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Emmanuelle Béart règle ses comptes

L’actrice Emmanuelle Béart effectue une sortie en règle et décide de régler ses comptes après des années de critique concernant sa chirurgie des lèvres, et en profite pour décrier une injustice homme-femme dans le dossier.

Les propos de la star, rapportée par Voici, sont on ne peut plus clairs.

« J’ai fait refaire ma bouche, à l’âge de 27 ans. Ce n’est un secret pour personne, c’est loupé. Il y a des personnes que ça a profondément affectées, je fais partie de celles-là. Évidemment, si ma bouche m’avait plu, je n’aurais jamais eu envie de la refaire. Mais franchement, je ne suis pas près d’y retourner, parce que j’ai eu un tel choc, avec tout ça et sous le regard des autres », explique Emmanuelle Béart.

L’actrice poursuit avec des propos difficilement réfutables, concernant une attitude des fans et des médias envers les femmes qu’elle considère comme misogyne.

« Il y a une forme de bienveillance à l’égard des hommes dont nous, les femmes, nous ne bénéficions pas. Je ne me suis jamais considérée comme une victime, mais ce que j’entends sur les actrices, sur les femmes, est souvent abject. Est-ce qu’on demande à un acteur s’il se fera des injections de Botox quand il aura atteint la cinquantaine? »

Emmanuelle Béart touche la cible avec ces propos sentis, et même si elle semble avoir de bonnes raisons pour avoir recours à la chirurgie esthétique, on se demande si le véritable débat n’est pas dans l’utilisation abusive de telles pratiques chez les célébrités, qui proposent ainsi un exemple malsain pour leurs fans, et les femmes en général.

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Emmanuelle Béart règle ses comptes

L’actrice Emmanuelle Béart effectue une sortie en règle et décide de régler ses comptes après des années de critique concernant sa chirurgie des lèvres, et en profite pour décrier une injustice homme-femme dans le dossier.

Les propos de la star, rapportée par Voici, sont on ne peut plus clairs.

« J’ai fait refaire ma bouche, à l’âge de 27 ans. Ce n’est un secret pour personne, c’est loupé. Il y a des personnes que ça a profondément affectées, je fais partie de celles-là. Évidemment, si ma bouche m’avait plu, je n’aurais jamais eu envie de la refaire. Mais franchement, je ne suis pas près d’y retourner, parce que j’ai eu un tel choc, avec tout ça et sous le regard des autres », explique Emmanuelle Béart.

L’actrice poursuit avec des propos difficilement réfutables, concernant une attitude des fans et des médias envers les femmes qu’elle considère comme misogyne.

« Il y a une forme de bienveillance à l’égard des hommes dont nous, les femmes, nous ne bénéficions pas. Je ne me suis jamais considérée comme une victime, mais ce que j’entends sur les actrices, sur les femmes, est souvent abject. Est-ce qu’on demande à un acteur s’il se fera des injections de Botox quand il aura atteint la cinquantaine? »

Emmanuelle Béart touche la cible avec ces propos sentis, et même si elle semble avoir de bonnes raisons pour avoir recours à la chirurgie esthétique, on se demande si le véritable débat n’est pas dans l’utilisation abusive de telles pratiques chez les célébrités, qui proposent ainsi un exemple malsain pour leurs fans, et les femmes en général.

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Google Glass fait son entrée en bloc opératoire

C’est fait, les fameuses Google Glass ont fait leur entrée au bloc opératoire, alors que plusieurs hôpitaux ont tenté l’expérience au cours des derniers mois, rapporte le New York Times.

C’est le cas du Dr Selene Parekh, un chirurgien orthopédique du Centre Medical Duke, et du Dr Oliver J. Muensterer, un chirurgien pédiatrique.

Même si l’on rapporte ces cas comme des premières, il semble que certains chirurgiens utilisent la technologie Google Glass depuis un bon moment, de façon plus ou moins officielle.

Le Dr Oliver J. Muensterer, quant à lui, a récemment publié les résultats de ses expériences avec les lunettes de Google.

Les commentaires des chirurgiens sur les Google Glass sont assez unanimes. On estime que la technologie sera utile en santé au cours des prochaines années.

« Peut-être pas cette version, mais une version développée dans le futur et spécialement conçue pour les soins de santé, avec tous les problèmes corrigés », précise le Dr Muensterer.

Les Google Glass permettent notamment d’enregistrer et de partager les données et informations d’une opération, bénéficiant aux autres spécialistes de partout dans le monde. Au final, les applications médicales des Google Glass semblent infinies pour plusieurs médecins, dont celle de sauver des vies par une meilleure analyse des premiers répondants. 

