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Exposition aux allergènes, une bonne façon de protéger bébé

Contrairement à notre obsession des dernières décennies qui consiste à protéger nos jeunes d’à peu près tous les germes environnants, la meilleure façon de faire demeure l’exposition.

Les chercheurs du John Hopkins Children’s Center de Baltimore, menés par le Dr Robert Wood, ont eux-mêmes été surpris. « Notre résultat est à l’opposé de ce à quoi nous nous attendions », a déclaré Wood à NBC News.

Parmi les 467 nouveau-nés suivis pendant 3 ans, il s’est avéré que ceux évoluant au sein de familles qui évitaient tout contact avec des germes ou des allergènes avaient un risque plus élevé de développer de l’asthme.

En effet, le groupe des bébés exposés à la poussière ou à d’autres types d’allergènes, notamment les chats, souris et cafards, présentait moins souvent des respirations sifflantes, signe précurseur de l’asthme.

Cette exposition aux différents allergènes serait cruciale pendant la première année de vie de l’enfant.

Les chercheurs suggèrent donc aux parents d’éviter la paranoïa de la propreté et, si possible, de laisser les enfants côtoyer des animaux domestiques.

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Des animaux de compagnie qui nuisent au sommeil

Nos petits amis à poils et à plumes pourraient être la cause de sérieux problèmes de sommeil, selon une étude rapportée par Top Santé.

Des chercheurs de la Clinique Mayo ont évalué l’impact des animaux de compagnie sur la qualité du sommeil, et estiment que plus une personne possède d’animaux, plus elle risque de nuire à la qualité de ses nuits.

Selon les données de l’étude, qui analyse les réponses de 110 patients en consultation pour des troubles du sommeil, 46 % d’entre eux possèdent un animal de compagnie, et 42 % plus d’un animal.

« Les patients reçus en consultation se plaignent le plus fréquemment des ronflements de leurs animaux, mais aussi de leurs cris, notamment lorsqu’ils veulent sortir, jouer ou tout simplement lorsqu’ils s’ennuient. Cela cause une perturbation du sommeil, bien sûr, mais aussi de l’irritabilité chez les sujets », signale par ailleurs Dre Loïs Krahn, une psychiatre de la Clinique Mayo.

Cependant, on ne peut jeter l’entièreté du blâme sur ces petites bêtes, puisqu’il est important que le maître prenne ses responsabilités et éduque adéquatement son animal de compagnie, estiment les chercheurs.

Les données de cette étude ont été présentées devant les spécialistes réunis au 29e Congrès annuel de la société des professionnels du sommeil.

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Quoi faire lorsque votre enfant est allergique à votre animal de compagnie

En plus, Top Santé mentionne que l’allergie aux animaux arrive au 3e rang des allergènes les plus fréquents. Votre enfant peut manifester une réaction non seulement en flattant l’animal, mais en entrant en contact avec les peaux mortes, la salive, les poils et l’urine.

Or, ceux-ci peuvent se retrouver partout dans la maison. Soyez donc attentif aux symptômes, surtout en ce qui a trait au chat. Celui-ci émet une protéine, appelée Fel d 1, qui se retrouve dans l’air, puis pénètre facilement les voies respiratoires.

Les principaux signes sont au niveau des yeux, du nez (démangeaison et écoulement) et de la difficulté à respirer, qui peut se transformer en asthme. Si vous notez ces réactions auprès de votre enfant, il vaut mieux lui faire passer un test concluant chez l’allergologue.

La solution évidente consiste à se débarrasser de l’animal, mais si l’allergie est supportable, il est possible de le conserver. Il faut cependant bloquer l’accès aux chambres des enfants, et ce, en tout temps.

Ensuite, assurez-vous de brosser l’animal fréquemment, à l’extérieur de la maison, puis préparez-vous à doubler vos efforts pour les tâches ménagères, surtout pour l’aspirateur.

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Quelques trucs pour habituer votre enfant aux animaux

Que ce soit pour les autistes, les personnes âgées, malades, seules ou anxieuses, les animaux de compagnies sont reconnus pour avoir un effet apaisant et amusant auprès de l’être humain.

