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La sclérose en plaques guérie par la chirurgie?

Un chercheur italien de l’Université de Ferrare vient de remettre en question toute la compréhension de la sclérose en plaques.

Jusqu’ici considérée comme une maladie neurologique et auto-immune, il s’agirait plutôt d’une maladie vasculaire qui peut être traitée par une simple chirurgie, affirme le Dr Paulo Zamboni.

Selon le chercheur, il s’agit d’une perturbation au niveau de la circulation sanguine. Le système veineux n’arriverait pas à drainer correctement le sang dans le système nerveux central.

En suivant 65 patients atteints de la maladie, le Dr Zamboni a constaté que 90 % des cas avaient des veines difformes ou bloquées. Il a alors pratiqué une angioplastie chez certaines personnes. Les résultats sont surprenants : deux ans après l’intervention, 73 % des personnes opérées n’ont plus aucun symptôme de la maladie.

On rappelle qu’il ne s’agit que de résultats préliminaires et que les personnes atteintes doivent continuer leur médication.

La Société canadienne de la sclérose en plaques invite maintenant les scientifiques à demander des subventions afin de pousser les recherches dans cette nouvelle voie.

Au Canada, 1 000 nouveaux cas de sclérose en plaques sont diagnostiqués chaque année.

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La chirurgie du vagin peut être dangereuse

Avec le nombre croissant de femmes ayant recours à la chirurgie du vagin, les médecins rappellent les dangers de cette intervention.

Selon les chercheurs de l’University College de Londres, aucune étude ne s’est réellement penchée sur les effets à long terme de la labiaplastie qui consiste à réduire les lèvres. Cette intervention est irréversible et souvent pratiquée uniquement pour des raisons esthétiques.

Autrefois, c’était surtout les mannequins de renom qui avaient recours à l’intervention. Dans les dernières années, on assiste toutefois à une augmentation de ce type de chirurgie. 1 118 femmes ont eu une labiaplastie en 2008-2009 contre 669 en 2007-2008 et 404 en 2006-2007.

Selon les chercheurs, cette chirurgie pourrait endommager les organes génitaux féminins. On demande des recherches approfondies sur les effets à long terme, notamment sur la fonction sexuelle.

Plusieurs rapports ne font mention que de la satisfaction des clientes face à l’apparence, mais tous mentionnent qu’il doit y avoir plus de suivi sur les effets physiques comme la gêne ou une diminution des sensations.

Les psychologues expliquent l’augmentation d’une telle chirurgie par la pression sociale exercée sur les femmes et la publicité qui prône une apparence prépubère pour toutes les femmes.

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La chirurgie pour traiter les problèmes de salive

Des chercheurs mentionnent que les gens qui salivent trop devraient songer sérieusement à avoir recours à la chirurgie.

Selon un article du Archives of Otolaryngology – Head & Neck Surgery, les cas de surplus de salive sont difficiles à traiter. Certains sont dus à des problèmes physiques, d’autres à une mauvaise connexion avec le cerveau.

Il existe différents types d’interventions chirurgicales, comme supprimer les glandes salivaires ou encore réacheminer les conduits qui transportent la salive.

Peu importe la chirurgie, plus de la moitié des personnes qui y ont eu recours ont noté une nette amélioration de leur état. À ce jour, il n’existe en fait aucun autre moyen plus efficace.

Ces interventions devraient donc être sérieusement envisagées pour ceux qui ont ce problème depuis longtemps.

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Ménopause et cancer du poumon

Des épidémiologistes de l’Université de Montréal et de l’Institut Armand-Frappier viennent d’établir un lien entre l’ablation des ovaires et le cancer du poumon.

Selon une étude publiée dans l’International Journal of Cancer, les femmes ménopausées à la suite d’une chirurgie auraient deux fois plus de risques de développer un cancer du poumon.

Les chercheurs ont étudié 422 femmes ayant un cancer du poumon et 577 sujets témoins de 18 hôpitaux. Ils ont établi différents facteurs comme le tabagisme, les antécédents médicaux et les antécédents concernant les règles et les grossesses notamment.

Tout comme le tabagisme, une ménopause précoce et non naturelle diminue le taux d’œstrogène, ce qui augmenterait les risques de cancer, plus encore, si elle survient à un plus jeune âge.

L’âge moyen pour une ménopause naturelle est de 50 ans et pour l’étude, l’âge moyen des femmes ayant eu une ménopause précoce était de 43 ans.

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Une découverte pour améliorer les chirurgies

Des chercheurs de l’Université de Waseda, au Japon, ont mis au point une membrane artificielle adhésive ultrafine et pratiquement invisible qui pourra être utilisée lors d’une chirurgie ou pour panser les organes lors d’une hémorragie interne.

D’une épaisseur de 75 nanomètres, le pansement a la particularité de se fondre dans le corps et de disparaître par lui-même.