Un dossier fascinant à suivre, qui n’en est qu’à ses balbutiements. Voyez le rapport du Dr Muensterer.

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L’opération qui peut sauver les jumeaux du syndrome transfuseur-transfusé

Cette complication est rare, mais mène au décès 9 fois sur 10, rapporte Top Santé. Le syndrome transfuseur-transfusé (STT) affecte 15 % des grossesses monochoriales (jumeaux partageant le même placenta). Le phénomène consiste en la fusion d’une partie des deux cordons ombilicaux.

Conséquemment, l’un des fœtus reçoit le sang de son jumeau, alors que ce dernier lui fait constamment des transfusions. Il risque donc l’anémie, alors que l’autre peut faire de l’insuffisance cardiaque.

La chirurgie d’à peine 40 minutes s’effectue sous anesthésie locale ou à la suite d’une péridurale. À l’aide de lasers, le lien entre les deux cordons se détache, et les médecins forcent la coagulation.

Apparue en 2006, cette opération permet 8 fois sur 10 de garder l’un des deux fœtus en vie, et dans 65 % des cas, les deux survivent.

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La chirurgie bariatrique pourrait être aussi bénéfique pour le foie

La fameuse chirurgie bariatrique, qui fait beaucoup parler d’elle depuis quelques années, se retrouve en vedette dans une nouvelle étude qui vante ses mérites pour la santé du foie également.

L’étude en question, rapportée par Top Santé, provient de l’Université de Floride du Sud et s’attarde aux dossiers de 152 patients considérés comme obèses, avant et après la sérieuse opération.

Les deuxièmes tests effectués 29 mois après la chirurgie bariatrique chez ces patients démontrent que le foie bénéficie grandement de la procédure. Notamment, on remarque une baisse de l’inflammation du foie, parfois jusqu’à 75 %. Les dépôts graisseux qui se retrouvent sur le foie seraient également diminués de 70 % chez plusieurs de ces patients.

« Nous sommes au cœur d’une épidémie d’obésité qui peut conduire en plus à une épidémie de maladies non alcooliques du foie. Si la chirurgie bariatrique est un outil pour la lutte contre l’obésité, elle pourrait également aider à traiter la maladie hépatique généralisée », déclare le Dr Murr, auteur de l’étude.

Les conclusions de l’équipe floridienne ont été dévoilées lors de la Digestive Disease Week.

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Un an après sa chirurgie, Angelina Jolie heureuse de sa décision

Le 13 mai 2013, l’actrice Angelina Jolie annonçait au monde qu’elle avait subi une double mastectomie préventive. Cette décision radicale fut prise, car l’actrice avait « 87 % de chances de développer un cancer du sein ».

Un an plus tard, la vedette de 38 ans revient sur cette épreuve en accordant une entrevue au magazine Entertainment Weekly. La vedette de la série de films Tomb Raider n’a aucun regret.

« J’ai eu la chance d’avoir de très bons docteurs, de bien récupérer et d’avoir un projet, Unbroken, sur lequel me centrer. » 

Depuis qu’elle a fait l’annonce de sa décision, Angelina Jolie est devenue une icône de courage pour de nombreuses femmes à travers le monde.

« Je me sens tellement proche d’elles. Mais je parle aussi à des hommes de la santé de leurs filles et de leur femme. Je me sens plus liée à ces gens qui ont eux aussi perdu un parent, qui envisagent la chirurgie ou s’interrogent à propos de leurs enfants. »

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Cameron Diaz regrette la chirurgie esthétique

L’actrice de 41 ans, Cameron Diaz, admet que l’opération au Botox a changé son visage « d’une façon vraiment bizarre », a-t-elle confié à ET online. Elle préfère voir son visage vieillir naturellement plutôt que de voir ses traits figés, « comme si mon visage ne m’appartenait pas. »

Diaz, qui fait la promotion de son livre The Body Book, se dit très à l’aise avec ses pattes d’oie lorsqu’elle sourit, et ne veut plus toucher au Botox. « Devinez pourquoi j’ai ces traits? C’est parce que j’ai ri toute ma vie. »

La star parle ouvertement de tous les sujets dans son livre, qui se veut un baume pour l’esprit et le corps. Elle y va même de son point de vue sur les poils pubiens (les siens y compris) et des troubles que l’acné lui a apportés.

