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Un bon régime et l’exercice pour hausser son « bon cholestérol »

Les bénéfices d’un changement de style de vie vont au-delà de la simple perte de poids, affirment des experts. C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, dans une étude qui parle entre autres de patients souffrants de diabète et aux prises avec des problèmes de poids.

Les chercheurs ont constaté que les patients qui appliquaient un nouveau style de vie, c’est-à-dire en mangeant mieux et en faisant de l’exercice régulièrement, perdaient non seulement du poids, mais favorisaient la création d’une hormone que l’on croit responsable de la production de « bon cholestérol ».

L’étude, publiée par l’hôpital méthodiste de Houston, comprend des statistiques recueillies sur deux groupes de patients. L’un était pris en charge radicalement, avec des programmes intensifs d’exercices et d’alimentation, alors que l’autre groupe n’était suivi que psychologiquement.

Après un an, le groupe pris en charge complètement montrait des taux de sucre dans le sang corrects, et des niveaux de gras et de tissus adipeux beaucoup moins élevés. Les taux de mauvais cholestérol n’ont pas changé significativement, mais c’est le LDL (bon cholestérol), et le taux d’apiponectine (hormone) qui ont réjoui les spécialistes. On parle de 12 % d’amélioration, ce qui est significatif.

Au final, c’est tout le cœur qui se voit grand gagnant de cette progression, ce qui signifie une espérance de vie plus grande pour les patients qui décideraient d’opter pour un tel changement.

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Une photo de la main pour mesurer le taux de cholestérol

Une équipe indienne a mis au point un test pour mesurer le niveau de cholestérol total dans le sang par une simple photo de l’arrière de la main du patient. Nul besoin de prise de sang, donc.
 
L’image doit être celle de l’arrière de la main, car il semblerait que le cholestérol se concentre dans les plis des doigts.
 
Grâce à une image prise par un appareil-photo numérique, on compare la photographie à des millions d’images qui correspondent à des taux de cholestérol élevés grâce à un logiciel spécialement conçu.
 
Ceci serait donc une option non invasive qui permettrait de surveiller de près les personnes avec un risque accru de maladie cardiaque, car un niveau élevé de mauvais cholestérol est un facteur de risque majeur pour ce type de troubles.
 
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Manger une pomme chaque jour réduirait le cholestérol chez les femmes

En comparaison, les femmes qui ont mangé des prunes quotidiennement lors de l’étude ont conservé le même niveau de cholestérol, selon Reuters Health.

Les scientifiques ont même été surpris par l’efficacité des pommes.

« Les pommes et les prunes séchées sont très bonnes pour diminuer le taux de cholestérol ou le maintenir bas. […] Les pommes tout particulièrement réduisent le mauvais cholestérol dans une mesure qui va bien au-delà de ce que j’aurais pu imaginer. C’est si puissant » , a expliqué le président du department of Nutrition, Food, and Exercise Sciences de la Florida State University, Bahram Arjmandi.

Durant l’étude, les femmes ont vu leur taux de cholestérol diminuer de plus de 9 %. Après six mois de cette pratique, ce chiffre atteignait 13 %.

Toutefois, les autres effets de cette grande consommation de pommes n’ont pas été explorés durant l’étude.

Rappelons que le fait de manger deux pommes par jour serait également efficace pour prévenir les crises cardiaques.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Des enfants obèses, des enfants cardiaques

Cholestérol, diabète et hypertension artérielle sont des conditions qui peuvent concerner la plupart des enfants obèses et qui, tôt ou tard, peuvent faire en sorte que leur vie cesse plus rapidement qu’elle ne le devrait.
 
Parue dans la revue Archives of disease in childhood, une étude néerlandaise a dévoilé que les bambins qui souffrent d’obésité sont beaucoup plus exposés à des risques cardiaques que les autres.
 
Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont demandé à des pédiatres de remplir des questionnaires pour cibler le cas de 500 enfants en surpoids. Parmi ces derniers, les « deux tiers des enfants présentaient au moins un facteur de risque cardiovasculaire ».
 
Divisés en catégories, 56 % d’entre eux faisaient de l’hypertension artérielle, 14 % détenaient un taux élevé de sucre dans le sang, tandis que 54 % avaient un fort taux de cholestérol, relate le journal Le Figaro qui ajoute que « les trois quarts des jeunes obèses après 10 ans vont le rester ».
 