Conçu à base d’algues et de chitosane, une substance que l’on retrouve dans la carapace des crustacés, le pansement procure une meilleure cicatrisation et réduit le risque d’allergie.

Malgré ces résultats prometteurs, aucun essai clinique n’a été fait sur des humains pour le moment, mais les scientifiques ont espoir de le faire d’ici trois ans.

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Une nouvelle chirurgie pour l’épilepsie

Une équipe de neurochirurgiens associée au Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) ont perfectionné la chirurgie de l’insula, qui était autrefois considérée comme trop dangereuse, afin de mieux maîtriser l’épilepsie insulaire réfractaire.

Longtemps mis de côté dans le traitement de cette forme d’épilepsie réfractaire, ce type d’opération est encore rarement pratiqué en raison des risques de dommages à certaines structures importantes du cerveau, entraînant parfois la paralysie partielle et la perte du langage.

Neuf patients ont donc subi cette intervention avec succès. Les chirurgiens ont observé certaines complications transitoires comme une perte du tonus musculaire et de la dysphasie.

« Il s’agit de la première cohorte composée de patients traités principalement pour épilepsie réfractaire par cette technique depuis les travaux du neurochirurgien Wilder Penfield dans les années 1950 », a précisé l’un des neurochirurgiens, le Dr Ramez Malak.

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Potins

Prince souffre

Le chanteur de Minneapolis souffre énormément en raison de sérieux problèmes avec ses deux hanches et une opération serait devenue nécessaire.

Selon The Hollywood Reporter, Prince est dans l’obligation d’avaler de bonnes quantités de médicaments antidouleur en espérant que son martyr cesse. L’artiste de 51 ans semble aujourd’hui devoir payer le prix pour ses déhanchements lascifs qui auront fait sa marque de commerce.

Prince, qui est Témoin de Jéhovah depuis 2001, ne peut toutefois pas se soumettre à une chirurgie qui demande des transfusions sanguines sans enfreindre les préceptes de sa nouvelle religion.

Certaines sources affirment qu’il aurait refusé une première chirurgie pour une de ses deux hanches en 2005, tandis que d’autres assurent qu’il aurait eu recours à une chirurgie secrète sans que ses chefs religieux soient mis au courant.

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Une chirurgie bariatrique sans points de suture

Grâce à un simple tube inséré dans l’oesophage, des chercheurs sont en mesure de diminuer la grosseur de l’estomac. Cette nouvelle chirurgie bariatrique expérimentale, qui ne nécessite aucune coupure, ralentit alors le passage de la nourriture dans le système digestif et donne l’impression aux patients d’être rassasiés.

Jusqu’ici, 200 patients américains et 100 Européens ont subi ce type d’intervention. Le Dr Gregg Nishi, chirurgien au Centre médical Cedars-Sinai à Los Angeles, prétend que ces derniers ont perdu en moyenne jusqu’à 45 % de leur poids, 18 mois après la chirurgie.

Malgré ces résultats prometteurs, ce type de chirurgie bariatrique n’a pas encore été approuvé par les autorités fédérales aux États-Unis.

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Une chirurgie cardiaque inefficace

Une recherche menée par le Dr Robert Jones, du Duke Clinical Research Institute, auprès de 1 000 patients vient de démontrer les risques que comporte la reconstruction chirurgicale ventriculaire (RCV).

Ce type de chirurgie, qui vise à traiter l’insuffisance cardiaque, consiste à replier sur elle-même la partie cicatrisée du ventricule endommagé pour que le coeur puisse battre de façon plus efficace.

À la suite des travaux, les chercheurs concluent que la RVC ne diminue pas le taux de mortalité chez les patients et le taux d’hospitalisation. En effet, 28 % des participants ayant subi un pontage coronarien sont décédés, tandis que le groupe du RVC a enregistré un taux de mortalité de 27 % après la chirurgie.

« Nous avons conclu qu’il n’y avait aucun avantage à procéder à la RCV chez les patients qui ont participé à l’essai STICH », a indiqué le Dr Jean-Lucie Rouleau, qui a participé à l’étude.

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Moins d’ablations des amygdales

Un rapport, déposé par le coroner Jacques Ramsay, recommande aux chirurgiens et médecins de suivre de plus près leurs patients ayant subi une ablation des amygdales.

Ce rapport fait suite au décès, en novembre 2006 à Saguenay, d’un garçon de sept ans qui a subi un choc hémorragique après l’opération.

À mots couverts, M. Ramsay suggère aux professionnels de la santé de moins pratiquer ce type de chirurgie, à moins qu’elle ne soit absolument nécessaire, et de resserrer les critères pour la pratiquer.

Le coroner croit aussi que les chirurgiens et le personnel médical devraient s’assurer d’avoir tout l’équipement nécessaire si jamais une hémorragie survenait lors de l’ablation des amygdales.