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Les effets surprenants de la politique de l’enfant unique en Chine

Science a publié une étude australienne s’attardant sur les jeunes Chinois qui sont nés au moment où la politique de l’enfant unique est apparue. Les chercheurs ont évalué les compétences sociales et comportementales de plus de 400 personnes, puis les ont comparées avec celles d’autres personnes nées avant cette politique.

Tentant d’isoler l’impact pour une société de n’avoir que des individus ayant grandi en tant qu’enfant unique, les chercheurs ont remarqué que ces jeunes faisaient moins confiance aux autres et étaient moins dignes de confiance, ne possédaient pas le goût du risque, avaient moins l’esprit de compétition, étaient plus pessimistes et moins consciencieux. Ces traits de personnalité s’avéraient même si les enfants uniques avaient eu beaucoup de contacts avec d’autres enfants.

« Nos données montrent que les jeunes nés sous la politique de l’enfant unique étaient beaucoup moins susceptibles d’occuper des rôles plus “risqués”, comme le travail autonome. Ceci pourrait avoir un impact sur le pays entier, en termes de réduction de l’entrepreneuriat », a expliqué l’auteure de l’étude, Lisa Cameron, selon Science Daily.

La politique de l’enfant unique a été introduite en 1979, dans le but de contrôler la densité de la population dans ce pays, qui demeure le plus peuplé au monde. En 2011, le gouvernement chinois a affirmé que la politique avait permis d’éviter 400 millions de naissances.

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Le plus long train du monde est opérationnel en Chine

La Chine n’est pas en pleine expansion qu’en affaires, mais aussi en transport. On apprenait plusieurs nouvelles récemment en tourisme et en transport concernant la Chine (ainsi que certains autres pays d’Asie), mais en voici une toute récente qui plaira aux touristes et aux résidents de Pékin, particulièrement.

C’est que les autorités chinoises ont confirmé le premier départ du plus long train du monde, un système de type bullet train, ultrarapide. Après avoir parlé depuis bien longtemps de trouver de nouveaux moyens de transport pour relier différentes destinations à Pékin (la capitale), en voici maintenant un tout neuf.

Et ce n’est pas d’exagérer lorsqu’on parle d’ultrarapide, puisque le train qui relie maintenant Pékin et Guangzhou, notamment, peut atteindre des pointes de vitesse de 350 km/h!

Travel.cnn.com rapporte la nouvelle en affirmant que maintenant, entre ces deux villes, le trajet en train dure quelque 12 heures de moins qu’avant!

Il y a bien sûr plusieurs autres arrêts et escales, dans pas moins de 35 autres villes et régions. On peut donc dire qu’il s’agit d’une superbe acquisition pour la Chine, qui devrait voir ce système de bullet train obtenir énormément de succès.

Cela dit, certains observateurs prétendent que les prix sont trop élevés et qu’à ce titre, il est encore préférable de voler.

On prévoit que l’on rejoindra Pékin à Hong Kong avec ce train d’ici 2015.

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Pékin à Canton en TGV – 2300 km en 8 h seulement

Alors que les 2300 km de trajet en font le plus long circuit du monde, ce qui fascine, c’est également la réduction du temps pour effectuer autant de kilométrage.

Auparavant, il fallait 22 heures pour traverser cette distance. Selon le Routard, désormais, avec un transport à la fine pointe dont la vitesse maximale est de 350 km/h, à peine 8 heures sont nécessaires pour se rendre à Canton.

Selon le ministère des Chemins de fer de la Chine, le réseau, qui atteignait déjà près de 8400 km en 2010, proposera un itinéraire d’un total de 16 000 km en 2020.

Bien que les gens d’affaires vantent les mérites de ce nouveau mode de transport, surtout pour le confort et la réduction du temps de déplacement, la classe moyenne, elle, préfère encore utiliser le train ordinaire et passer 5 h sur la route, plutôt que 2 h.

La raison est simple, le prix comparé au train ordinaire est 3 fois plus cher, et la tarification demeure floue à ce jour.

Pour le moment, on peut calculer le prix du billet par kilomètre parcouru. En oubliant la première classe, celle dite « économique » coûte 0,46 yuan par kilomètre, soit 8 cents. Donc, on calcule que le prix d’un seul aller-retour de Pékin à Canton coûte 368 $.

Ceci étant dit, il semblerait également que la tarification varie selon la vitesse du train et le nombre de passagers, ce qui laisse les utilisateurs très perplexes pour le moment.

