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Valence dévoile le magnifique clip de son nouvel extrait

L’auteur-compositeur-interprète Valence vient tout juste de dévoiler le troisième extrait de son premier album Pêle-Mêle qui est attendu pour le 10 septembre sur l’étiquette Chivi Chivi. « America », cette nouvelle chanson énergique nous plonge dans une exploration de l’identité, tout en ridiculisant le fameux « Rêve américain ».

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Valence a partagé en même temps un vidéoclip pour cet extrait dans lequel on le voit vivre une entrevue (assez malaisante merci) de laquelle il fuit sur le scooter d’un ami. On le voit ensuite accompagné de ses proches dans une foule de vidéos *pêle-mêle* qui proviennent de ses images d’archives qu’il a accumulées depuis le début du projet.

«Les années passent, mon identité se précise et le regard que je porte sur moi-même gagne en lucidité. Je suis le produit d’une banlieue nord-américaine où se joue une compétition sur la couleur verte de la pelouse et sur l’éradication de ses pissenlits. Face à l’ennui, tout est à créer; la curiosité d’être quelqu’un d’autre m’appelle plus que jamais. J’espère ne pas décevoir celles et ceux que j’aime», lance le jeune artiste.

Voici donc le magnifique vidéoclip de America:

VALENCE EN SPECTACLE

16 juillet 2021 – Les vendredis en musique – Beaumont, QC
21 juillet 2021 – Parc Riverain de Lachine – Montréal, QC
23 juillet 2021 – Le Festif! – Baie-St-Paul, QC
24 juillet 2021 – Le Festif! (DJ set) – Baie-St-Paul, QC
25 août 2021 – Cour arrière du Festibière de Lévis (DJ set) – Lévis, QC
29 août 2021 – Parvis de l’église Saint-Grégoire de Nazianze – Buckingham, QC
9 sept. 2021 – Lancement « Pêle-mêle » – Ministère – Montréal, QC BILLETS
11 sept. 2021 – Lancement « Pêle-mêle » Grand Théâtre de Québec – Québec, QC BILLET

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Valence signe avec Chivi Chivi et dévoile sa nouvelle chanson

Si vous ne connaissez pas déjà Valence, let’sss gooooo! L’auteur-compositeur-interprète et multi-instrumentiste déborde de talents, vous l’aurez compris. Il a d’ailleurs gagné l’édition 2020 des Francouvertes et vient tout juste d’annoncer sa signature chez Chivi Chivi (Lydia Képinski, Robert Robert, Hildegard, Helena Deland). « Jamais (j’aurais pensé) », c’est sa nouvelle power ballad cathartique qui fait réellement du bien.

Valence

Crédit: Frédérique Ménard Aubin

« Amalgame de couleurs chaudes et clin d’œil aux clichés des ballades soft-rock, la proposition se forge autour de mélodies accrocheuses et cosmiques, en empruntant au néo-psychédélisme sa densité et à la dream pop, son esthétique éthérée. » Vincent Dufour alias Valence réalise son art indie pop au fignolage désinvolte avec beaucoup de brio. Sa nouvelle chanson a d’ailleurs été terminée vraiment last minute puisqu’il lui manquait son bridge, qui a finalement été écrit et enregistré la veille de la date d’échéance de sa location de micro. Ça ajoute un charme à sa personne, et on adore d’autant plus entendre sa musique.

«Cette chanson, c’est le choc. Ce qui fait que l’improbable frappe fort quand il arrive, c’est qu’on ne l’attend évidemment pas. Elle a été une façon de prendre le temps, de me visiter intérieurement», raconte Valence. En effet, ce titre a été composé au tout début de la pandémie en 2020. On peut lire sous une publication Instagram : « Enfin!!! Une grosse partie de la pièce s’est écrite et enregistrée dans ma chambre, en mai passé, sur le edge du bon buzzzzz inattendu de l’année 2020. Deux mois plus tard, je me rendais au studio de mon grand frère métropolitain, celui que l’on surnomme Steevenson Steeven, pour y enregistrer quelques synthés et de la batterie, splendidement exécutée par Aubert GM. De retour à QC je me suis loué un micro u87 et j’ai enregistré mes takes de voix dans un mini booth obscure jusqu’à en faire de l’acouphène. Mais il me manquait une partie du texte… Sur le bon buzz de l’urgence, les strophes manquantes sont sorties sans force. J’ai retravaillé la session Logic et j’ai envoyé la track à Antoine B. [Mystério] pour qu’il y enregistre quelques couches de saxo. S’en sont suivis des mois de mixage intensifs avec David BT, celui que l’on surnomme aussi « King D ». Et voilà, la chanson est là. J’espère que vous l’aimerez. »

En tout cas, de notre côté, on l’a déjà ajouté à nos meilleures playlists.