Devant ce constat, les experts conseillent que les risques de maladies cardiovasculaires chez les jeunes soient envisagés beaucoup plus tôt et que des examens soient effectués plus précocement.
 
Bien que l’obésité infantile touche davantage les milieux défavorisés, la Dre Myriam Dabbas-Tyan, pédiatre à l’hôpital Necker-Enfants malades à Paris, conseille aux parents de tout de même encourager leurs jeunes à avoir de meilleures habitudes de vie, bouger plus et manger plus sainement.
 
Elle spécifie également que s’il le faut, modifier le mode de vie de toute la famille peut faciliter la tâche et assurer un avenir meilleur à tous.
 
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L’athérosclérose précoce : résultat de la maladie de Kawasaki durant l’enfance

La maladie de Kawasaki, qui provoque une inflammation des vaisseaux sanguins dans tout le corps, surtout chez les garçons de moins de 5 ans, influencerait énormément le développement précoce et accéléré de l’athérosclérose, aussi connue sous le nom de durcissement des artères.

C’est ce qu’ont découvert des chercheurs de Cedars-Sinai qui publieront leur étude dans la revue d’août de l’American Heart Association.

Leurs travaux ont été effectués auprès de souris qui avaient la maladie de Kawasaki et à qui l’on a donné un régime riche en graisses. En les comparant à d’autres souris qui se nourrissaient des mêmes matières grasses, mais qui n’étaient pas atteintes de la maladie, ils ont prouvé que celles qui étaient malades à un jeune âge développaient significativement plus de plaques d’athérosclérose.

Ainsi, les chercheurs affirment que « les maladies cardiovasculaires à l’âge adulte commencent souvent pendant l’enfance et que la maladie infantile de Kawasaki peut jouer un rôle dans l’origine de l’apparition de la maladie cardiaque une fois adulte ».

Pour contrer la situation, « un diagnostic précoce et opportun et un traitement agressif de la maladie de Kawasaki peuvent prévenir les complications potentielles futures », lancent les experts, qui conseillent aux médecins traitant des enfants atteints de la maladie de Kawasaki de suivre de près les autres facteurs de risque de maladies cardiovasculaires comme l’obésité, l’hypertension artérielle, taux élevé de cholestérol et le tabagisme.

Aux États-Unis, la maladie de Kawasaki est diagnostiquée chez environ 5000 enfants chaque année. Parmi eux, 25 % développeront une inflammation des artères coronaires, ce qui en fait la principale cause des maladies cardiaques acquises chez les enfants dans les pays développés.

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Le surpoids des femmes enceintes pourrait se transmettre à leur enfant

Les poupons dont la mère aurait eu un surplus de poids durant la grossesse seraient plus enclins à devenir obèses et à être moins en santé que les autres enfants, et ce, tout au long de leur vie, selon une analyse publiée dans le journal Circulation.

En fait, le surpoids de la mère peut également affecter la pression sanguine qu’aura son enfant, ainsi que le niveau de cholestérol et de sucre dans le sang de ce dernier. Ces dérèglements peuvent mener au diabète et aux accidents vasculaires cérébraux, entre autres.

Ces résultats inquiètent les experts britanniques, puisque 15 % des femmes enceintes en Angleterre ont un grave surplus de poids.

« Nous savons que ce qui se passe tôt dans la vie du foetus a des conséquences de longue durée sur la santé des adultes », explique Hagit Hochner, chercheur principal de cette étude et docteur à l’Université hébraïque de Jérusalem.

De plus, l’exposition du foetus à de hauts taux de sucre et de gras peut mener à des changements dans le contrôle de l’appétit et de l’accumulation de gras dans le corps de l’enfant à naître.

Rappelons également que les femmes enceintes souffrant d’obésité et de diabète sont plus à risque de mettre au monde un enfant atteint d’autisme ou d’un autre trouble neurologique.

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Le thé vert pour prévenir le mauvais cholestérol

Depuis plusieurs années, on vante les bienfaits du thé vert sur la santé, notamment en raison de ses nombreux antioxydants.
 
Une série d’essais cliniques effectués sur 1000 personnes confirment une autre propriété au thé vert. Celui-ci peut réduire le mauvais cholestérol de 5 à 6 points.
 