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Plus besoin de visa pour visiter Pékin dès 2013

Les touristes, grands voyageurs et admirateurs de l’Asie seront ravis d’apprendre qu’ils n’auront plus besoin de visa pour visiter Pékin, dès le 1er janvier 2013.

C’est travel.cnn.com qui rapporte la bonne nouvelle, alors qu’il semble que les autorités en ont eu assez de voir Hong Kong rafler une bonne partie des touristes en visite en Chine. Les politiques en matière de tourisme et de visa ont toujours été plus souples du côté de Hong Kong, mais voilà que Pékin vient de rajuster le tir.

Ainsi, ce sont les citoyens de plus de 45 pays qui se voient offrir la chance de visiter Pékin, pour une durée maximale de 72 heures, sans visa.

Plusieurs vols internationaux transitaient par Pékin, mais les voyageurs n’avaient ironiquement pas le droit de visiter les lieux. On s’attend maintenant à voir la ville connaître un boom touristique, ce qui devrait également être favorable à l’économie locale.

Au nombre des pays qui obtiennent ce nouveau « droit de passage », on compte le Canada, l’Australie, la Belgique, la France, la Finlande, la Suède, la Corée du Sud, l’Allemagne, la Grèce, le Japon, l’Italie, le Mexique, la Nouvelle-Zélande, l’Angleterre et les États-Unis, notamment.

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L’Australie veut son parc thématique chinois

C’est toute une ironie de penser que des hommes d’affaires voudraient créer un parc thématique en l’honneur des plus grands monuments de la Chine, alors que cette dernière est communiste et ne croit pas vraiment au capitalisme.

C’est pourtant ce qui se trame du côté de l’Australie, alors que des promoteurs ont annoncé la construction d’un parc d’attractions qui reprendra, ou fera hommage, à certaines des plus belles constructions chinoises de l’histoire.

Ainsi, on pourrait y voir une réplique de l’Imperial Palace transformée pour l’occasion en hôtel, en salon de thé et en super stationnement!

D’autres répliques de lieux et monuments chinois sont prévus, comme l’Académie Tang & Song, les Water Towns, Panda Paradise, le Théâtre Wyong et le Thanksgiving Temple. On parle aussi d’un temple bouddhiste.

Ici, pas de montagne russe ni motifs de dragon. On veut simplement se concentrer sur les éléments culturels d’un pays qui en possède énormément. Le vin, le thé et les autres aliments typiques de la Chine seront à l’honneur, ainsi que bon nombre d’autres éléments.

Amanda Li, de l’équipe de l’ACTP responsable du projet, explique : « Nous retrouverons dans le parc tout ce qui est naturellement en lien avec la culture chinoise. Par exemple, on retrouvera les fameux kiosques médicaux et salons de massage sur une rue de médecine traditionnelle chinoise ».

On prévoit l’ouverture du parc thématique pour 2020, au coût de 500 millions de dollars (AUS), selon travel.cnn.com.

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Une région quasi inconnue de l’homme sera accessible aux touristes en 2013

Les fans de voyages exotiques et des belles régions d’Asie seront sans doute heureux d’apprendre qu’une nouvelle destination sera bientôt accessible aux touristes, en Chine.

C’est que la région de Daocheng Yading est une des rares qui n’a pas été exploitée par l’homme, notamment à des fins touristiques. Cela s’explique en partie parce qu’il est difficile d’accéder à Daocheng par les moyens de transport conventionnels.

La donne changera cependant en mai prochain (2013), alors que l’aéroport Daocheng Yading ouvrira ses portes, permettant le transit de milliers de touristes de toutes les provenances.

Les autorités chinoises viennent en effet de confirmer l’ouverture de l’aéroport comme prévu, à la suite de tests concluants de la part de la compagnie aérienne Air China.

En plus d’ouvrir la porte sur une région magnifique, coupée du reste du monde et intacte, il est intéressant d’apprendre que l’aéroport deviendra le plus haut du monde, selon ce que rapporte Travel.cnn.com.

Il sera en effet juché 77 mètres plus haut que son principal rival, le Bamda Airport au Tibet.

Les détails concernant les vols internationaux ne sont pas encore connus, mais les autorités prévoient faire des annonces prochainement.

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Ouverture du plus haut parc national du monde au Tibet

Les autorités chinoises ont annoncé l’ouverture d’un parc national sur le mont Everest et ses alentours, rapporte cnngo.com.

S’il devient le plus haut parc du genre au monde, il ne doit pas être bien loin du titre du plus gros également, puisque selon les estimations, il ferait l’équivalent de la République tchèque en superficie!

