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Des salles d’opération inutilisées à Longueuil

Le Journal de Montréal nous apprend que certaines salles du bloc opératoire de l’Hôpital Pierre-Boucher, à Longueuil, ne sont pas utilisées pour les tâches prévues, c’est-à-dire la chirurgie.

L’administration du centre hospitalier évoque une pénurie de main-d’oeuvre, notamment d’anesthésistes et d’infirmières, pour expliquer cette situation, alors que 5 200 personnes de la région de la Montérégie figurent sur les listes d’attente pour une chirurgie.

Selon le quotidien, la rivalité entre les hôpitaux Charles-LeMoyne et Pierre-Boucher serait une explication plus plausible, alors que chacun d’eux souhaite garder la main mise sur leur équipe médicale afin de recevoir les subventions versées par le ministère de la Santé et des Services sociaux pour les chirurgies effectuées.

En janvier dernier, une de ces salles d’opération devait être inaugurée. Les autres ne seront ouvertes qu’à la fin de l’année 2009.

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Les effets à long terme de la chirurgie au laser

Vendredi dernier (25 avril), l’organisme de santé américain a amorcé des groupes de discussion afin de se pencher sur les effets à long terme de la chirurgie LASIK, qui gagne sans cesse en popularité.

Selon la Food and Drug Administration (FDA), les chirurgiens doivent insister davantage sur les complications que peut avoir ce type d’intervention. Parmi celles-ci, notons des yeux secs, des éblouissements, une vision trouble et une hausse du risque d’une inflammation de la cornée.

Parmi les recommandations de la FDA, on note un resserrement des candidats qui peuvent ou non faire corriger leur myopie par la chirurgie LASIK.

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Les conséquences d’une chirurgie au genou ou à la hanche

Selon une étude réalisée par l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS), un patient sur sept ayant subi une arthroplastie du genou ou de la hanche retourne à l’hôpital dans l’année suivant la chirurgie. L’hospitalisation est due à des complications postopératoires, comme des infections, le descellement de la prothèse ou une dislocation.

Sur les 51 029 Canadiens qui ont subi une première chirurgie au genou ou à la hanche en 2005-2006, 7 700 ont été hospitalisés au moins une fois dans les 12 mois suivant l’arthroplastie.

Une conseillère de l’ICIS, Tracy Johnson, a commenté cette étude : « Bien qu’un remplacement articulaire puisse sans conteste améliorer la qualité de vie d’un patient, cela ne va pas toujours sans complications. L’examen des raisons entourant cette augmentation du nombre d’hospitalisations pourrait constituer une occasion d’améliorer la qualité des soins, de réduire les coûts et d’offrir un meilleur accès aux hôpitaux et aux chirurgiens à d’autres patients qui en ont besoin. »

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La chirurgie au laser réévaluée par la FDA

Malgré sa popularité sans cesse croissante, la chirurgie de type LASIK est sous la lorgnette de la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis.

L’organisme souhaite tenir des groupes de discussion afin de se pencher sur les effets secondaires que peut entraîner la chirurgie LASIK. Celle-ci peut causer des yeux secs, des éblouissements, une vision trouble et une hausse du risque d’une inflammation de la cornée.

« Cette technologie est très prisée et populaire, mais nous nous questionnons en matière de qualité de vie et des effets que cela peut avoir sur les patients », a mentionné le Dr Daniel Schultz, directeur du Center for Devices and Radiological Health de la FDA.

On ignore encore quand se tiendront les groupes de discussion sur le sujet.

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Quand la technologie est au service de la médecine

L’Hôpital général juif de Montréal (HGJ) a fait l’acquisition d’un robot chirurgical qui permet une précision inégalée lors des chirurgies à la prostate et à l’utérus.

L’HGJ compte ainsi réduire les temps opératoire et de convalescence associés à ces types de chirurgies. Pour les patients, cela signifie une atténuation des effets indésirables, comme les saignements et la douleur.

Selon le Dr Jacques Corcos, qui travaille à ce centre hospitalier, « il apparaît de plus en plus évident que dans les cas de prostatectomies réalisées avec le robot de nouvelle génération, les taux de dysfonctions sexuelles et d’incontinence sont réduits à des niveaux extrêmement bas. »

Ce petit bijou technologique coûte environ 1,3 million $. On en compte 700 à l’échelle mondiale. Celui du HGJ comprend un écran haute définition et un quatrième bras opératoire.

