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La chimiothérapie n’atteint pas bébé

Selon EurekAlert!, subir des traitements de chimiothérapie lorsqu’on est enceinte n’aura pas d’effets négatifs sur le bébé. Des chercheurs viennent de démontrer que de tels traitements n’entraînent pas de problèmes de développement, en ce qui a trait aux processus mentaux et au fonctionnement cardiaque.

Toutefois, on a remarqué que 47 des 70 enfants nés des grossesses ciblées étaient nés prématurément. Dans ce cas, c’est la prématurité qui aura une influence sur le développement cognitif, non pas la chimiothérapie elle-même.

Les femmes de cette étude, au nombre de 68, avaient toutes vécu un traitement de ce type durant leur grossesse. Il s’agissait d’une chimiothérapie combinée ou non à de la radiothérapie et à une chirurgie. Le cancer le plus fréquent chez les participantes était celui du sein (35 femmes).

Les chercheurs, malgré quelques remarques, soutiennent qu’une femme enceinte atteinte d’un cancer n’a pas à attendre la fin de sa grossesse pour profiter de traitements.

C’est la première fois que des bébés de 18 mois et plus dont la mère avait fait une chimiothérapie sont ainsi examinés.

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Des gènes pouvant prévenir la leucémie

Science Daily nous apprend qu’une nouvelle recherche offre des résultats concluants quant à la possibilité de prévention de la leucémie chez les enfants. Il s’agit d’une découverte faite par des scientifiques de l’Université Western Ontario.
 
La leucémie aiguë lymphoblastique (LAL) est un cancer du sang qui se développe principalement chez les enfants en bas âge. Cette maladie est fréquemment associée à des mutations génétiques ou une anormalité des chromosomes qui surviennent pendant la grossesse, chez l’embryon ou plus tard dans le développement du fœtus.
 
Le responsable de cette étude, Rodney DeKoter, a trouvé deux gènes essentiels à la prévention de la cellule B, la forme la plus commune de la LAL chez les enfants (80 % des cas). Il s’agit des gènes PU.1 et Spi-B, qui agissent à titre de suppresseurs de la tumeur (cellule B).
 
« Vous pouvez comparer les cellules PU.1 et Spi-B à des freins sur une voiture. Si les freins principaux lâchent (PU.1), vous avez toujours le frein d’urgence (Spi-B). Sans ces deux freins, la voiture accélère et perd le contrôle », explique DeKoter.
 
Rodney DeKoter espère que cette recherche s’avèrera une alternative aux traitements toxiques administrés aux enfants, comme la chimiothérapie agressive.
 
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Un nouvel espoir pour les garçons atteints du cancer devenus stériles

Le lymphome de Hodgkins requiert des traitements de chimiothérapie et de radiothérapie qui peuvent souvent rendre les patients stériles. Les garçons atteints pourraient toutefois voir leur situation s’améliorer.

Les résultats de chercheurs, présentés sur Telegraph.co.uk, annoncent en effet de bonnes nouvelles pour ces enfants.

Les scientifiques ont réussi à recueillir des cellules souches de sperme chez des garçons âgés de six et huit ans, puis les ont fait multiplier en laboratoire. Pour l’instant, ces cellules ne peuvent pas féconder un ovule.

Malgré tout, elles pourront constituer une réserve qui pourra ensuite repeupler les testicules de garçons devenus stériles des suites d’un traitement contre le cancer.

Une fois réintégrées, elles pourront ainsi produire une quantité de sperme nécessaire à la fertilité.

Le Dr Hooman Sadri-Ardekani, de l’Université d’Amsterdam, a présenté les avancées de ses recherches à l’American Society for Reproductive Medicine (ASRM) de Denver.

Son équipe a par ailleurs établi à 80 jours le temps nécessaire à la multiplication, laquelle doit être de 1 300 pour mener un jour à une nouvelle fertilité.

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La poudre de curry est bénéfique pour la chimiothérapie

Selon le Daily Mail Reporter, un ingrédient commun dans le curry pourrait aider à cibler et à détruire les cellules cancéreuses résistantes à la chimiothérapie, augmentant ainsi l’efficacité du traitement et prévenant le retour de la maladie.

