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Irresponsable, Tout le monde en parle?

Le passage de Josée Blanchette à l’édition de Tout le monde en parle diffusée dimanche (2 octobre) aura eu un puissant effet à retardement, rapporte La Presse.

L’invitée de Guy A. Lepage et Dany Turcotte a en effet soulevé des doutes quant aux vertus des traitements de chimiothérapie offerts aux patients atteints de cancer, ce qui a soulevé l’ire de plusieurs experts.

« Ce qu’on a entendu est extrêmement dommageable. Dans les cliniques, aujourd’hui, ça a été une réaction immédiate des patients. La chimio nous fait peur, c’est de la supercherie, pourquoi vous nous donnez ça? C’est ce qu’on a entendu. Je n’ai pas lu son livre et il est possible qu’il contienne des nuances. Le problème, c’est qu’hier [dimanche], il n’y avait aucune nuance, c’était un discours à sens unique… », aurait déclaré le Dr Denis Soulières à La Presse.

La voix du Dr Soulières se fait celle de 12 hématologues et oncologues, qui ont contribué à une lettre ouverte dénonçant les dommages des affirmations de Josée Blanchette.

Cette dernière n’avait pas hésité à affirmer que la chimiothérapie comportait des effets secondaires dangereux et que son efficacité pouvait être mise en doute.

Josée Blanchette vient de publier un livre intitulé Je ne sais pas pondre l’oeuf, mais je sais quand il est pourri.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Selena Gomez: Lupus et chimiothérapie

Il y a deux ans, à la fin de 2013, Selena Gomez a dû prendre une pause de spectacles pour se faire soigner. En effet, Gomez a été diagnostiquée avec le lupus, un trouble inflammatoire chronique potentiellement fatal qui nécessite un traitement agressif de chimiothérapie.

Comme elle s’est vue obligée d’abandonner sa tournée en Australie et en Asie, les rumeurs disaient que la chanteuse s’était retrouvée en désintoxication pour des troubles de dépendance à la drogue.  

Bien que très déçue d’entendre ce que les tabloïdes suggéraient, elle avait expliqué que la méchanceté des gens la motivait et l’aurait aidé à l’écriture de son album Revival.

Les symptômes ressentis par les victimes du lupus sont, entre autres, des douleurs et enflures aux articulations, des douleurs musculaires, de la fièvre, des ulcères buccaux et nasaux ainsi que de la fatigue extrême et la perte de cheveux.

L’album Revival sera lancé demain, le 9 octobre, et Gomez effectuera une tournée nord-américaine de mai à juillet 2016.

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Cancer de la prostate : les hommes se font refuser un médicament qui prolonge la survie

Au Royaume-Uni, le National Health Service (NHS)  – réputé pour avoir pris des décisions décevantes concernant plusieurs traitements pour le cancer – refuse que l’abiratérone soit donné aux hommes atteints de cancer de la prostate, s’ils n’ont pas tenté de se faire traiter par chimiothérapie auparavant. 

L’inhibiteur, commercialisé en France sous le nom de Zytiga, est pourtant efficace pour retarder la nécessité des traitements de chimiothérapie et prolonger la durée de vie de cinq ans.  

Pourquoi passer par un parcours douloureux, alors qu’il existe un médicament efficace pour aider ces malades? Il semblerait qu’il n’y ait pas suffisamment d’évidences pour démontrer à quel point le médicament peut augmenter l’espérance de vie lorsqu’il est pris avant la chimiothérapie. Il ne devrait donc pas être utilisé à grande échelle, selon le NHS. 

La situation doit être révisée selon des experts qui ont qualifié l’affaire d’« injuste », de « fiasco », écrit The Telegraph. 

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Combattre les cancers du cerveau avec des parcelles d’or

En injectant de minuscules particules d’or recouvertes de cisplatine (médicament en chimiothérapie) dans la cellule de tumeurs virulentes, les cellules cancéreuses pourraient cesser de se répliquer et même se résorber.

Ce pourrait être le cas notamment pour le glioblastome, une forme agressive de cancer du cerveau.

C’est ce que pense le Dr Mark Welland, du St John’s College à Cambridge, au Royaume-Uni, informe Top Santé. Le scientifique croit que les chances de survie d’un patient atteint d’un cancer agressif et résistant seront meilleures grâce au mélange de l’or et des médicaments anticancéreux.

