tour du Canadien de trouver son joueur de franchise en sélectionnant Carey Price au 5e rang.
Dès sa saison recrue, le portier est tout simplement fumant, amenant son club au sommet de l’Est avec 104 points en 82 matchs.
En 2006, Boston frappe fort au repêchage en tournant ses choix notamment vers Phil Kessel, Milan Lucic et un certain Brad Marchand. De l’autre côté, Montréal fait un repêchage épouvantable, sélectionnant David Fischer au premier tour.
L’année suivante, en 2007, les deux clubs inversent les rôles alors que Ryan McDonagh, Max Pacioretty et PK Subban s’amènent dans la belle province. De l’autre côté, la cuvée 2007 des Bruins est horrible et ils sélectionnent Zach Hamill au 8e rang.
Là où les choses deviennent particulièrement intéressantes, c’est qu’une personne en particulier est venue faire une différence énorme entre le destin des deux clubs : Jeff Gorton.
Alors que Mike O’Connell s’était fait montrer la porte, Gorton s’était vu confier les reines du club en attendant la nomination de Peter Chiarelli.
C’est lui qui avait fait tout le travail pour amener Zdeno Chara et Marc Savard chez les Bruins, eux qui étaient agents libres.
En analysant la suite, on réalise plusieurs facteurs intéressants et je pense que l’organisation montréalaise se doit absolument de regarder vers le passé pour mieux bâtir vers l’avenir.
Je pense qu’on peut s’entendre en disant qu’autant Price que Bergeron ont tenu leur club sur les épaules.
Toutefois, les Bruins sont parvenus à trouver d’autres joueurs qui ont le logo de l’équipe tatoué sur le cœur, notamment Brad Marchand et Zdeno Chara, qui est demeuré pendant très longtemps avec l’organisation.
Le Canadien était parvenu à trouver ses deux piliers en Brendan Gallagher et Andrei Markov. Toutefois, le premier n’a encore que 30 ans et peine à suivre le rythme tandis que le second a été traité de façon douteuse par l’organisation.
Pendant que Tyler Seguin, Dougie Hamilton, David Pastrnak, Jake DeBrusk et Charlie McAvoy s’amenaient à Boston, Montréal multipliait les échecs aux repêchages, parvenant tout de même à soutirer Brendan Gallagher, Alex Galchenyuk, Artturi Lehkonen et Mikhail Sergachev de 2010 à 2016.
Une différence énorme, mais surtout, une erreur énorme de Marc Bergevin d’avoir ensuite échangé Sergachev au Lightning.
Il y a donc deux choses importantes qui expliquent notamment pourquoi les Bruins sont demeurés compétitifs pendant si longtemps alors que le Canadien est en plein virage jeunesse :
– Ne pas avoir été capable de conserver les joueurs en leur donnant l’ADN du club – Multiplier les échecs pendant 6 années consécutives au repêchage
Autre remarque frappante :
De l’édition 2010-11 du Canadien, un seul joueur est encore actif dans la LNH en Lars Eller alors que Carey Price et Max Pacioretty risquent de ne jamais revenir.
De l’édition 2010-11 des Bruins, six joueurs sont encore actifs dans la LNH et trois évoluent encore sous les couleurs des Bruins : David Krejci, Patrice Bergeron et Brad Marchand (ainsi que Milan Lucic, Blake Wheeler et Tyler Seguin).
Si vous pensez que c’est parce que le Canadien avait un club beaucoup plus vieux, c’est faux. La moyenne d’âge était similaire et les deux misaient sur 10 joueurs de 30 ans ou plus.
En espérant que la suite tournera à l’avantage du Tricolore !
Le Centre Vidéotron vient tout juste de prendre une importante décision, mais celle-ci prouve également que le retour des Nordiques risque d’être encore bien loin.
L’espace qui était prévu pour la future boutique LNH sera officiellement transformé en restaurant.
La Ville de Québec a accepté de signer l’autorisation pour effectuer le changement.
Il s’agit donc d’une nouvelle qui n’est certainement pas positive pour le retour des Nordiques de Québec.
Depuis quelques semaines, une rumeur circule dans la LNH comme quoi la ligue envisagerait de faire une autre expansion de deux clubs.
Québec, Houston et Atlanta seraient parmi les villes en liste.
Une véritable catastrophe vient tout juste de se confirmer du côté de l’Avalanche.
Le capitaine du club, Gabriel Landeskog, sera absent pour la totalité des séries éliminatoires 2023.