Des chercheurs de l’Université de Leicester ont utilisé du curcuma, un extrait de la racine de Turmeric dont on se sert fréquemment pour épicer les currys, afin de bien cibler les cellules cancéreuses résistantes. L’objectif est d’utiliser cet extrait dans le tissu tumoral colorectal.

Le cancer colorectal cause la mort de plus de 600 000 individus chaque année et est la troisième principale cause de décès dus au cancer dans le monde occidental.

La Dre Karen Brown, chercheuse principale, a noté : « En suivant des traitements pour le cancer, les petites populations de cellules cancéreuses restent souvent dans le corps et c’est ce qui est responsable du retour de la maladie ».

Elle explique que ces cellules semblent avoir des propriétés différentes de la majorité des cellules de tumeurs et c’est ce qui les rend résistantes à la chimiothérapie.

De précédentes recherches avaient démontré que le curcuma améliorait non seulement l’efficacité de la chimiothérapie, mais qu’il réduisait également le nombre de cellules résistantes au traitement, ce qui prend une grande importance dans la prévention des rechutes.

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Les ovaires artificiels sèment l’espoir

Des scientifiques sont parvenus à créer les premiers ovaires artificiels qui fonctionnent. Cette découverte pourrait donc venir en aide aux femmes qui sont devenues stériles en raison de la chimiothérapie ou d’autres traitements qui ont endommagé leur système reproducteur.
 
Selon le Journal of Assisted Reproduction and Genetics, les ovaires ont été cultivés en laboratoire et créés à partir de tissus de femmes en âge de procréer.
 
Ensuite, les chercheurs y ont inséré des « œufs » pour voir si les ovaires aideraient à leur développement et, en effet, les ovaires artificiels traitent ces ovules naturellement et les aident à se développer pour ensuite les libérer dans l’utérus.
 
Les femmes qui s’apprêtent à suivre des traitements comme de la chimiothérapie et qui souhaitent avoir des enfants pourraient ainsi congeler des ovules matures qui seraient ensuite implantés dans les ovaires artificiels.
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Un traitement chinois pour atténuer les effets de la chimiothérapie

Des chercheurs viennent de tester avec succès un traitement chinois ancestral à base de plantes pour atténuer les effets destructeurs de la chimiothérapie sur les intestins.
 
Des souris ont vu leurs cellules se régénérer au bout de quelques jours de traitement.
 
Bien que l’on ignore encore si les résultats seront les mêmes sur l’homme, ceux-ci sont encourageants puisqu’ils pourraient grandement aider à traiter la diarrhée, les nausées et les vomissements chez les patients.
 
Ce traitement à base de plantes (pivoine, scutellaire, réglisse et du fruit du nerprun) stimule la division cellulaire et réduit l’inflammation des tissus.
 
Il s’agit donc d’un nouvel espoir pour les personnes qui doivent lutter contre la maladie et ce traitement pourrait être grandement utilisé, notamment pour les cas de cancers colorectaux qui affectent grandement les intestins, nous apprend le Science Transcontinental.
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Nouvel espoir contre le cancer des ovaires

Une combinaison de traitements offre maintenant un nouvel espoir pour les femmes atteintes d’un cancer des ovaires. Ce cancer est la 8e cause de décès chez les femmes et est souvent difficile à diagnostiquer, car les symptômes apparaissent tardivement.
 
Le Dr Robert Burger et ses collègues du Fox Chace Cancer Center de Philadelphie ont découvert que l’Avastin combiné à la chimiothérapie arrivait à freiner la progression des tumeurs.
 
L’Avastin est déjà connu comme traitement de cancers métastasés comme celui du côlon, du sein, des reins, du cerveau et des poumons.
 
« C’est le premier essai clinique de phase 3 qui montre que bloquer la formation de vaisseaux sanguins des tumeurs améliore notablement la survie sans progression de la maladie des femmes ayant un cancer ovarien ou péritonéal très difficile à traiter. Les résultats de cet essai clinique montrent que l’Avastin est un traitement initial acceptable pour les patientes souffrant d’un cancer avancé de l’ovaire », mentionne le Dr Burger.
 
Des essais cliniques ont été effectués sur 1 873 femmes ayant un cancer de stades 3 et 4 des ovaires, péritonéal ou des tubes fallopiens qui avaient eu une ablation d’une grande partie de la tumeur par chirurgie.
 
