La face cachée des sushis
Parmi d’autres symptômes qui pourraient vous mettre la puce à l’oreille et vous faire consulter un médecin, il y a les jambes enflées, la fatigue et la somnolence.
On vient de démontrer que le tabagisme durant la grossesse expose l’enfant à un taux plus faible de bon cholestérol, soit celui de lipoprotéine de haute densité (HDL). Ce type de cholestérol est reconnu pour protéger contre de futures maladies cardiaques.
Une étude australienne vient tout juste d’être publiée sur ce sujet dans l’European Heart Journal. On y comprend qu’un enfant né d’une mère fumeuse, une fois l’âge de huit ans atteint, a un taux de HDL plus bas que la moyenne, soit de 1,3 mmol/L contre 1,5 mmol/L.
Mentionnons au passage qu’après ajustement des données, la différence moyenne entre les deux groupes d’enfants a été calculée à 0,15 mmol/L. Ce taux est de plus indépendant du fait qu’un enfant ait pu être exposé à la fumée de cigarette après sa naissance.
L’étude ici présentée a été réalisée auprès de 405 enfants de 8 ans en bonne santé nés entre 1997 et 1999. Des données ont été compilées avant et après leur naissance, ayant entre autres porté sur le tabagisme de la mère pendant et à la suite de la grossesse, ainsi que sur l’exposition des enfants à la fumée secondaire.
D’autre part, nous savions déjà que le tabagisme était très possiblement relié à plusieurs autres problèmes de santé. Parmi ceux-ci, on compte la mort subite, les problèmes cognitifs et comportementaux.
L’Université du Michigan a mené un programme pilote durant quatre auprès d’élèves de la sixième année provenant de cinq écoles du même État. Les résultats en sont si probants que l’on songe maintenant à étendre l’expérimentation à 14 écoles.
Il semble donc qu’un programme d’encadrement est tout désigné pour guider les enfants afin de préférer un mode de vie sain et une bonne alimentation.
Bienfaits de la fève de soya
Selon Howstuffworks, de nombreux bienfaits se cachent dans la fève de soya. Les isoflavones qu’elle contient sont des plus bénéfiques pour la santé, en particulier pour celle des femmes qui entament leur ménopause.
Une autre étude a par ailleurs démontré que 60 g de protéine de soya incluse dans un régime alimentaire quotidien réduisaient de façon considérable la fréquence des chaleurs chez certaines femmes en ménopause.