Des chercheurs, associés au U.S. National Cancer Institute aux États-Unis, prétendent que les femmes qui ont utilisé des colorants capillaires pendant des décennies ne sont pas plus à risque de développer un myélome, forme de tumeur composée de cellules de la moelle osseuse dont elle provient.
Depuis les années 80, plusieurs recherches laissaient entendre que les produits chimiques contenus dans ces produits capillaires étaient nocifs au point d’augmenter l’incidence de certains types de cancer.
Cette nouvelle recherche, menée auprès de 175 femmes atteintes de myélome et 679 autres en bonne santé, a réussi à prouver le contraire. Le risque de myélome ne peut être attribué à l’usage de colorants capillaires, peu importe le type de produits.