Il n’a pas joué aucun match pendant la saison 2022-23 alors qu’il avait été un élément important de la conquête de la Coupe Stanley l’an dernier, récoltant 11 buts ainsi que 22 points en 20 rencontres.
La bande de Nathan MacKinnon avait bon espoir qu’il puisse revenir au jeu pour la grande danse printanière.
Les Flyers de Philadelphie sont au Centre Canadian Tire pour affronter les Sens ce soir à Ottawa.
Au moment d’écrire ces lignes, les visiteurs tirent de l’arrière par la marque de 1-0.
Austin Watson a été l’unique marqueur avec son 9e but de la campagne.
Avant la rencontre, John Tortorella a annoncé qu’il ne serait pas derrière le banc des siens pour le match.
Sur Twitter, la journaliste Giana Han a publié de nouveaux détails pour expliquer la situation (en anglais) :
« John Tortorella ne sera pas derrière le banc ce soir pour PHI @ OTT. Brad Shaw dirigera le banc.
Tortorella a décidé de regarder depuis la tribune de presse avec Danny Brière pour 1) avoir la perspective de regarder d’en haut et 2) donner à Shaw la chance d’entraîner le banc. »
Les bouteilles de Pepsi auront bientôt un tout nouveau look. L’entreprise a changé son logo en s’inspirant de ce qu’elle projette chez ses clients, rapporte l’Agence QMI.
L’entreprise a demandé à des gens du public de dessiner le logo de Pepsi en se basant uniquement sur leur mémoire. C’est là que plusieurs clients ont écrit le mot « Pepsi » dans un cercle rouge, blanc et bleu, a fait savoir CNN Business, plus tôt cette semaine.
Mais ce logo était utilisé notamment entre 1950 et 1986, et par la suite entre 1987 et 1997.
« Nous ne pouvions pas ignorer ce genre d’idées. Au lieu de le rejeter, nous avons décidé de l’adopter », a annoncé le directeur de la conception de PepsiCo Mauro Porcini, en entrevue à CNN.
Rappelons que, depuis 1998, le mot « Pepsi » n’est plus au milieu du cercle tricolore, mais à l’extérieur.
Le directeur marketing de Pepsi, Todd Kaplan, a décrit le nouveau logo de la marque comme « audacieux et confiant ». Il fait un clin d’oeil à celui des années 1990, dont tous les buveurs de soda se souviennent. Toutefois, la police de caractère a été mise à jour.
Voici quelques images tirées du compte Instagram de la compagnie:
Pepsi, la célèbre boisson gazeuse, a vu le jour en 1898 aux États-Unis. C’est Caleb Bradham, un pharmacien de Caroline du Nord, qui a créé la recette originale du Pepsi-Cola. Initialement nommé « Brad’s Drink », la boisson était conçue pour soulager les maux d’estomac et les problèmes de digestion.
La recette originale comprenait du sucre, de l’eau gazeuse, du jus de citron et des huiles aromatiques. Le nom de « Pepsi » a été créé peu après, une contraction de la phrase « dyspepsia », en référence aux problèmes liés à la digestion.
Le Pepsi a connu un grand succès local et a rapidement été distribué dans les distributeurs automatiques. En 1931, la société a lancé une campagne publicitaire ambitieuse avec un slogan qui est resté célèbre dans le monde entier : « Twice as Much For a Nickel » (le double pour un nickel). Cette campagne publicitaire a été couronnée de succès et a aidé Pepsi à concurrencer Coca-Cola.
Au fil des années, le Pepsi-Cola est devenu une marque emblématique, avec des publicités populaires mettant en vedette des célébrités comme Britney Spears, Michael Jackson et Beyoncé. La marque a également lancé de nouvelles saveurs, comme Cherry Pepsi et Pepsi Max.
Au fil du temps, Pepsi a élargi sa gamme de produits pour inclure des boissons gazeuses light, des boissons énergétiques et des jus de fruits. Elle a également acquis des marques populaires comme Gatorade, Tropicana et Quaker Oats.
Aujourd’hui, Pepsi est une entreprise mondiale avec des millions de consommateurs dans le monde entier. Cependant, malgré son succès, Pepsi reste en concurrence directe avec son rival intemporel et légendaire : Coca-Cola.
La spécialiste du sommeil et fondatrice de Bedaine Urbaine, Marie-Pier Villeneuve, nous dévoile des astuces pour faciliter la transition du sommeil en lien avec le changement d’heure.
Comme Marie-Pier le souligne, le changement d’heure peut affecter certains enfants, au même titre que les phénomènes divers de la régression du sommeil que l’on peut constater chez les 0 à 5 ans.