Le Qomolangma National Park devient donc une destination de rêve pour les amateurs d’aventures et de sensations fortes, puisque les conditions extrêmes des lieux confèrent à cette nouvelle réserve un cachet unique.

Situé dans la région autonome du Tibet et surplombant le mont Everest, ainsi que cinq autres montagnes supérieures à 800 mètres d’altitude, le parc promet de contrer les exploitations naturelles.

Voici d’ailleurs ce qu’avaient à dire les autorités et l’organisation à ce sujet, par l’entremise de Sun Yongping, chef du Bureau du Tourisme du Tibet : « Le parc national aura comme objectif et but principal de protéger le système écologique et la biodiversité. Nous nous assurerons que les exploitations illégales des réserves et des terres seront contrées ».

Beaucoup de détails restent à confirmer, mais parions que les touristes les plus téméraires et extrêmes auront une folle envie de mettre le cap sur le Tibet prochainement.

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Nouvelle attraction touristique inusitée en Chine

Une nouvelle attraction touristique pour le moins inusitée verra le jour en Chine, rapporte cnngo.com.

Il appert que le gouvernement chinois a décidé de revamper d’anciennes installations nucléaires afin d’en faire une attraction pour les touristes de passage, mais aussi pour favoriser le tourisme local.

Les autorités chinoises affirment vouloir dépenser un million de dollars pour la réfection des lieux, prétextant qu’il s’agira d’un grand succès touristique.

Et c’est possible, si l’on prend en considération que ces lieux sont chargés d’histoire et jusqu’à présent inaccessibles au grand public. Plusieurs touristes risquent donc d’être tentés de visiter une véritable « usine » nucléaire et de découvrir le processus de production des armes les plus destructrices connues de l’homme.

Rappelons que la Chine fait partie des pays qui ont signé le traité international de non-prolifération des armes nucléaires, en 1996, rendant plusieurs installations et usines de production d’armes obsolètes.

Le site du nom de Malan, de plus de 100 000 kilomètres carrés, se situe à un peu de moins de 400 kilomètres au sud-ouest d’Urumqui, une capitale provinciale.

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Le Tibet est de nouveau inaccessible

Routard.com rapporte que les permis d’accès pour le Tibet sont de nouveau révoqués, comme en juin dernier. Les étrangers ou titulaires de passeports étrangers ne sont donc plus admis dans cette partie de la Chine, pour une durée qui reste à déterminer.

On connait les tensions entre la Chine et le Tibet, ce qui force ce genre d’intervention. La même chose s’est produite plus tôt cette année, alors que les visiteurs étaient interdits entre le 1er et le 18 juin.

Lorsque l’accès fut de nouveau permis, plusieurs règles étaient en vigueur : être cinq personnes d’une même nationalité pour former un groupe, effectuer le paiement au moins 15 jours avant le séjour et posséder son passeport original.

On ignore à ce moment-ci quelles seront cette fois les règles à observer en vigueur lorsque le Tibet sera de nouveau accessible.

En temps normal, comme il s’agit d’une région faisant partie de la Chine, un visa chinois est nécessaire pour accéder au Tibet. De plus, les voyageurs doivent confier l’entièreté de leur voyage à une agence de voyages.

Malheureusement, la tendance semble pencher vers un durcissement global de l’application des lois en vigueur au Tibet, ainsi qu’un durcissement majeur des contrôles de sécurité.

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Le Tibet est de nouveau inaccessible

Routard.com rapporte que les permis d’accès pour le Tibet sont de nouveau révoqués, comme en juin dernier. Les étrangers ou titulaires de passeports étrangers ne sont donc plus admis dans cette partie de la Chine, pour une durée qui reste à déterminer.

On connait les tensions entre la Chine et le Tibet, ce qui force ce genre d’intervention. La même chose s’est produite plus tôt cette année, alors que les visiteurs étaient interdits entre le 1er et le 18 juin.

Lorsque l’accès fut de nouveau permis, plusieurs règles étaient en vigueur : être cinq personnes d’une même nationalité pour former un groupe, effectuer le paiement au moins 15 jours avant le séjour et posséder son passeport original.

On ignore à ce moment-ci quelles seront cette fois les règles à observer en vigueur lorsque le Tibet sera de nouveau accessible.

En temps normal, comme il s’agit d’une région faisant partie de la Chine, un visa chinois est nécessaire pour accéder au Tibet. De plus, les voyageurs doivent confier l’entièreté de leur voyage à une agence de voyages.

Malheureusement, la tendance semble pencher vers un durcissement global de l’application des lois en vigueur au Tibet, ainsi qu’un durcissement majeur des contrôles de sécurité.