Catégories
Uncategorized

L’huile d’ail pourrait contribuer à réduire les effets des traitements contre le cancer

MedicalXpress rapporte une étude publiée dans le Journal of Food Science qui fait état de possibles effets bénéfiques de l’huile d’ail sur des patients qui reçoivent des traitements contre le cancer.

On le sait, plusieurs effets secondaires peuvent découler des traitements de chimiothérapie et de radiothérapie. L’un de ceux-là est la réduction du nombre de globules blancs dans le sang

C’est précisément cette réaction qui pourrait être inversée, contrée ou à tout le moins réduite par une consommation d’huile d’ail, toujours selon l’étude effectuée par l’Institute of Food Technologists.

Les amateurs de nutrition et de traitements alternatifs savent que l’ail et ses dérivés ont été utilisés depuis longtemps en santé dans de nombreuses situations, et cette étude viendrait valider la théorie concernant les bienfaits de l’huile d’ail sur les patients atteints de cancer.

Il pourrait s’agir d’un traitement complémentaire très utile et abordable, alors que d’autres études sur le sujet sont attendues pour tenter de voir toute l’étendue du potentiel de cet élément.

Catégories
Uncategorized

Nouvelle recherche concernant les pilules de chimiothérapie

The National Library of Medicine rapporte des conclusions tirées d’une nouvelle recherche effectuée dans le dossier des pilules de chimiothérapie, une nouvelle façon de faire en oncologie.

Le premier constat parle d’une efficacité notable pour ce nouveau traitement, certains patients réagissant mieux à ce format qu’à celui intraveineux. De plus, il semble qu’il soit plus facile de cibler et combattre certaines formes de cancer avec cette chimiothérapie en pilules qu’avec la formule précédente.

Malheureusement, le principal problème avec cette méthode est que la posologie n’est souvent pas respectée. On constate que beaucoup de patients ne respectent pas les doses ou les recommandations, ce qui vient fausser les données et les traitements.

De plus, certains effets secondaires ont été observés, notamment des douleurs, des nausées, de la diarrhée, de la fatigue et des réactions cutanées. Ceci n’est rien pour aider les patients à respecter les règles établies, puisque plusieurs décideraient de « sauter » des doses afin d’éviter certains de ces désagréments.

« Les prescriptions pour ces pilules comprennent des instructions souvent complexes. Certaines d’entre elles demandent aux patients de prendre les comprimés plusieurs fois par jour, puis une seule, puis d’arrêter le traitement, pour enfin reprendre de multiples doses quotidiennement. Ça peut devenir très compliqué, surtout pour ceux qui subissent plusieurs traitements en même temps », lance l’auteure en chef de l’étude, Sandra Spoelstra.

Catégories
Uncategorized

Un médicament de remplacement moins efficace contre le lymphome de Hodgkin

En 2009, l’approvisionnement d’un médicament de chimiothérapie, le Mustargen, est devenu beaucoup plus difficile lorsque l’unique fabricant a changé son site de production. Les médecins se sont alors tournés vers le Cytoxan, un agent qui était alors considéré comme équivalent en tous points dans la littérature médicale.

En pratique, les médecins ont toutefois constaté que ce n’était pas tout à fait le cas pour les enfants atteints d’un lymphome de Hodgkin. Le taux de survie sans récidive après deux ans est ainsi passé de 88 % chez les enfants traités avec le Mustargen à 75 % pour les enfants qui avaient reçu du Cytoxan.

Dans une analyse publiée dans le New England Journal of Medicine, la Dre Monika Metzger a indiqué que « nos résultats suggèrent que même des substitutions de médicaments qui paraissent au départ prometteuses devraient être examinées très attentivement avant d’être adoptées par les médecins… Ce qui peut paraître comme une alternative correcte peut en fait provoquer une réalité intolérable pour les jeunes enfants qui souffrent de maladies incurables », selon MedPageToday.

Catégories
Uncategorized

La nanotechnologie est prometteuse pour les enfants atteints de leucémie

Pour une étude menée en laboratoire sur des souris, des chercheurs ont encapsulé un agent de chimiothérapie appelé dexaméthasone dans des nanoparticules, puis celles-ci ont été envoyées de façon ciblée sur des cellules leucémiques.

La qualité et la durée de vie ont été grandement prolongées chez les souris ayant reçu la chimiothérapie par nanotechnologie, par rapport à celles ayant reçu la chimiothérapie de façon traditionnelle.

