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Les bactéries contenues dans le vin sont excellentes pour la santé

Parmi les 11 bactéries isolées par les chercheurs espagnols, celle qui les a intéressés est la Lactobacillus. Celle-ci a des propriétés probiotiques et se retrouve également dans le yogourt.

« Jusqu’à présent, plusieurs études ont indiqué que les produits laitiers fermentés représentaient la meilleure façon de consommer des probiotiques, alors les propriétés probiotiques du vin ont à peine été considérées », explique Dolorez Gonzalez.

Comme le mentionne Gonzalez, considérant les cas de plus en plus courants d’intolérance au lactose, il est impératif de chercher d’autres sources de probiotiques, ce qui inclut le vin.

Ces organismes vivants sont reconnus pour leurs bienfaits sur la santé, notamment au niveau du système digestif. Désormais, rapporte Livescience, on ajoute à leurs avantages des propriétés contre le cancer et le cholestérol.

La bactérie P. pentosaceus CIAL-86, aussi présente dans le vin, est un combattant naturel de l’E. coli.

Petit bémol à ceux qui croient que boire du vin leur procurera tous les bienfaits associés aux probiotiques : en fait, les chercheurs devront extraire ces bactéries du vin pour les commercialiser.

L’étude a été publiée dans la revue Food Microbiology.

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Les troubles du métabolisme frappent aussi les enfants obèses

Les troubles du métabolisme habituellement réservés aux adultes guettent désormais aussi les enfants en bas âge qui sont en surpoids ou obèses.

Diabète, hypertension et maladie cardiovasculaire… ce sont toutes des pathologies qui peuvent toucher autant les adultes obèses que les bambins qui ont des problèmes de poids.  

Parus dans le Journal of the American Medical Association Pediatrics, les résultats de chercheurs italiens démontrent que parmi les 5700 enfants âgés de 2 à 6 ans entre 2011 et 2012, 600 d’entre eux ont dépassé leur poids santé en à peine un an. 

Grâce à un test sanguin, on a découvert que 40 % des enfants obèses souffraient d’hypertension, de mauvais cholestérol et/ou d’un niveau de sucre élevé dans le sang… tous des troubles qui peuvent engendrer un risque accru de diabète de type 2 et de maladie cardiovasculaire. 

La stéatose hépatique non alcoolique (affection dans laquelle la graisse s’accumule dans les cellules du foie) a même frappé un tiers des bambins en surpoids ou obèses, écrit Top Santé. 

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Une exposition aux pesticides peut provoquer l’obésité et le diabète

Le pesticide DDT, qui a été notamment interdit dans les années 80 dans plusieurs pays occidentaux, mais qui continue d’être utilisé dans certains pays comme l’Inde et l’Afrique du Sud pour combattre le paludisme, peut empêcher le corps de brûler des calories.

C’est ce qui ressort d’une étude parue dans la revue PLoS ONE, qui avance que les filles qui sont nées de mères exposées à l’époque au DDT ont plus de risques de souffrir d’obésité, de diabète de type 2 et de cholestérol que les hommes nés du même type de mères.

Le pesticide n’aurait aucun effet sur ceux-ci, si ce n’est qu’une légère augmentation de la glycémie, ont noté les chercheurs, qui affirment que les filles qui ont maintenant plus de 30 ans sont davantage concernées par les problèmes de santé en lien avec le DDT.

Des analyses ont été pratiquées auprès de souris femelles exposées au DDT. Il a été conclu qu’elles étaient moins en mesure de brûler des calories et plus enclines à les préserver dans leur corps que d’autres souris femelles ou les mâles.

La différence entre les sexes devra davantage être étudiée, confirment les scientifiques, qui ont également remarqué que les souris femelles qui avaient une alimentation riche en graisses étaient plus à risque de développer une maladie que les mâles qui avaient le même genre de régime.

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Le pruneau est aussi un aliment beauté

Super antioxydant, riche en fer, le pruneau a une forte concentration de sucres naturels, une forte teneur en sorbitol et est un excellent apport en potassium. Toute cette richesse en minéraux fait de ce fruit un aliment beauté, car il aide à « lutter contre le vieillissement et la perte d’élasticité de la peau. Il permet de limiter les rides », avance le site Top Santé.