Spotify

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Robert Robert et Hubert Lenoir présentent leur clip

Un virage francophone avait été annoncé pour l’auteur-compositeur-interprète montréalais Robert Robert, et le moment est venu de dévoiler le premier extrait de cette nouvelle direction. C’est avec le morceau La nuit se plaindre qu’on voit une nouvelle (et merveilleuse) facette du talent de l’artiste. D’ailleurs, on y entend aussi l’extraordinaire Hubert Lenoir, qui a pris part à la réalisation de la chanson.

Un vidéoclip a vu le jour au même moment, où l’on peut apercevoir la beauté de l’amitié entre les deux artistes grâce à des images intimes qui nous font sentir comme si nous faisions partie de la gang. Le clip a été réalisé par Noémie D. Leclerc et son doux travail nous charme beaucoup.

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Ce premier extrait exaltant est fait pour être écouté dans la voiture, direction nulle part, le volume au maximum avec ses notes électro-pop enivrantes. La nuit se plaindre n’est que le début de ce qu’on pourra retrouver sur l’étiquette chivi chivi.

De plus, un Tumblr est disponible pour nous faire découvrir le clip ainsi que des photos cocasses « behind the scenes » de la réalisation du clip.

TUMBLR

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Etienne Dufresne lance un clip à l’esthétique des jeux vidéo des ’90

Issu de la génération de Radio Enfer, Etienne Dufresne a grandit bercé par le rock prog de ses parents, quelque part entre Victoriaville et Magog. Très jeune, il apprend la guitare par lui-même dans l’espoir avoué d’impressionner son père. Il infiltre d’abord la scène musicale montréalaise comme photographe, avant de troquer sa caméra pour ses chansons, suite à une série d’échecs amoureux et professionnels. Son premier EP Sainte-Colère, une mise en bouche convaincante mêlant synth pop et electro folk, est une co-réalisation avec l’ingénieur de son Jean-Bruno Pinard (Les Louanges, Laurence-Anne) et paraît en février 2020, via Chivi Chivi. Touche-à-tout, Etienne signe lui-même l’identité visuelle de son projet, des photos de presse jusqu’aux vidéoclips. Il a dévoilé en catimini la mono-plage « Les Couteaux »  (co-réalisé avec Félix Petit) vers la fin novembre et ouvre désormais la nouvelle année avec « Jolicoeur ».

Jolicoeur est un blues décalé qui s’ouvre sur la guitare mélancolique, s’accentue d’une rythmique de piano, se ponctue de choeurs dramatiques au refrain et vogue vers les voluptés du saxophone (celui de Felix Petit qui co-réalise le morceau) pour finir sur une voix grave qui se pose au creux de l’oreille (à la manière de Joe Dassin) et qui invite à s’enfuir vers Jolicoeur, cette ville aux mille espoirs.

« Jolicoeur, c’est l’histoire de celui qui, en quête de bonheur, tente de refaire sa vie ailleurs. Il tombe amoureux de la serveuse du restaurant de la petite ville. Un scénario classique comme on le verrait sur Netflix. Le rêve de l’exode est parfois illusoire; un phénomène attrayant qui peut camoufler une crise existentielle. Le vidéoclip dépeint cette envie de s’évader pour fuir l’ennui du quotidien. Hélas, même à l’autre bout du monde, la réalité finit souvent par rattraper celui qui tente d’y échapper. Une fiction «Boy meets girl» sur une trame de cœur brisé et de high de caféine. La signature visuelle du clip est une ode à «Twin Peaks» de David Lynch et aux jeux-vidéos lo-fi de la fin des années 90 » explique Etienne Dufresne.

Le vidéoclip réalisé par Etienne Dufresne, en collaboration avec Martin Paré à l’animation et Rose Côté pour le travail des textures, prend son inspiration dans les jeux vidéos des années 90 (Golden Eye et Tomb Raider), époque glorieuse où les contours à la définition pixelisée étaient la crème de la crème de l’ère digitale.