Pour arriver à cette conclusion, parue dans la revue scientifique Nanoscale, le chercheur a fait des tests à petite échelle sur des échantillons humains de cellules cancéreuses atteintes de glioblastome. Maintenant, Welland espère que des tests chez l’humain pourront être effectués d’ici 2016.

Pour le Dr Colin Watts, neurochirurgien, cette solution est porteuse d’espoir. « Nous devrions être capables de développer une thérapie pour le glioblastome, mais aussi d’autres cancers dans le futur », a-t-il confié au réseau BBC.

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Un nouvel espoir pour les enfants atteints de sclérose tubéreuse de Bourneville

La sclérose tubéreuse de Bourneville est rare, mais impossible à guérir à ce jour. C’est un diagnostic très effrayant pour un parent et son enfant. Le désordre génétique créé des tumeurs bénignes au niveau de plusieurs organes, entrainant des troubles cérébraux, rénaux, cardiaques et plus encore.

« Elle est difficile à déceler, puisqu’elle apparaît notamment sous forme de taches blanches sur la peau qui ne sont pas visibles à l’œil nu ainsi qu’une croissance anormale du muscle cardiaque », rapporte le Dr Nikolas Mata-Machado.

Le pédiatre et neurologiste du Loyola University Health System est l’un des seuls physiciens à utiliser un nouveau médicament s’apparentant à la chimiothérapie. Celui-ci réduit les tumeurs et offre un nouvel espoir aux patients qui ne répondent pas aux traitements traditionnels.

Il existe des solutions chirurgicales, et certains répondent bien aux médicaments contre l’épilepsie, l’une des graves conséquences de la maladie. Mais d’autres y sont insensibles, ce qui offre une nouvelle alternative.

La sclérose tubéreuse de Bourneville atteint 1 enfant sur 25 000 aux États-Unis, rapporte Medical Xpress.

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La vitamine C pourrait contribuer à la lutte et au traitement du cancer

La vitamine C pourrait-elle devenir un allié de taille dans la lutte au cancer? C’est ce qu’il est permis de croire lorsqu’on prend connaissance des informations rapportées par Top Santé, en provenance de l’Université du Kansas.

Des chercheurs ont tenté l’expérience de la vitamine C sur des rongeurs, puis sur quelques patients, afin de confirmer leur théorie. Selon eux, ils seraient parvenus à démontrer l’impact de la vitamine C sur la lutte au cancer et son traitement.

En administrant de la vitamine C aux sujets de l’étude, les chercheurs du Kansas ont observé une augmentation de l’impact du traitement par chimiothérapie, en plus d’une amélioration globale de l’état de santé des patients.

Il semble également que la présence ajoutée de vitamine C dans l’organisme permettrait aux cellules saines de le rester, en plus de combattre efficacement le progrès de celles touchées par la maladie.

La coauteure de l’étude, Jeanne Drisko, croit qu’il s’agit là d’une découverte plus qu’intéressante pour la suite des choses.

« Il existe réellement un intérêt à utiliser de la vitamine C pour les oncologues. Les patients sont à la recherche de traitements sûrs et abordables pour gérer au mieux leur cancer. D’après cette étude, et les premières données cliniques, la vitamine C administrée en intraveineuse a exactement ce potentiel. Elle est efficace et accessible à tous », résume Drisko.

Il est aussi très intéressant de lire les observations du Dr Qi Chen, directeur de l’étude, qui croit que comme la vitamine C n’est pas sujette à brevet, cette nouvelle technique pourrait être rapidement utilisée en oncologie, sans main mise ou ralentissement causé par les compagnies pharmaceutiques.

Les prochains tests seront déterminants pour savoir si la vitamine C représente bel et bien un nouvel allié dans la lutte au cancer.

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Les enfants qui survivent au cancer ont des effets secondaires tardifs

Les avancées médicales tentent d’aider le plus d’enfants possible atteints du cancer à survivre et à mener une vie en santé. Cependant, des données fournies par des chercheurs de l’University of Florida Health confirment que survivre à un cancer infantile n’apporte pas que de bonnes nouvelles.

Après étude, rapporte Science World Report, c’est 70 % des survivants qui se retrouvent avec des effets secondaires néfastes 30 ans plus tard.