« J’ai tout essayé pour m’en débarrasser et pour les couvrir devant la caméra. C’était très humiliant et frustrant, et j’avais très peu confiance en moi. »

Heureusement, les conseils de Cameron Diaz ne sont pas aussi drastiques que la diète proposée par Gwyneth Paltrow pour se remettre du temps des fêtes. À 300 calories par jour, à se nourrir de tisane et de soupe au citron et aux lentilles, l’actrice alarme les nutritionnistes.

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Renée Zellweger, troublée qu’on la croie anorexique

L’actrice de 44 ans, Renée Zellweger, se dit pourtant « blessée » des propos tenus dans les médias. Elle confie ses préoccupations au site Express.

« Ce n’est pas agréable de lire des articles affirmant, sans que ce soit vrai, que vous faites telle ou telle chose, que vous êtes allée trop loin », raconte l’interprète de Bridget Jones.

Nous avons été habitués à la voir plus en chair, surtout pour ce rôle, mais sa perte de poids n’a rien à voir avec un trouble alimentaire. En fait, sa forme physique serait due bien au contraire à des séances régulières d’entraînement et à un régime strict.

Cependant, Renée Zellweger ne peut pas démentir la rumeur de chirurgie plastique qui accompagne les récentes photos, où on reconnaît à peine ses traits, comme l’indique Closer Mag.

Quant à sa silhouette, elle n’aura pas à s’en soucier pour ses projets de famille. En effet, rappelons que récemment, l’actrice indiquait qu’elle voulait des enfants. Seulement, à 44 ans, elle est consciente, selon ses amis, d’être « passée à côté » de la possibilité de grossesse, et préfère donc adopter.

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Renée Zellweger, troublée qu’on la croie anorexique

L’actrice de 44 ans, Renée Zellweger, se dit pourtant « blessée » des propos tenus dans les médias. Elle confie ses préoccupations au site Express.

« Ce n’est pas agréable de lire des articles affirmant, sans que ce soit vrai, que vous faites telle ou telle chose, que vous êtes allée trop loin », raconte l’interprète de Bridget Jones.

Nous avons été habitués à la voir plus en chair, surtout pour ce rôle, mais sa perte de poids n’a rien à voir avec un trouble alimentaire. En fait, sa forme physique serait due bien au contraire à des séances régulières d’entraînement et à un régime strict.

Cependant, Renée Zellweger ne peut pas démentir la rumeur de chirurgie plastique qui accompagne les récentes photos, où on reconnaît à peine ses traits, comme l’indique Closer Mag.

Quant à sa silhouette, elle n’aura pas à s’en soucier pour ses projets de famille. En effet, rappelons que récemment, l’actrice indiquait qu’elle voulait des enfants. Seulement, à 44 ans, elle est consciente, selon ses amis, d’être « passée à côté » de la possibilité de grossesse, et préfère donc adopter.

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La chirurgie robotisée provoque le débat

Si vous croyez que les opérations chirurgicales effectuées par des robots sont de l’ordre d’un avenir lointain, détrompez-vous.

En fait, de plus en plus de centres hospitaliers dans le monde utilisent et perfectionnent la robotique médicale, et certaines opérations ont déjà été effectuées par des robots, sous la supervision de personnel médical qualifié.

Or, l’arrivée soudaine des technologies du futur dans le monde médical soulève des interrogations et des peurs, et provoque un débat enflammé.

D’un côté, les pro-technologies affirment que la précision calme et froide d’un robot permettrait de désengorger certaines listes d’attente et d’élever les taux de réussite de certains types de chirurgies plus poussées.

De l’autre, les anti-robots voient en cette ère de la robotique une gigantesque porte s’ouvrir sur les erreurs médicales, les morts prématurées et d’horribles accidents.

Et ce deuxième groupe a de quoi argumenter, alors qu’on recense 70 décès liés à des manœuvres robotisées en centre hospitalier sur le territoire américain depuis 2009, et que certains problèmes de conduction d’électricité ont été observés.

 Cependant, tous ces cas doivent être mis en perspective du nombre total d’opérations médicales en tous genres impliquant une technologie robotique, soit 367 000 en 2012 seulement (États-Unis), selon le Daily Mail (UK).

Quoi qu’il en soit, le débat risque de se poursuivre encore longtemps, et comme l’histoire l’a démontré, rien ne peut vraiment stopper la montée de la technologie. Ce genre d’opérations risque de devenir de plus en plus fréquent dans nos vies et dans le monde médical.

Au Québec, avec les problèmes de budget restreints, la question risque de ne pas se poser vraiment avant longtemps…