Les différentes formes de leucémie comptent pour environ un tiers des cancers pédiatriques. La forme la plus courante, la leucémie aiguë lymphoblastique, a un taux de survie de près de 90 %, mais il demeure que les effets néfastes de la chimiothérapie, incluant les cancers secondaires, l’infertilité ainsi que les problèmes de surdité et de développement cognitif, présentent un risque important pour les enfants qui s’en sortent.

La nanotechnologie avait jusqu’à maintenant été peu étudiée dans le contexte de cancers pédiatriques. La chimiothérapie encapsulée permet de réduire la dose des deux tiers, avec de bons résultats de traitement et pas d’effets secondaires discernables, selon ce que rapporte Medical News Today.

Catégories
Uncategorized

Une découverte en nanotechnologie pour améliorer la chimiothérapie pour les enfants cancéreux

Des chercheurs australiens ont réussi à développer une nanoparticule permettant de multiplier l’efficacité de la chimiothérapie pour les enfants atteints de neuroblastome. Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue Chemical Communications.

Lorsqu’ils survivent à ce cancer particulièrement virulent, les enfants ont habituellement d’autres problèmes de santé importants à long terme, en raison de la toxicité de la chimiothérapie utilisée et des fortes doses nécessaires.

Une découverte qui a le potentiel de réduire les effets négatifs de la chimiothérapie est donc considérée comme majeure. La nanoparticule créée par les chercheurs est non toxique et parvient à transporter du monoxyde d’azote, un agent de chimiothérapie puissant, directement vers les cellules cancéreuses.

Le Dr Cyrille Boyer, auteur de l’étude, a indiqué que « lorsque nous avons injecté la chimiothérapie dans des cellules de neuroblastome qui avaient été prétraitées avec la nouvelle nanoparticule, nous n’avons eu besoin que d’un cinquième de la dose habituelle », rapporte MedicalNewsToday. « En rendant la chimiothérapie cinq fois plus efficace, nous pourrions réduire considérablement les effets négatifs sur les cellules saines et les tissus. »

Catégories
Uncategorized

La chimiothérapie sans danger pour le bébé

En fait, les femmes ayant besoin de ces soins de chimiothérapie ne devraient pas compromettre leur traitement ou mettre leur bébé au monde plus tôt, selon les chercheurs du German Breast Group.

« Nos découvertes mettent l’emphase sur l’importance de prioriser un accouchement à terme chez les femmes qui subissent une chimiothérapie pendant leur grossesse. […] Notre travail suggère que de traiter les patientes atteintes d’un cancer du sein alors qu’elles sont enceintes est possible, et qu’il n’est pas nécessaire d’interrompre la grossesse ou de recevoir une thérapie inférieure », selon la chercheuse principale de la recherche, Sibylle Loibl.

De plus, les bébés nés de patientes ayant reçu ce type de traitement ne sont pas plus à risque d’avoir des complications que les autres bébés.

Durant l’étude, les complications parmi les enfants étaient dues à des naissances avant terme plutôt qu’à la chimiothérapie.

En fait, de précédentes études ont démontré que les médicaments prescrits ne franchiraient pas ou très peu la barrière du placenta, protégeant ainsi le bébé.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

La chimiothérapie présente un gros désavantage

Des chercheurs américains ont découvert, de façon inattendue, des effets indésirables de la chimiothérapie.

Ils s’étaient penchés sur la résistance à la chimiothérapie de cas de cancer métastasés du sein, de la prostate, du poumon et du côlon.

Mais au cours de leurs travaux, ils ont découvert que la chimiothérapie endommageait les cellules saines et les poussaient à produire une protéine qui alimente les tumeurs, permettant ainsi une résistance aux traitements.

Ils ont mis en évidence le rôle des fibroblastes qui sont des cellules non cancéreuses et jouent un rôle dans la cicatrisation des plaies et la production de collagène.

Selon le Nature Medicine, le problème est que lorsque ces cellules sont près d’un cancer et soumises à la chimiothérapie, leur ADN est altéré et elles produisent alors une protéine nommée WNT16B qui favorise la croissance des cellules cancéreuses et envahit les tissus environnants.