Voici quelques-uns de ses conseils fortement appréciés!
Remettre son enfant sur le bon fuseau:
«Idéalement, pour remettre ton enfant sur le fuseau de l’heure d’hiver, tu peux essayer d’étirer l’heure du dodo de 5-10 minutes aux 2-3 jours afin de l’amener à son heure habituelle de dodo.»
«La pire chose à faire serait sans aucun doute d’y aller all in en essayant de le coucher à la même heure, soit 19h dans ce cas-ci. Pourquoi? Parce que le coucher au nouveau 19h, qui est 20h en heure d’été, ne fera que compliquer les choses. Le premier endormissement sera plus difficile parce que tu auras un bébé trop fatigué pour gérer ses émotions, car il se couche une heure plus tard selon son horloge circadienne d’été. Un enfant trop fatigué a de la difficulté à trouver le sommeil. De plus, tu risques d’avoir une nuit mouvementée parce que le sommeil paisible n’est possible qu’avec un bébé au sommeil suffisant. Donc, c’est quasiment le fail assuré. Tu peux l’essayer, mais tu te rendras compte assez rapidement de qui mène chez vous…»
En ce qui concerne les siestes de vos petits monstres:
«Pour les siestes, c’est la même chose. Essaie d’y aller progressivement et de garder les mêmes heures d’éveil moyen par tranche d’âge entre les siestes plutôt que de te fier sur l’heure de l’horloge, histoire de t’assurer d’être dans la bonne fenêtre d’endormissement. Aussi, le manque de lumière joue un rôle très important sur l’humeur des enfants (et adultes!), mais aussi sur la mélatonine, l’hormone naturelle du sommeil qui fonctionne avec la luminosité. Donc, en période hivernale, essaie de profiter le plus possible de la lumière du soleil pour un maximum de vitamine D.»
Bedaine Urbaine a pondu deux livres sur le sujet du sommeil de nos enfants afin de faciliter notre quotidien, soit un TopTop Book pour les 0 à 18 mois et l’autre pour les 18 mois à 5 ans.
La dynamique jeune femme s’est également rendue sur plusieurs plateaux cette fin de semaine, afin de parler de l’effet boomerang du changement d’heure. Elle était notamment de passage sur celui de Salut Bonjour.
La star de The Revenant propose un aperçu de son film documentaire s’attardant aux changements climatiques et aux conséquences possibles de ces derniers.
Intitulé Before the Flood, le film propose notamment l’acteur dans ses nombreux voyages à travers le monde pour constater les dégâts et sensibiliser aux changements climatiques.
« On sait tout ça depuis des décennies, depuis 50 ans … et le problème ne semble que s’empirer », lance dès le début de la bande-annonce un Leonardo DiCaprio inquiet.
Le documentaire est produit en collaboration avec National Geographic, et réalisé avec la participation de l’acteur et réalisateur Fisher Stevens.
Une sortie en salles est prévue pour Before the Flood. Le film sera présenté en sortie limitée dans certaines salles le 21 octobre prochain. Puis, le 30 octobre, il sera possible d’assister au lancement du documentaire sur la chaîne officielle de National Geographic.
Après les départs de Fred Dubé et de Christian Bégin, volontaires ou non, et quelques changements à la formule, le jeu de la chaise musicale se poursuit pour Les échangistes.
Cette fois, Pénélope McQuade s’attaque de nouveau à la formule de l’émission en proposant une entrée des invitées en solo, rapporte Richard Therrien de La Presse, une manœuvre visant à améliorer la fluidité des échanges.
Toutefois, on proposera « l’ancienne formule » selon le type d’invités, comme quoi aucun changement n’est véritablement coulé dans le béton.
Visiblement, on assiste à un laboratoire télévisuel avec Les échangistes.
Et pourquoi pas? Malgré les critiques et les nombreux changements (de personnel ou de formule), Pénélope McQuade a possiblement sous la main un nouveau concept d’émission, qui devient malléable au gré des requêtes du public et des observateurs.
Malgré tout ce qui a été dit sur Les échangistes et après moult revirements, notons que Pénélope McQuade obtient sensiblement les mêmes chiffres qu’avec son ancienne émission qui portait son nom.
Toujours selon La Presse, Les échangistes aurait profité de près de 380 000 auditeurs en moyenne, du lundi au jeudi, la semaine dernière.
Les échangistes est présenté à ICI Radio-Canada Télé, à 21H.