Durant les essais cliniques, qui se sont déroulés de trois semaines à six mois, les participants ont été séparés en trois groupes. Le premier groupe a consommé du thé vert, le second a eu un supplément de thé vert, et le troisième groupe a eu un placebo.
 
La consommation régulière d’une tasse de thé vert a démontré le plus de bénéfices.
 
Toutefois, le Journal of the American Dietetic Association tient à préciser que le thé vert ne remplace pas la médication anti-cholestérol. C’est seulement un moyen préventif qui peut aider, mais pas contrôler comme le font les médicaments d’ordonnance.
 
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Les piments pour abaisser le cholestérol

En fait, c’est un composé des piments, les capsaïcinoïdes, qui ont cet effet sur l’organisme.
 
Les tests, effectués sur des hamsters en laboratoire, démontrent que les piments peuvent influencer les lipides plasmatiques, la fonction de l’aorte, le développement de la place d’athérome, l’absorption du cholestérol, l’excrétion fécale des stérols et l’expression des gènes récepteurs, enzymes et transporteurs du métabolisme du cholestérol.
 
Le plus étonnant, c’est que les capsaïcinoïdes abaissent le mauvais cholestérol, tout en gardant le bon cholestérol intact. Ainsi, les piments seraient des anticholestérols naturels et efficaces.
 
Les résultats, parus dans l’European Journal of Nutrition, doivent maintenant être validés sur les humains, mais les chercheurs croient qu’ils seront similaires à ceux obtenus sur les rongeurs.
 
Déjà, la consommation de piments est reconnue pour ses nombreux bénéfices sur la santé humaine.
 
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Les vertus de l’artichaut

« Des études sérieuses ont montré que l’extrait de feuilles d’artichaut permet de diminuer le mauvais cholestérol et d’augmenter le bon », explique le docteur en pharmacie Franck Dubus.

De plus, l’artichaut contient une substance appelée inuline, que le corps digère moins bien. Lorsqu’elle arrive au colon, elle le fait travailler plus fort, ce qui améliore le transit et réduit ainsi les risques de développer le cancer du côlon.

Les feuilles de l’artichaut, qui poussent à partir de la tige, favorisent la production de bile par la vésicule. Aussi, les feuilles facilitent son évacuation vers l’intestin. Les experts recommandent donc à ceux ayant des troubles digestifs d’en consommer davantage.

L’artichaut favorise aussi l’élimination de toxines néfastes dans le corps, faisant travailler le foie. Il est donc efficace lorsque l’on a la gueule de bois.

Cependant, il n’est pas suggéré à tout le monde de consommer plus d’artichaut. Les gens souffrant d’obstruction des voies biliaires, de colopathie de fermentation et d’allergie aux plantes de la même famille (les astéracées) ne devraient pas consommer d’artichaut.

En fait, même les femmes enceintes devraient s’en méfier, puisque la partie comestible de la plante contient une enzyme qui nuit à la sécrétion du lait.

Rappelons aussi que selon une étude, manger des artichauts permettrait d’éviter la perte de vision progressive qui peut conduire à la cécité.

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À chaque yogourt ses propriétés

Un article publié sur le site du Daily Mail mentionne que plusieurs types de yogourts peuvent contribuer à une bonne santé.

D’abord, si vous souffrez d’un syndrome du colon irritable, la marque Activia serait le yogourt à consommer puisqu’il contient une souche de bactérie qui accélère le transfert des aliments vers l’intestin.

Si vous souffrez de haute pression, il vous faut du yogourt aux bleuets. Ces fruits contiennent des proanthocyanidines, qui aident à garder les vaisseaux sanguins détendus, réduisant ainsi la pression sanguine.

Aussi, si vous faites de l’embonpoint et souhaitez perdre du poids, vous devriez prendre du yogourt grec 0 %. Avec ses 57 calories par 100 grammes, il ne contient pas de gras, mais une multitude de protéines. De plus, il est réputé pour couper la faim.

Toutefois, si vous avez un haut taux de cholestérol, vous devriez essayer le yogourt de marque Benecol, qui contient des stanols végétaux, des substances qui capturent le cholestérol avant qu’il ne soit absorbé par le corps.

Rappelons qu’une récente étude prétend qu’une portion quotidienne de yogourt enrichi de vitamine D améliore les marqueurs inflammatoires des diabétiques de type 2.