Un premier groupe a reçu de la chimiothérapie et un placebo, un deuxième groupe a eu de la chimiothérapie et de l’Avastin et le troisième groupe a eu la même chose que le deuxième, mais avec un suivi supplémentaire de dix mois avec seulement de l’Avastin.
 
Le dernier groupe a vu sa survie atteindre 14 mois comparativement aux femmes ayant eu seulement de la chimiothérapie, qui atteignaient quant à elles 10 mois.
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La fatigue est le principal désagrément de la chimiothérapie

Une enquête révélée par Top Santé révèle que la fatigue est le principal effet indésirable lors des traitements pour un cancer.
 
En fait, 80 % des patients traités en chimiothérapie disent souffrir régulièrement de fatigue. Les trois quarts affirment souffrir de fatigue intense ou très intense.
 
Selon le sondage, quatre patients sur 10 (37 %) disent que la fatigue est l’effet le plus indésirable de la chimiothérapie. Pour 18 % des patients, c’est la perte des cheveux qui est le plus désagréable, alors que les nausées et les vomissements déplaisent majoritairement à 9 % des malades. Finalement, la douleur est le principal désagrément des traitements pour 6 % des gens.
 
Pour 87 % des médecins et 94 % des infirmières, traiter la fatigue des malades est une priorité.
 
« De tous les traitements anticancéreux, la chimiothérapie est le plus pourvoyeur d’anémie, avec parfois pour conséquence une sensation de fatigue. Les chimiothérapies utilisées le plus fréquemment pour traiter des cancers du sein ou du poumon, par exemple, sont à base de sels de platine, de taxanes et d’anthracyclines, des composants connus pour entraîner des anémies », explique l’hématologue de la clinique Sainte-Anne de Strasbourg, le Dr Frédéric Maloisel.
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La chimiothérapie est grandement recommandée pour le cancer de l’estomac

La chimiothérapie postopératoire diminue grandement le taux de mortalité pour le cancer de l’estomac.
 
Les chercheurs recommandent fortement que les patients opérés pour ce type de cancer reçoivent ensuite des traitements de chimiothérapie pour augmenter leurs chances de survie. La chimiothérapie diminue les risques de mortalité de 18 % comparativement à la chirurgie uniquement.
De plus, le taux de survie de cinq ans sans récidive passe à 55,3 % avec de la chimiothérapie après une chirurgie pour le cancer de l’estomac. C’est ce que dévoile une nouvelle étude publiée dans la revue JAMA après que des chercheurs aient analysé les dossiers de 3 700 personnes atteintes du cancer de l’estomac.
 
Ils ont comparé les données entre une chirurgie suivie de traitements de chimiothérapie et une chirurgie seulement. Ils ont bien constaté qu’il est préférable d’avoir de la chimiothérapie après être passé sous le bistouri, car cela augmente les chances de survie sans récidive.
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La chimiothérapie n’a pas d’effets négatifs sur le foetus

Le Journal of Clinical Oncology rapporte que la chimiothérapie durant la grossesse n’aurait pas d’effets néfastes sur le fœtus.
 
Quelques fois, lorsqu’un cancer est diagnostiqué durant une grossesse, certains médecins préfèrent prescrire une interruption de grossesse avant d’amorcer des traitements pour la mère. Une vaste étude révèle qu’il n’y aurait pourtant pas de problèmes.
 
Pour la première fois, des équipes belges, hollandaises et tchèques ont examiné 64 enfants exposés à la chimiothérapie prénatale et aucun d’eux ne présentait des séquelles cliniques ou neurologiques à la naissance ou dans les premières années de sa vie.
 
Toutefois, les chercheurs attendent de voir également des résultats à long terme sur le sujet pour savoir si cela pourrait avoir des effets à des âges plus lointains.
 
Jusqu’à présent, on démontre que les médicaments prescrits ne franchiraient pas ou très peu la barrière du placenta, protégeant ainsi le bébé.
 
En général, les traitements sont amorcés lors du deuxième trimestre de grossesse. Au troisième trimestre, certains médecins préfèrent provoquer l’accouchement pour ainsi protéger le bébé et traiter la mère ensuite.