Plusieurs centres hospitaliers dans le monde sont aux prises avec le même problème : la bactérie C. difficile.
Le Québec ne fait pas exception, bien au contraire, alors que les statistiques concernant le C. difficile sont en hausse. Nombreuses sont les histoires de gens qui affirment être entrés à l’hôpital moins mal en point qu’une fois à l’intérieur des murs, justement à cause de ce virulent problème.
Les autorités de partout sont donc pressées de trouver des solutions, et des chercheurs néerlandais en ont peut-être trouvé une. En effet, santelog.com rapporte que les chercheurs croient que le meilleur ami de l’homme, le chien, pourrait encore une fois venir à sa rescousse.
C’est que selon eux, certains chiens seraient en mesure de flairer la présence du C. difficile en milieu hospitalier, et ce, avec une grande précision.
Ces conclusions ont été publiées dans la dernière édition du MBJ Open et parlent d’un taux de réussite de détection de la bactérie par des canins qui frôlerait la perfection.
Cliff, un beagle, est la star de cette recherche, lui qui aurait réussi à démontrer parfaitement la théorie des chercheurs, en « analysant » une salle complète d’hôpital en moins de dix minutes.
D’autres études sont à venir, mais on souhaite que ce procédé puisse devenir une solution viable contre le fléau C. difficile.