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Les Prix Aurore récompensent le cinéma québécois

C’est hier soir (10 mars) qu’avait lieu le 5e gala des Prix Aurore au Cinéma Rialto de Montréal. 

Le gala devait initialement être animé par Jean-René Dufort, mais celui-ci étant en convalescence, c’est Chantal Lamarre qui a présidé la soirée aux côtés de MC Gilles.

Durant ce gala, quelque treize prix ont été remis en ondes. Ceux-ci ont été attribués par un jury qui était composé de critiques de cinéma.
 
Le prix La farme-tu-ta-yeule, remis pour les pires répliques de l’année, a été attribué au film Le poil de la bête.
 
Pour ce qui est du pire accessoire de l’année, c’est la coquille de Guy A. Lepage, dans le film L’appât, qui a remporté le prix.
 
Alain Crête et François Gagnon, du film Lance et compte – Chaque dynastie a sa tragédie, ont reçu le prix Garde-donc ta job de jour, remis à la personne qui ne devrait pas réorienter sa carrière dans le cinéma.
 
Le prix de la meilleure pire scène de 2010 a été remis au film Filière 13 pour la scène de Jean-François (Guillaume Lemay-Thivierge) qui se fait passer pour un homme de ménage.
 
Les prix Aurore liquid paper féminin et masculin, remis à l’acteur et à l’actrice qui devraient faire disparaître de leur CV le film dans lequel ils ont compromis leur carrière cette année, ont été donnés à Anik Jean pour le film Filière 13 et aux acteurs Guy A. Lepage et Rachid Badouri pour le film L’appât.

Finalement, le prix Aurore du meilleur pire film a été remis à Le poil de la bête, un film de Philippe Gagnon.