Il y a plusieurs façons d’apprendre à votre enfant à apprécier la présence des animaux, sans les craindre. Mais ils doivent d’abord les respecter, comprendre que ce sont des êtres vivants qui peuvent être blessés ou souhaiter se défendre en présence d’une menace.

Afin de faciliter l’échange entre votre enfant et les animaux de compagnie :

1. Vous pouvez devenir famille d’accueil pour les animaux en transition dans les chenils, en attente d’adoption.

2. Devenez bénévole auprès de l’association de protection des animaux de votre région. Vous pouvez promener les chiens, nourrir les animaux et amener votre enfant.

3. Visitez une ferme locale pour habituer votre enfant aux soins à donner aux animaux, leur apprendre le nom de chacun, les nourrir et les flatter, lorsque possible.

4. Adoptez un animal de compagnie. Amenez votre enfant au chenil afin qu’il comprenne bien que la famille d’adoption est importante. Évitez d’encourager les animaleries.

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Premier cas de transmission de tuberculose du chat à l’homme

Première aussi insolite que terrifiante dans le monde médical, alors que Top Santé rapporte la première transmission recensée de la tuberculose du chat à l’homme.

Deux cas sont en fait rapportés, mais la transmission proviendrait du même chat, les deux victimes de cette première s’avérant les maîtres du félin en question.

Ces derniers seraient hors de danger et répondraient bien aux traitements offerts, selon les dernières informations. La porte est cependant ouverte pour d’autres cas du genre, un phénomène qui inquiète certains spécialistes.

« Davantage de cas de tuberculoses pourraient être observés dans le futur, en particulier chez des personnes immunodéprimées, jeunes ou âgées, si la transmission du chat à l’homme prenait de l’ampleur », explique le service de santé publique britannique (PHE).

On invite cependant la population européenne à rester calme et à ne pas se lancer dans une « chasse aux chats », le phénomène demeurant pour l’instant largement marginal.

D’autres détails sont à venir dans ce dossier, alors que la tuberculose effectue un étonnant retour dans l’actualité au cours des derniers mois et des dernières années.

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Un animal domestique pour les jeunes

Vous faites peut-être partie des milliers de parents s’étant fait demander un animal domestique pour Noël.

Vous savez qu’un animal est un être vivant qui requiert de l’attention, des soins et des dépenses. Mais qu’en est-il de vos jeunes? Alors que plusieurs jugent leurs enfants trop irresponsables pour en prendre soin, avoir un animal domestique pourrait les responsabiliser et leur apprendre beaucoup sur les bonnes valeurs.

Un article paru sur le site Lovingyourchild.com explique comment le fait d’avoir la responsabilité d’un animal peut bénéficier au développement de l’enfant.

Préparer les jeunes à un éventuel ami à poil en achetant, par exemple, une litière à l’avance, y verser un peu d’eau de temps à autre permet de voir si les enfants font un bon travail en la nettoyant assez régulièrement. Pour un chien, vous pouvez acheter les bols de nourriture et d’eau et les vider de temps à autre, afin de vérifier si les enfants vont remplir les contenants vides régulièrement.

L’Europeen Pet Food Industry, pour sa part, mentionne la grande quantité d’études qui démontrent que les enfants ayant la responsabilité d’un animal tendent à avoir une meilleure emprise sur certains concepts de la vie. Ils développent plus facilement de l’empathie en apprenant à être responsables du bonheur, de la santé et du comportement de leur animal, qui offre en retour amour et loyauté.

Jugez-vous vos enfants prêts?

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Ronron-thérapie : Le Café des Chats remporte un vif succès

« Prendriez-vous un CHAT avec votre café? », titre de façon adroite et rigolote le Daily News (UK), qui rapporte le succès monstre et étonnant du Café des Chats, nouvellement ouvert.

Le concept de ce café parisien est simple : ouvrir un café traditionnel, mais où les clients sont placés en présence de chats, leur permettant ainsi de bénéficier de tous les bienfaits thérapeutiques associés à la race féline.

En effet, quelques études récentes vantaient les mérites de ce qu’on appelle maintenant la « ronron-thérapie », et affirment que celle-ci permet de calmer le niveau de stress d’un individu, de faire baisser sa tension artérielle, et même de calmer la douleur, notamment celle liée aux problèmes d’arthrite.