« La prévalence de ces symptômes est primordiale dans l’écart de la qualité de vie physique, mentale et sociale chez les survivants, » mentionne I-Chan Huang, auteur de la recherche. « En comprenant que ces symptômes sont la clé de la qualité de vie chez les patients, nous pouvons améliorer leur sort en diminuant ces effets à long terme. »

En tout, 1667 survivants à des cancers pendant l’enfance ont participé à l’étude. L’exposition à la toxicité reliée aux traitements du cancer a été mesurée, puis un questionnaire sur la qualité de vie des survivants leur a été soumis. Près de 70 % d’entre eux vivaient avec au moins un symptôme découlant du traitement de chimiothérapie, même 40 ans après celui-ci.

Le détail complet de l’étude se retrouve dans la revue Journal of Clinical Oncology.

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Nouveau traitement pour la leucémie myéloïde chez l’enfant

Medical News Today rapporte que l’ajout d’un anticorps monoclonal appelé gemtuzumab, combiné au traitement de chimiothérapie, augmenterait également le taux de survie des patients souffrant de leucémie myéloïde aiguë (LMA).

L’étude ayant rapporté ces informations a été menée par le Dr Alan Gamis, directeur de division associé au département d’oncologie du Children’s Mercy Hospital à Kansas City. Ce sont 1022 enfants d’environ 10 ans qui ont été à l’essai, partout dans le monde.

« La chimiothérapie a ses limites. Particulièrement chez les enfants, alors que l’augmentation des doses peut s’avérer toxique pour le patient, sans pour autant donner les résultats espérés sur le cancer » a déclaré le Dr Gamis. « … pour la première fois, il est possible de cibler un traitement qui augmente les effets de la chimiothérapie chez les enfants, en réduisant considérablement leur taux de rechute. »

Il semble que les résultats obtenus soient d’autant plus efficaces chez les patients en phase critique ou ceux étant le plus à risque de rechute.

Les données démontrent un meilleur taux de survie sans la maladie avec le gemtuzumab, comparativement au traitement sans l’anticorps (66 % vs 55 %), ainsi qu’un plus faible taux de rechute (33 % vs 41 %). Le taux de survie, dans son ensemble, n’a cependant pas été aussi significatif (74 % vs 70 %).

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L’activité physique après le cancer

Sur le site Le Parisien, il est entre autres question d’un article concernant le retour à la « normale » après un cancer.

Selon la Dre Laure Copel, médecin oncologue, « la gymnastique est un moyen efficace pour réduire considérablement les risques de récidives de cancer de sein ». Les activités semblant être en tête de liste sont le karaté, la plongée, le step ou encore le jogging.

Le but est d’y aller avec votre forme, votre âge et vos intérêts. Les patients ayant recours à l’activité pendant leur chimio ou après un cancer rapportent avoir une meilleure estime de soi, une meilleure qualité de vie et retrouver rapidement leur moral, alors que la maladie peut souvent avoir des effets dévastateurs.

« Les personnes qui pratiquent une activité physique dynamique régulière trois fois par semaine voient leur taux de rechute diminuer jusqu’à 50 %, en particulier quand c’est associé à une bonne alimentation », explique Dre Copel.

« L’activité physique est associée à une diminution du risque des cancers du côlon, du sein (après la ménopause) et de l’endomètre », écrit l’Institut national français du cancer (Inca) dans un document faisant le point sur l’activité physique et les cancers.

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L’huile d’ail pourrait contribuer à réduire les effets des traitements contre le cancer

MedicalXpress rapporte une étude publiée dans le Journal of Food Science qui fait état de possibles effets bénéfiques de l’huile d’ail sur des patients qui reçoivent des traitements contre le cancer.

On le sait, plusieurs effets secondaires peuvent découler des traitements de chimiothérapie et de radiothérapie. L’un de ceux-là est la réduction du nombre de globules blancs dans le sang

C’est précisément cette réaction qui pourrait être inversée, contrée ou à tout le moins réduite par une consommation d’huile d’ail, toujours selon l’étude effectuée par l’Institute of Food Technologists.

Les amateurs de nutrition et de traitements alternatifs savent que l’ail et ses dérivés ont été utilisés depuis longtemps en santé dans de nombreuses situations, et cette étude viendrait valider la théorie concernant les bienfaits de l’huile d’ail sur les patients atteints de cancer.

Il pourrait s’agir d’un traitement complémentaire très utile et abordable, alors que d’autres études sur le sujet sont attendues pour tenter de voir toute l’étendue du potentiel de cet élément.