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Une apparence digne d’une star

Une récente enquête menée par l’International Society of Aesthetic Plastic Surgery (ISAPS) auprès de 2 000 chirurgiens esthétiques met en lumière les demandes de leurs clients. Non seulement souhaitent-ils faire corriger quelques défauts physiques, mais en plus, ils veulent ressembler à une vedette d’Hollywood.

Angelina Jolie, Nicole Kidman, Pamela Anderson, Sophia Loren, Gisele Bündchen, Brad Pitt et George Clooney sont les plus souvent cités dans les bureaux des chirurgiens.

Selon l’ISAPS, ce phénomène pourrait s’expliquer par l’accès de plus en plus facile à la chirurgie esthétique, aux progrès et aux améliorations continus par rapport aux techniques utilisées, ainsi qu’à la diversité des modes de paiement.

Chez les femmes, les chirurgies les plus populaires touchent les seins et les lèvres, qu’elles souhaitent aussi pulpeuses que celles d’Angelina Jolie, tandis que les hommes sont davantage préoccupés par l’aspect de leur abdomen, de leur nez et de leurs yeux.

Le Dr Nahai, vice-président et directeur du conseil de l’ISAPS, recommande avant tout d’être prudent lorsque l’on souhaite passer sous le bistouri. « Les femmes passent des semaines à trouver le bon décorateur ou la bonne robe pour un évènement important; pourquoi ne passeraient-elles pas autant de temps à chercher sérieusement un bon chirurgien-plasticien ? », a-t-il mentionné.

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L’attente préchirurgicale au Québec augmente

Au Québec, la période d’attente avant une opération serait plus longue qu’en 2006. Les Québécois doivent attendre environ cinq mois avant de subir une chirurgie, ce qui fait une semaine de plus qu’en 2006.

Ces données proviennent d’une étude de l’Institut Fraser et font référence au temps d’attente moyen avant une chirurgie, pour 12 spécialités différentes.

Le système de santé ontarien permet à ces habitants d’attendre cinq semaines de moins que les Québécois avant une opération. Par contre, en Nouvelle-Écosse, le nombre de semaines d’attente atteint vingt-sept.

Selon Tasha Kheiriddin, de l’Institut Fraser, le temps d’attente préchirurgicale au Québec est causé par le mauvais fonctionnement du système de santé actuel.

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Des soins différents pour les femmes cardiaques

Une étude présentée à la rencontre annuelle de l’European Society of Cardiology, à Vienne, aurait suggéré que certaines chirurgies, qui normalement sauvent la vie des hommes dans le traitement de maladies cardiaques, pourraient être fatales pour les femmes.

Selon la meneuse de l’étude, Dr Eva Swahn, du Département de cardiologie de l’Hôpital universitaire de Linkoping en Suède, les opérations majeures au coeur comme les pontages coronariens, entraîneraient plus de femmes que d’hommes dans la mort.

Selon les experts, l’étude de Swahn devra être approfondie afin de faire des conclusions mais, selon les médecins, les vaisseaux sanguins plus étroits ainsi que certaines hormones chez les femmes pourraient être à l’origine des complications qu’elles subissent durant les opérations.

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Optez pour l’hypnose avant une chirurgie

Selon une étude parue dans le Journal of the National Cancer Institute, le rétablissement post-chirurgical des femmes ayant été au préalable hypnotisées serait plus rapide et moins douloureux.

Selon cette étude américaine, une fois sortie de l’hôpital, les patientes ayant eu une séance d’hypnose auraient moins d’effets secondaires attribuables à la chirurgie.

Le psychologue clinicien Guy Montgomery, de la Faculté de médecine Mount Sinai à New York, affirme que ces femmes auraient moins de nausées, de douleurs, de fatigue et d’inconfort.

De plus, le rétablissement plus rapide des femmes hypnotisées pourrait représenter une économie d’argent pour les hôpitaux si le séjour en salle de réveil est de plus courte durée pour ces femmes opérées pour le cancer du sein. 

Selon les chercheurs de cette étude, seuls des psychologues hautement qualifiés en hypnose pourraient entraîner un impact post-chirurgical positif.