C’est également un allié qui nous donne de l’énergie et qui aide à la contraction musculaire.

C’est un « fruit minceur » qui est peu calorique et affiche un indice glycémique bas. En plus d’être un extraordinaire coupe-faim, il aide à faire fuir le mauvais cholestérol.

En mangeant tous les jours des pruneaux, on éloigne donc le risque de développer des maladies cardiovasculaires tout comme celui d’être atteint d’ostéoporose. On doit cela à sa puissance en bore, un oligo-élément rare qui est associé au calcium et à la vitamine D.

Finalement, les pruneaux et leur jus sont laxatifs et particulièrement efficaces s’ils sont consommés avant de dormir. Il est dit que pour combattre la constipation « 100 grammes de pruneaux constituent 60 % de l’apport quotidien recommandé. » 

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La ménopause synonyme de troubles de cholestérol

Science World Report mentionne que le changement hormonal crée une dégradation des cellules transportant le « bon cholestérol », ce qui rend la femme plus susceptible de développer un trouble cardiaque.

Comme l’indique Samar R. EI Khoudary, chercheur en chef, « un niveau élevé de LHD ou ce que l’on nomme “bon cholestérol” » ne représente pas une protection aussi efficace qu’on le croyait avant ».

Les chercheurs ont examiné les lipoprotéines de 120 femmes. Celles-ci avaient toutes environ 50 ans et ne prenaient aucun traitement hormonal de remplacement.

À l’aide de la spectroscopie RMN (résonnance magnétique nucléaire), les scientifiques ont pu mesurer la grosseur, la distribution et la concentration de lipoprotéines pour le « bon » et le « mauvais » cholestérol.

L’étude a permis d’associer un faible taux d’estradiol, l’un des changements hormonaux les plus caractéristiques de la ménopause, à une piètre qualité des transporteurs de cholestérol. 

Khoudary indique qu’un test en début de ménopause pourrait aider les femmes à prendre le traitement approprié pour pallier le risque accru de maladie cardiaque.

La recherche a été publiée dans le Journal of Lipid Research.

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Les statines en prévention de la démence

Une nouvelle étude en provenance de Taïwan propose une nouvelle propriété bienfaitrice aux fameuses statines, initialement prévues pour lutter contre les affres du mauvais cholestérol, notamment en protégeant le cœur.

Selon les chercheurs en tête de l’étude, les statines pourraient avoir une autre utilité, soit celle de contribuer à la lutte et à la prévention de la démence lors du vieillissement, rapporte Santé Log.

Menée par des spécialistes de l’Université Yang Ming et de Tapei, l’étude analysait des dizaines de milliers de sujets utilisateurs de statines, sur une période de cinq ans.

On estime à la suite des recherches une diminution des risques de démence de 22 % chez les consommateurs de statines, et une réduction de ces risques plus élevée chez les femmes, à 24 %.

Il appert également que l’effet maximal protecteur apparaitrait au bout de trois années d’utilisation.

On ne confirme cependant aucun effet direct sur une maladie en particulier, comme l’Alzheimer par exemple. Il s’agit cependant d’une découverte importante, qui abonde dans le même sens que plusieurs autres études qui avancent de nouvelles propriétés aux statines.

Les conclusions de l’étude taïwanaise ont été publiées dans le Journal of Cardiology.

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Les fèves, pois et lentilles en lutte au mauvais cholestérol

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude qui vante les mérites des fèves, pois et lentilles en lutte au mauvais cholestérol.

Les taux de mauvais cholestérol, appelé LDL, représentent un facteur de risque pour la santé cardiovasculaire. La hausse observable du phénomène au sein de la population pousse les chercheurs à tenter de trouver des solutions naturelles et alimentaires au problème.

C’est ainsi que des chercheurs canadiens se sont penchés sur les propriétés des pois et des lentilles, en se basant sur l’analyse de 26 études alimentaires sur le sujet, comprenant au total de plus de 1000 sujets volontaires.

Les résultats démontrent que seulement une portion par jour (3/4 de tasse) de ces légumes permet une réduction du LDL de 5 %.

