Quand deux pince-sans-rire se rencontrent, ça fait des flammèches! Vendredi soir, Vincent Vallières était de passage sur le plateau de Bonsoir Bonsoir. Pour son plus grand bonheur, Jean-Philippe Wauthier a assisté à un affrontement entre Serge Denoncourt et l’auteur-compositeur-interprète… et disons simplement que ça vaut le détour!
Si vous vous demandiez à quoi pouvait ressembler un Vincent Vallières fâché, vous avez eu droit à un petit aperçu. Ce dernier a tenu tête au croustillant chroniqueur de Bonsoir Bonsoir et ça n’avait aucun prix! Alors que l’artiste de 42 ans espère toujours avoir la chance de lancer sa prochaine tournée en janvier, en vue de la sortie de son nouvel album en février, Serge a tenu à l’avertir qu’il ne fallait pas trop espérer que ça se produise.
Après avoir affirmé qu’il n’avait pas peur du chroniqueur, Vincent lui a lancé avec sarcasme : « Merci! Je suis là! Quelque part, je me dis… On est juste avant Noël et j’essaie de vendre des tickets. C’est vraiment encourageant! T’as raison, tu ne devrais jamais l’inviter au début des blocs », a-t-il lancé en se retournant vers l’animateur avec un sourire.
« C’est moi, l’invité principal! Ce n’est pas toi. Toi, t’es chroniqueur! Moi, je suis l’invité principal de Bonsoir Bonsoir. Regarde le gros siège [sur lequel je suis assis], là! […] Non, je ne me tais pas, tu m’as envoyé ta petite vacherie », a soutenu l’interprète d’On va s’aimer encore devant le metteur en scène. « Peux-tu croire que c’est notre invité le plus récalcitrant avec ses petits yeux bleus et sa face d’enfant de cœur? Je ne peux pas croire », a finalement lancé Serge devant un Jean-Philippe Wauthier plié en quatre.
Afin de rendre le tout parfaitement hilarant, Vincent Vallières a finalement conclu la chronique de Serge Denoncourt en soufflant : « Il est vraiment temps que le théâtre recommence… » Outch! Voyez la vidéo de cette chronique épique juste ici.
En coulisses
En avril dernier, Vincent Vallières et sa fille nous touchaient en plein cœur avec une magnifique vidéo réconfortante.
