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Les produits chimiques augmentent les risques d’eczéma

Les phtalates utilisés dans les planchers de vinyles se retrouvent dans l’organisme de toutes les mères, selon une étude du Columbia Center for Children’s Environmental Health rapportée sur Eurekalert.org.

Le produit nocif, appelé BBzP, est utilisé aussi dans les cuirs artificiels et se disperse dans l’air des maisons.

« Malgré que des facteurs héréditaires, des allergènes et l’exposition au tabac soient reconnus pour contribuer à l’eczéma, notre étude est la première qui montre que l’exposition prénatale au BBzB est un facteur de risque », explique l’auteur de la recherche, Allan C. Just.

L’eczéma se caractérise par une peau sèche et rougie dans le visage, sur la tête ou sur les mains et les pieds des tout-petits. C’est une affection désagréable et très commune chez les enfants.

L’étude, effectuée sur des mères et des enfants afro-américains et dominico-américains, a permis de démontrer que les bébés des femmes afro-américaines étaient doublement susceptibles d’avoir de l’eczéma.

Rappelons que les scientifiques prétendent que les femmes enceintes qui prennent des huiles de poisson pendant la grossesse peuvent protéger leur futur bébé de l’eczéma.

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Les emballages de plastique néfastes pour la santé

C’est ce qu’une étude publiée dans le journal Environmental Health Perspectives révèle.

D’autres études ont également démontré que les phtalates — des corps gras acides utilisés pour augmenter la flexibilité, la longévité et la transparence du plastique — transpercent les aliments par les équipements, les gants des emballeurs, les encres des étiquettes ou encore les plastiques utilisés par les agriculteurs eux-mêmes.

Il y a longtemps que les gouvernements sont au courant de ce phénomène. Pourtant, la Food and Drug Administration (FDA) considère ces produits comme « additifs alimentaires indirects » et en a approuvé plus de 3000 depuis 1958.

En fait, la FDA juge ces substances selon la quantité qui serait susceptible d’aboutir dans l’assiette de quelqu’un. Si cette quantité est assez faible, aucun test supplémentaire n’est effectué.

« Ça n’a pas de sens de réguler la sécurité des aliments si on les vend dans des emballages non sécuritaires », déplore la directrice du programme et de la politique du Breast Cancer Fund, Janet Nudelman.

De plus, le fait que certains de ces produits aient été validés par les scientifiques dans les années 60 inquiète les experts, qui affirment que leurs connaissances sur la santé ont bien changé depuis.