« Un anticorps à la protéine WNT16B, donné dans le cadre de la chimiothérapie, pourrait améliorer la réaction (en tuant davantage de cellules cancéreuses). Cela permettrait également d’utiliser des doses thérapeutiques plus petites et moins toxiques », a indiqué le coauteur de l’étude, Peter Nelson.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

Catégories
Uncategorized

Cancer : trop peu de femmes préservent leur fertilité

Une nouvelle étude de l’Université de Californie à San Francisco suggère que les femmes qui sont en âge de procréer et qui ont un cancer ne reçoivent pas assez de renseignements sur les différentes méthodes de préservation de la fertilité pendant le traitement d’un cancer.

C’est en interrogeant 1041 femmes âgées de 18 à 40 ans, qui ont reçu un diagnostic de cancer entre 1993 et 2007, que les chercheurs ont découvert que seulement 4 % des femmes avaient pris des mesures pour préserver leur fertilité.

Parmi le groupe, 918 ont reçu des thérapies contre le cancer (chimiothérapie, radiothérapie pelvienne, chirurgie pelvienne ou greffe de moelle osseuse) qui pouvaient nuire à leur fertilité.

Il a été indiqué que 61 % d’entre elles ont reçu des conseils de leur médecin ou d’autres spécialistes sur les risques que pouvait engendrer le traitement du cancer sur leur fertilité.

La bonne nouvelle, c’est que la proportion de patientes qui a pris des mesures pour préserver la fertilité est passée de 1 % en 1993 à 6 à 10 % en 2005-2007, selon l’étude publiée dans la revue Cancer.

Toutefois, il semblerait que les femmes de race blanche, hétérosexuelles et avec un niveau d’éducation collégial ont été plus concernées que les autres par les options de préservation.

Ces chiffres trop bas sont le reflet d’une situation anormale pour les chercheurs, qui concluent que la congélation d’embryons ou d’une portion du tissu ovarien ou encore la présentation d’autres stratégies pour épargner les ovaires durant le cancer devraient être suggérées à toutes les femmes, qui doivent souvent prendre des décisions trop rapidement avant le début ou pendant un traitement.

Catégories
Uncategorized

Découverte dans le domaine de la chimiothérapie

Selon la revue Nature, une équipe de la Duke University a découvert la structure de la molécule clé qui transporte la chimiothérapie vers les cellules.
 
« Connaître la structure et les propriétés de cette molécule “transporteur” peut être une clé pour modifier le principe d’action de certaines chimiothérapies », indique l’auteur principal des travaux, le Pr Seok-Yong Lee.
 
La molécule déplace les nucléosides, qui sont les blocs de construction de l’ADN et de l’ARN, de l’extérieur vers l’intérieur des cellules. Cette molécule transporte également la chimiothérapie.
 
La découverte de cette structure moléculaire pourrait améliorer l’efficacité des traitements contre le cancer. Les chercheurs pourraient aussi créer un médicament qui pénétrerait facilement les cellules sans endommager les tissus sains avoisinants.
 
« Maintenant, nous savons que la molécule transporteur dispose de trois formes qui reconnaissent les différents médicaments et sont adaptées aux différents tissus. Connaître la forme des transporteurs permettra aux scientifiques de concevoir des médicaments bien reconnus par ce transporteur », explique le Pr Lee.
 
Catégories
Uncategorized

Leucémie : 90 % des enfants survivent

Il y a 50 ans, ce cancer, qualifié comme étant le plus commun chez les enfants, était incurable, rappelle ce mois-ci le Journal of Clinical Oncology.

Seulement entre 1990 et 2005, le taux de survie est passé de 84 à 90 % pour un enfant âgé de plus de cinq ans. Ce facteur est important, puisque survivre pendant cinq ans est considéré comme un remède à la leucémie lymphoblastique aiguë (LLA), alors que les risques de décéder sont presque nuls après ce délai.

 
Le progrès remarquable en matière de survie s’explique notamment par les multiples essais cliniques qui ont permis d’aider les médecins à affiner l’utilisation et le dosage des médicaments.
 
Au fil des ans, ils ont d’ailleurs découvert qu’un type de corticostéroïde est plus efficace qu’un autre médicament de la même classe, et que sans chimiothérapie, la LLA progresse rapidement.

L’étude, réalisée à l’Université du Colorado, a constaté que le taux de survie a augmenté pour tous les groupes raciaux et ethniques, pour les deux sexes et pour tous les groupes d’âge, sauf en ce qui concerne les nourrissons de moins de 1 an.

 
Pour les chercheurs, le but est de guérir tout le monde. Après des données réjouissantes, les spécialistes s’attardent dorénavant au 10 % des petits qui décèdent.