5 % qui signifient aussi directement une baisse du risque cardiovasculaire de 5 %, selon le Dr John Sievenpiper de l’Hôpital St. Michaels de Toronto.

Même si aucune cause à effet n’a été démontrée, tous les spécialistes ayant travaillé à ces études ou ayant été questionnés sur le sujet n’ont pas hésité à conseiller vivement la consommation des pois, fèves et lentilles pour améliorer les taux de cholestérol dans le sang.

Les résultats de cette plus récente méta-analyse ont été publiés dans le Canadian Medical Association Journal.

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L’hiver est aussi la saison du mauvais cholestérol

Une nouvelle étude propose quelques statistiques et facteurs qui indiquent une hausse générale des taux de mauvais cholestérol durant l’hiver, rapporte The National Library of Medicine.

Des chercheurs du Centre Ciccarone de prévention des maladies du coeur de l’Université Johns Hopkins estiment dans leurs travaux que les niveaux de LDL, le « mauvais cholestérol », grimpent en moyenne de 3,5 % chez les hommes et de 1,7 % chez les femmes durant la saison hivernale.

L’alimentation est bien entendue au cœur du problème, alors qu’une bonne partie de la population semble moins disciplinée en matière de choix alimentaires durant l’hiver, en plus de faire moins d’exercice.

Le mauvais temps et le manque de luminosité auraient des effets dévastateurs sur la motivation, un comportement que le Dr Gerard Fletcher compare à une hibernation.

Le Dr Fletcher et son équipe croient qu’il est donc d’autant plus important d’au moins continuer de surveiller son alimentation en hiver, afin de s’assurer que la hausse hivernale des taux de LDL ne soit pas celle qui sera fatale.

Les conclusions de l’étude seront présentées lors de la réunion annuelle de l’American College of Cardiology, du côté de Washington.

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Plus de 30 % des préadolescents font du cholestérol

La recherche sera présentée ce weekend à la conférence de l’American College of Cardiology à Washington. Elle a été menée par Dr Thomas Seery et son équipe à l’Hôpital pour enfants du Texas et au Collège de médecine Baylor.

Un test de routine a été réalisé auprès de plus de 13 000 enfants âgés de 9 à 11 ans. Il s’est avéré que 34 % d’entre eux avaient un taux de cholestérol inapproprié, que ce soit un faible taux de bon cholestérol ou un taux trop élevé de mauvais cholestérol.

L’échantillon était composé d’un tiers d’enfants hispaniques, un tiers caucasien, et 18 % noirs. Les garçons étaient plus sujets que les filles à souffrir d’un taux élevé de mauvais cholestérol, tout comme les jeunes hispaniques.

Au terme de ces résultats, rapporte le Dr Seery, il est impératif désormais de faire passer un test de cholestérol aux enfants. Il prédit que d’ici peu, ce seront de 10 à 13 % des enfants qui souffriront du cholestérol dès leur 4e année scolaire, des résultats qui inquiètent grandement les spécialistes.

Vous pouvez consulter les détails de la recherche sur le Washington Post.

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Un médicament contre le cholestérol en traitement de la sclérose en plaques?

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une petite étude britannique qui semble démontrer une certaine efficacité d’un médicament contre le cholestérol en traitement de la sclérose en plaques.

Le médicament en question est le simavastin, commercialisé sous le nom de Zocor, qui semble prévenir la contraction du cerveau dans les cas de sclérose en plaques.

On parle même d’une réduction de ce symptôme pouvant aller jusqu’à 43 % chez certains patients en deuxième stage progressif de sclérose en plaques, une excellente nouvelle.

Le Zocor permettrait donc d’établir une nouvelle façon de faire en traitement de la maladie, si d’autres tests plus poussés venaient à confirmer son double effet.

« L’effet est sous réserve et nécessite une plus grande étude de phase 3, mais semble prometteur pour tous les types de sclérose en plaques. Parce qu’il s’agit d’un médicament (Zocor) déjà approuvé, dont on connaît le profil et qui s’avère peu coûteux, il pourrait devenir possible de l’utiliser assez rapidement si d’autres études confirment l’effet suggéré », résume bien la Dre Jacqueline Palace, neurologiste consultante pour l’Université Oxford.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition du 19 mars du Lancet.