La présence de chats aurait donc un impact sur plusieurs aspects de la santé, physique et psychologique, et les propriétaires du Café des Chats l’ont bien compris.

Ils n’avaient cependant sûrement pas prévu le degré de succès de leur concept, qui affiche complet jusqu’en novembre. Plus de 300 clients auraient même dû être refusés pour cause de manque de place!

Autre aspect intéressant, les chats « résidents » présents dans le café sont tous des rescapés d’un refuge pour animaux. Tout le monde y gagne, au Café des Chats!

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Vers un traitement des allergies aux chats?

Allergiques aux félins et amoureux des animaux, bonne nouvelle! Il y aurait de l’espoir en matière de traitement des allergies aux chats, rapporte Top Santé, alors que des chercheurs seraient parvenus à faire une percée convaincante.

C’est une équipe composée de chercheurs de trois universités différentes, soit de Cambridge, de Karolinska et du Massachusetts, qui affirment avoir mis le doigt sur l’origine du problème. Par conséquent, ces spécialistes semblent optimistes à l’idée de développer un traitement éventuel.

C’est du moins ce qui est rapporté dans le Journal of Immunology, qui publie les conclusions de l’équipe d’experts.

Ils ont d’abord constaté que les poils félins n’auraient rien à voir avec les allergies, mais que les éléments en cause seraient plutôt la salive, l’urine et la peau.

« C’est un grand pas en avant qui pourrait mener au développement de traitements capables d’empêcher l’organisme des allergiques de réagir si intensément aux pellicules de chat », lance la Dre Clare Bryant, auteure des  recherches.

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Les matières fécales des chats et votre santé

La toxoplasmose est une infection parasitaire dont l’agent est le protozoaire Toxoplasma gondii. Étant communément retrouvés dans les selles des chats, les gens y étant exposés courent des risques d’infection.

D’ailleurs, il est depuis longtemps recommandé pour les femmes enceintes et les gens ayant un système immunitaire affaibli de ne pas s’occuper des tâches reliées à la litière.

De récentes données indiquent que les félins déposent environ 1,2 million des tonnes de matières fécales dans l’environnement américain chaque année.

Sur NBC News, ces données obtenues lors d’une recherche menée par le Johns Hopkins University Medical Center rapportent que les œufs de parasites, appelés oocytes, peuvent être plus fréquents que ce que l’on croyait, avec de 300 et 434 oocytes par pied carré de sol, dans des endroits aussi divers que la Californie, la Chine, le Brésil, le Panama et la Pologne.

« Le problème est plus grave qu’on le croyait. Cela devrait soulever les préoccupations de santé publique sur le nombre de T. gondii oocytes qui sont distribuées dans l’environnement, d’autant plus que nous ne connaissons pas les limites de la viabilité des oocytes ou la véritable relation entre ces oocytes et les maladies de l’homme avec lesquelles ils ont récemment été associés », dit le Dr E. Fuller Torrey.

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Faire baisser les risques d’accidents cardiaques grâce aux animaux de compagnie

Amateurs d’animaux de compagnie, le fait de posséder un compagnon poilu pourrait bien avoir une incidence positive sur votre santé sans que vous le sachiez.

C’est que The National Library of Medicine rapporte une étude fort intéressante qui laisse croire que la présence d’un animal de compagnie dans une demeure peut faire baisser les risques de problèmes cardiovasculaires éventuels chez son propriétaire.

Publiées par l’American Heart Association, ces conclusions font également état d’une meilleure santé globale chez les propriétaires d’animaux de compagnie, qui afficheraient en moyenne des taux d’obésité, de mauvais cholestérol et de pression sanguine moins élevés.

« Posséder un animal, plus particulièrement un chien, est probablement associé avec une diminution des risques de maladies du cœur », lance le professeur Glenn N. Levine, de Houston.

On comprend donc que cette mention du chien fait référence au fait que le propriétaire d’un canidé doit le promener, et donc faire une certaine activité physique.

On parle également d’une réduction du stress et de l’anxiété, des facteurs de risque importants, chez tous les propriétaires d’animaux.